Les Incroyables Histoires de Miguel

Note: 2/5
(2/5 pour 1 avis)

Miguel, alias Charles Collins, est un petit malfrat extravagant qui règne sur son quartier, toujours à l'affût d'un mauvais coup à commettre pour s'enrichir.


Auteurs italiens Gangsters La BD au féminin Séries avec un unique avis

Jusqu'au jour où Benson Ryan, chef du plus gros cartel d'Amérique du Sud, lui annonce qu'il a 72 heures pour faire ses preuves en braquant la plus grosse banque du pays. Épaulé par son équipe de bras cassés, il doit échafauder un plan aussi loufoque que dangereux... Et si ce plan était la clé d'un succès à trois cents millions de dollars ?

Scénario
Dessin
Couleurs
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution 10 Février 2022
Statut histoire Série en cours 3 tomes parus
Dernière parution : Moins d'un an

Couverture de la série Les Incroyables Histoires de Miguel © Jungle 2022
Les notes
Note: 2/5
(2/5 pour 1 avis)
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11/02/2022 | Spooky
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Par Spooky
Note: 2/5
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Je suis toujours méfiant quand je vois le nom d'une "célébrité" issue des réseaux sociaux ou de la télé-réalité mise en avant sur la couverture d'une BD. Souvent le nom ne me dit rien, et en général le résultat n'est pas fameux. Alexclick est apparemment connu dans le milieu du streaming, il a travaillé pour la chaîne Gaming Live et exerce depuis plus de 5 ans en indépendant sur Twitch. En gros tout ce qui m'es étranger. Mais il y a aussi Maxe l'Hermenier au casting, un scénariste qui étend sa production -essentiellement à destination de la jeunesse- chez Jungle en particulier. Ici j'imagine qu'il a été appelé pour mettre en ordre les idées d'Alexclick (qui a un double de papier dans la série), mettant en scène une petite frappe aux idées de grandeur, à la tête d'une équipe de bras cassés. On est clairement dans la parodie des histoires de braquage, et pour qu'on le sache bien, quelques films connus sont même cités. Alors bien sûr, comme nous sommes dans le registre de la parodie, l'histoire part dans tous les sens, les chausses-trapes succèdent aux grosses vannes, aux citations qui parfois tombent comme un cheveu dans la soupe, et le fond de l'histoire est vite oublié par les lectrices et les lecteurs, au profit d'une sorte de long sketch. Du coup, j'avoue, j'ai un peu décroché. Par contre ce premier tome se termine sur un gros cliffhanger, et ça peut relancer l'intérêt pour la suite, mais ce sera sans moi. Côté dessin, Antoine Losty (Splash et Les Belles Vertes, bien qu'il ne soit pas crédité) a créé le design des personnages et s'est chargé de la couverture. L'essentiel est assuré par le Sutdio Yellowhale, et en particulier Roberta Pierpaoli, qui ma foi s'en sort pas si mal, il y a une mise en scène audacieuse par moments, et son dessin semi-réaliste est bien accompagné par les couleurs de Davide Amici. mais cela ne suffit pas à fixer mon intérêt.

11/02/2022 (modifier)