La Rumeur des anges

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Note: 1.5/5
(1.5/5 pour 2 avis)

Anges en enfer.


BDSM Hard & Soft, d'un érotisme à l'autre

Deux jeunes lycéens sont enlevés et ensuite livrés à de riches pervers.

Scénario
Dessin
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution 1981
Statut histoire One shot 1 tome paru

Couverture de la série La Rumeur des anges © Dominique Leroy 1981
Les notes
Note: 1.5/5
(1.5/5 pour 2 avis)
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19/12/2022 | Noirdésir
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Par gruizzli
Note: 1/5
L'avatar du posteur gruizzli

Alors, je ne sais pas si c'est mon regard qui change avec le temps ou si c'est juste que l'époque a bien changé, mais ils avaient pas un léger problème avec la pédophilie dans les BD pornographique des années 80 ? Parce que là j'ai l'impression d'en voir partout dans ces vieilles BD. Et franchement, je trouve ça carrément malsain. En parlant de malsain, la BD explore pas mal de pistes assez glauques. Entre les enfants enlevés pour servir d'esclaves sexuels à une bande de riches, le bondage franchement hardcore (on a quand même une gamine qui se fait torturer à mort…) et les pratiques crasseuses en tout sens, jusqu'au final qui semble être un festival de tortures plus dégueulasses les unes que les autres. Je ne sais pas si c'est censé être excitant, en tout cas pour moi ça relève plus du traumatisme que de la lecture. Surtout que l'idée de pirouette finale est très étrange, me donnant l'impression que la BD n'est pas nulle, mais qu'elle n'aurait peut-être pas dû être faite. Je rajoute juste que le dessin est étrange, les personnages en longueur et les yeux énorme, le tout donnant un aspect très fantaisiste à l'ensemble. Ce qui rend encore plus étrange ce décalage entre la violence de l'histoire et son dessin presque amusant. A fuir comme la peste.

22/09/2023 (modifier)
L'avatar du posteur Noirdésir

Deux jeunes gens, Nathalie et Patrice, sont enlevés par une organisation internationale qui vit de ce trafic en livrant ses proies à de très riches pervers, qui peuvent ainsi assouvir leurs fantasmes les plus hard, sur une île au large des États-Unis. Ils sont sous la coupe de Maria, qui organise le trafic et les spectacles dans lesquels ils sont mis en scène. L’histoire et certains détails sont assez cruels, les fantasmes dans lesquels se trouvent embarqués les adolescents sont assez hard, cela tourne parfois au bondage. Leclaire essaye de glisser quelques traits d’humour dans les dialogues (autour du flic qui enquête sur les disparition par exemple), et cherche aussi à « désamorcer » la cruauté ou le côté pédocriminel par une pirouette finale, que j’ai trouvée facile et un peu hypocrite. Pas vraiment le genre de truc qui m’attire a priori. Note réelle 1,5/5.

19/12/2022 (modifier)