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zut, je découvre ce débat un peu tard... ! Miyuki, je doute que ça intéresse énormément les éditeurs... Et puis, malgré tout le bien que je pense de ce titre, il faut avouer qu'il a vieilli. Penser que le héros et la Miyuki-qui-n'est-pas-sa-soeur ne se sont jamais ne serait-ce qu'embrassés alors qu'ils sont censés sortir ensemble... ça passait sans doute dans les années 80, mais moins maintenant Dragon me semble etre un personnage complètement daté aussi. Peut-être que si Touch marche, ils éditeront Miyuki ensuite ? oui mais voilà, est-ce que Touch marche en France ? à en juger par le recoin où il est relégué dans la fnac a coté de chez moi, je dirais que non A propos des fins d'Adachi (je sais je débarque), mais je ne vois pas ce que vous reprochez à la fin de Rough. Moi, j'avoue, j'aime beaucoup. Finalement, peu importe l'issue de la confrontation sportive, puisque finalement tout ce qui comptait c'était la relation entre Ami et le héros... Celle de Jinbe est pourrie on est d'accord, celle de Niji-iro satisfaisante sans être particulièrement réussie (disons qu'au moins c'est uen vraie fin). Hi atari ryoko, il faut savoir que le dessin animé est très différent du manga. En fait, l'anime a été fait après le succès retentissant de Touch, pour continuer à surfer sur la "vague" Adachi. Mais le manga est beaucoup plus ancien, et il faut bien avouer que ce n'est pas le meilleur. Autant que je me souvienne, l'anime finissait en eau de boudin Quant à la fin de Touch, sans la dévoiler, j'aime énormément. Surtout le dernier chapitre, qui est un peu la quintescence de la subtilité adachienne. Malheureusement, juste avant, il y a un épisode un peu foireux avec une Idole qui a été supprimé avec raison de l'anime. Bah, nul n'est parfait

>>Rody avait écrit: >>>>Ro avait écrit: >>>>Et il est prévu de paraitre en France ? >> >>Pas que je sache. >>On trouve les "scan-trads" des 3 premiers volumes, le 4ème étant en cours depuis bien longtemps. Il y en a 12 au total. Oui, pour le reste, les 8 restants, il faut se tourner du coté des scans us (même si je crois savoir qu'il est édité là-bas, on trouve malgré tout les scans, comme souvent). PAR CONTRE, une réédition imminente est prévue au japon, si les éditeurs de notre beau pays pouvaient sauter sur l'occasion je pars sur le champs à l'église... je rêve presque la nuit de faire trôner cette série au milieu de mes autres Adachi favoris quoi.

>>Ro avait écrit: >>Et il est prévu de paraitre en France ? Pas que je sache. On trouve les "scan-trads" des 3 premiers volumes, le 4ème étant en cours depuis bien longtemps. Il y en a 12 au total.

>>xenofab00 avait écrit: >>Ohoh je viens de finir Miyuki, et je me suis pris une grosse grosse claque, il l'avait bien caché celui-là Adachi. >> Et il est prévu de paraitre en France ?

Ohoh je viens de finir Miyuki, et je me suis pris une grosse grosse claque, il l'avait bien caché celui-là Adachi. Bon ben c’est officiel, je n’ai pas trois mais quatre mangas favoris de l'auteur, voir même deux qui se démarquent en fait. C’est donc dans cette oeuvre d’un rapport frère-soeur (pas liés par le sang, même pas drôle :[ ) dont Adachi traite avec brio. Après un Jinbe qui malgré son spitch de base extrêmement attirant ne m’avait pas plus transcendé que ça, là je dois dire que j’ai été gâté, je m’y attendais pas. Point de sport dans Miyuki, juste un gars plus ou moins banal en plein dilemme existentiel pour choisir entre deux demoiselles des plus charmantes prénommées toutes les deux Miyuki, le fameux triangle amoureux est posé. Ce qui marque dans Miyuki, c’est avant tout qu’il se distingue très nettement des autres oeuvres d’Adachi, un vrai plaisir quand on sait que le principal reproche (un bien grand mot) qu’on pouvait lui faire était les similitudes entre ses histoires. Bien entendu, je ne prends pas en compte l’aspect graphique, où il reste fidèle à lui même. D’ailleurs, juste un mot sur ce sujet pour ne pas choquer les âmes sensibles: Miyuki a été créé simultanément avec Touch, et est donc une bd assez ancienne. Pour être franc, le premier tome est juste moche (surtout au début), car peu maîtrisé dans son dessin, et je pense que c’est à l’évidence pour cela que l’on a pas eu encore le droit à une édition française, car au niveau du reste la qualité est omniprésente, et monte crescendo au fil des tomes (12 au total). Heureusement et comme souvent, le trait s’améliore assez vite, pour ne laisser que du bonheur ressortir de cette BD. Bon, la narration de Miyuki est certes très élaborée, au point que certaines réactions -surtout vers la fin- portent encore au questionnement, tout en gardant une certaine logique très fluide, mais il faut le reconnaître ce n’est pas du niveau d’un Touch (la référence) de ce coté là. Ce qui démarque Miyuki dans mon coeur de lecteur, ce serait plutôt son ambiance, l’attachement indescriptible que l’on peut porter à une bd, à son coté chaleureux, à tout ce petit monde qui prend vie et dont on aimerait suivre les péripéties sans que ça ne s’arrête jamais... Miyuki est une oeuvre créée dans ce qui est je pense la période d’or de l’auteur et se place très clairement comme une de ses plus grosse réussite, il est franchement bien dommage que l’on nous distribue en france du Adachi au kilo en omettant pourtant certaines pépites bien plus enthousiasmantes sous prétexte d’ancienneté (Touch excepté). J’en conseille vivement la lecture, malheureusement en scans (4 tomes en fr chez iscariote, et le reste en version us), bien que personnellement ça ne m’ait jamais gêné de lire de cette façon. Ah oui! Sinon rien à voir, mais j’ai fini il y a quelques temps H2! En US, 34 tomes dans ta face. Je confirme ce que disait Gaston pour les fins ouvertes et expéditives: Adachi a souvent (mais pas toujours) du mal à clore ses oeuvres. Ca reste une très bonne bd, plus portée sur le sport que d’ordinaire chez l’auteur (peut-être un peu trop en fait...), et avec quelques longueurs au milieu, à moins de vraiment aimer le baseball. En outre l’oeuvre est globalement très bonne et assez riche, du bon Adachi. Par contre, je ne comprend la renommée aux cotés de Touch et Rough dont dispose cette série, en témoigne le fait que seuls ces trois là aient eu le droit à une adaptation en film live en plus de leurs séries animées respectives. Ca doit être du à cette omniprésence du sport...

>>Rody avait écrit: >>Au contraire, je pense que s'intéresser ou non au base-ball ne changera pas grand chose. Le sport n'est qu'un prétexte à la psychologie des persos. Et c'est en ça que Adachi est à mon sens très fort. Beaucoup de ses oeuvres se passent dans le milieu du sport, et ce n'est pas du tout ça que l'on retient à la fermeture d'un tome : ce sont les relations entre les persos, les attitudes, l'humour... mais très rarement ce qui s'est passé d'un point de vue sportif, mais dans les tomes qui ne se concentrant que sur un même match. >>Je trouve ça personnellement exemplaire du point de vue narration. Ah mais là je suis d'accord, ça rejoint ce que j'avais dit sur Katsu, à savoir que le sport n'est pour Adachi pas une finalité en soi mais plus un moyen de tisser des relations entre ses protagonistes. Enfin ça reste une partie du récit malgré tout, et donc une partie (mais juste une partie) du plaisir reste je pense peu accessible pour celui qui n'aime pas ce sport. Je veux dire, quand on voit plus d'un tome entier basé sur un match, qu'on me dise pas que ça change rien :S Gaston-> Ben j'avoue ne pas avoir vu beaucoup de fins non plus, il y a beaucoup de ses mangas pour lesquels j'attends la fin des publications en france. J'ai bien vu la fin d'Une Vie Nouvelle sur la 5 qui, si je n'ai accroché plus que ça l'anime, ne me paraissait pas mauvaise, sans que ça finisse en queue de poisson quoi. Katsu j'ai décroché avant donc je peux pas dire. Il reste pour ma part Touch, même si je n'ai pour l'instant vu la fin qu'en Anime il y a peu (non non pas le "Théo ou la Batte de la Victoire" de la 5 mais bien Touch en vostfr, ce qui change vraiment la donne) a je trouve une fin plutôt réussie. Il existe même des films (5) qui traitent pour certains de l'après Touch (2), bien des années plus tard, appréciable.

Adachi fait parti de mon top 5 de mes mangakas préférés. Ses mangas sont toujours intéressant et j'ai bien hate de lire Short program. >>Rody avait écrit: >> >>Au contraire, je pense que s'intéresser ou non au base-ball ne changera pas grand chose. Le sport n'est qu'un prétexte à la psychologie des persos. Et c'est en ça que Adachi est à mon sens très fort. Beaucoup de ses oeuvres se passent dans le milieu du sport, et ce n'est pas du tout ça que l'on retient à la fermeture d'un tome : ce sont les relations entre les persos, les attitudes, l'humour... mais très rarement ce qui s'est passé d'un point de vue sportif, mais dans les tomes qui ne se concentrant que sur un même match. >>Je trouve ça personnellement exemplaire du point de vue narration. Tout à fait d'accord avec toi. Tu as bien décris ce qui fait le talent d'Adachi. Il y a tout de meme une chose que je voudrais ajouter. Je ne sais pas si vous allez etre d'accord avec moi, mais je trouve qu'Adachi ne sait pas faire des fins. Dans Rough, j'avais l'impression qu'il manquait un tome et dans Jinbé il préfére faire une histoire de kidnapping totalement stupide au lieu de montrer la relation entre les deux personnages principaux. Il parait aussi que la fin de Niji-iro Tohgarashi est décevante et ça me donne pas vraiment le gout de le lire. En meme temps, je n'ai pas lu les fins de ses autres mangas et peut-etre qu'elles sont excellentes .

>>Ah ben c'est sûr que si on aime pas le base-ball où tout du moins qu'on ne s'y intéresse pas, la lecture d'un Adachi peut se révéler fastidieuse xD. C'est justement le sport qu'il narre le mieux à mon sens, avec le plus de justesse (le nombre de ses oeuvres traitant du sujet n'y trompe pas). Au contraire, je pense que s'intéresser ou non au base-ball ne changera pas grand chose. Le sport n'est qu'un prétexte à la psychologie des persos. Et c'est en ça que Adachi est à mon sens très fort. Beaucoup de ses oeuvres se passent dans le milieu du sport, et ce n'est pas du tout ça que l'on retient à la fermeture d'un tome : ce sont les relations entre les persos, les attitudes, l'humour... mais très rarement ce qui s'est passé d'un point de vue sportif, mais dans les tomes qui ne se concentrant que sur un même match. Je trouve ça personnellement exemplaire du point de vue narration.

Ah ben c'est sûr que si on aime pas le base-ball où tout du moins qu'on ne s'y intéresse pas, la lecture d'un Adachi peut se révéler fastidieuse xD. C'est justement le sport qu'il narre le mieux à mon sens, avec le plus de justesse (le nombre de ses oeuvres traitant du sujet n'y trompe pas). Sinon pour Touch je serais plutôt d'accord pour parler d'un manque de maîtrise en terme de dessin, mais je n'en trouve pas plus qu'ailleurs en terme de narration. C'est l'oeuvre qui recèle je pense le plus de rapports implicites, où les personnages ont le plus d'épaisseur (même si Rough était pas mal aussi sur ce sujet précis, étant donné qu'il se centrait beaucoup sur ce domaine). Bon, faudra que je me décide un jour à lire Iro Tohgarashi moi...

Je suis un fan d'Adachi depuis que Short Program a été traduit chez nous. J'avoue ne pas avoir en tête d'oeuvre moins intéressante que d'autres parmi celles qui sont traduites chez nous. Si je devais absolument en choisir, je mettrais peut-être Touch (une oeuvre de jeunesse, tout n'y est pas forcément aussi maîtrisé que dans ses oeuvres ultérieures) et Niji-Iro Tohgarashi (parce qu'Adachi n'est pas aussi génial à mes yeux dans une histoire accès sur l'aventure qu'il ne l'est dans celles purement romantiques - attention, cela reste quand même excellent). Et sinon, j'adore personnellement Jinbe - plus sérieux, traité tantôt avec légèreté, tantôt de manière assez grave. Et j'avoue toujours ne pas comprendre (car cela ne m'intéresse que moyennement) certaines règles du base-ball.

Bon, n'ayant vu nulle part de topic analogue, je me suis décidé à en créer un sur le bonhomme, constatant que curieusement Adachi remportait un succès très large (tout du moins en estime) de la part des amateurs de BD principalement européennes. Ca tombe bien, chez moi aussi. Alors donc le sujet est bateau au possible, mais j'avais quand même envie de le faire: De toutes les oeuvres du personnage, quelles sont celles qui vont ont le plus marqué, et pourquoi? Vous pouvez aussi épiloguer si le coeur vous en dit sur son renouvellement assez discutable, qui reste à mon humble avis son plus gros point faible, bien que ce sentiment en France soit surtout présent du fait d'un complot éditorialiste visant à nous priver de la moindre BD de l'auteur durant des années pour tout nous sortir en rafale l'instant d'après. Les trois oeuvres d'Adachi ayant rencontré le plus de succès sont certainement Touch (LE gros carton du maître, c'est à partir de là que sa renommée n'a cessé de croître), H2 (sa série la plus longue si je ne me trompe pas) et Rough. A la limite, on peut aussi dire que Short Program avait assez marqué à sa sortie, mais ça reste d'un autre ordre. Personnellement, je reste bein évidemment scotché devant toutes celles citées plus haut, mais je suis avant tout attaché à: -Touch. Bah oui j'y ai pas échappé. Un dessin encore peu abouti mais un travail psychologique que je trouve aujourd'hui encore inégalé dans ses autres oeuvres. J'avoue avoir été aussi assez sensible à l'un des thèmes, à savoir l'inutilité du don sans l'effort (j'ai toujours été de nature flemmarde, pour rester courtois), qui montre que la volonté en elle-même peut-être considéré comme un don, que tout le monde n'a pas. Enfin ce n'est qu'un détail dans la marre qualitative de cette oeuvre. -Short Program. Premier manga, ça marque. Je crois avoir déjà mis mon avis à son sujet sur ce site, donc il y a juste à retenir que ça bute, point. -Cross Game. Coup de coeur personnel. Bien que l'histoire ne soit pas très avancée, je suis littéralement captivé par ce récit, à suivre. En outre, j'ai été déçu par deux de ses oeuvres: Jinbe et surtout Katsu. Dans le premier, j'étais justement très enthousiaste à l'écoute du sujet traité. Mais malheureusement la légèreté qui caractérise Adachi est paradoxalement encore plus présente que d'habitude, alors que c'était l'occasion rêvée pour explorer de nouvelles contrées (il a pourtant bien montré qu'il savait traiter les choses avec dureté...). Si ce n'était que ça, ça passerait encore très bien, mais la fin m'a comme beaucoup réellement déçu, pour transformer à mes yeux ce manga en lecture sympathique mais anecdotique. Objectivement, il reste par contre très bon, enfin je crois. En ce qui concerne Katsu, hé ben si, à l'époque, je l'avais trouvé "sympa sans plus" avant de mieux connaître l'auteur, aujourd'hui je larguerais surtout un violent "passable", toutes proportions gardées. En fait, si les personnages me parlaient personnellement moins que dans les autres oeuvre du maître, c'est surtout cette manière ultra-fantaisiste de traiter de la boxe qui m'avait laissé de marbre. Dans un manga sportif du style Eyeshield21, ça passerait, mais dans un manga qui se sert surtout des relations que crée le sport pour mettre en scène des relations humaines, amoureuse ou autre, j'ai trouvé ça passablement space, et incroyablement naïf (et vas-y que je t'arrache des boutons de chemise plus vite que la lumières dans une posture bien classouille, que je te bastonne des corbeaux pour m'entraîner etc...). Bon, pour finir j'aimerais ajouter pour ceux que ça intéresse que si la plupart des bons Adachi ont été aujourd'hui édités chez nous, il en reste au moins deux qui méritent le coup d'oeil, de réputation: -Miyuki, assez vieux (il a juste prédécé Touch), il mérite néanmoins qu'on s'y attarde. Les trois premier volumes (sur 12) sont dispo en scan chez Isca –je met juste un bout du nom au cas où, c’est légal mais on sait jamais-, et voici un résumé de l'intrigue: "Wakamatsu Masato vit avec sa petite soeur Miyuki, qu'il n'avait pas vue depuis des années (En fait ils n'ont aucun lien de sang... Oui oui c'est compliqué !). Leur père, parti à l'étranger, les a laissés seuls à Tokyo. Miyuki est une jolie jeune fille pleine de vie, très appréciée par la gente masculine. Masato a une petite amie, elle aussi prénommée Miyuki : belle, mature, classe... la fille idéale dont rêve tous les garçons. Cependant, Masato et sa soeur vont petit à petit tisser des liens de plus en plus forts. Et voilà un autre triangle amoureux, typique d'Adachi, qui va se former... Qui Masato va-t-il finalement choisir ?" A noter qu'il est connu en france sous le nom ô combien ridicule de "Tommy et Magalie", mais ils n'en étaient pas à leur coup d'essai niveau adaptation foireuse. -Slow Step, un peu plus récent (87-91, quand j'étais en maternelle quoi). Je ne l'ai pas lu mais je devrais m'y mettre sous peu. Il est composé de 7 tomes, tous traduits chez la même équipe que Miyuki. C'est une des rares oeuvres d'Adachi où l'héroïne est une fille, même si c'est loin d'être la seule: "L'héroïne de l'histoire est Minatsu, une jeune fille très douée au softball (un dérivé du baseball). A la suite d'un accident provoqué par des voyous et auquel elle assiste, elle doit se déguiser pour échapper aux représailles. Mais cette situation va être source de nombreuses complications, notamment dans sa vie amoureuse : 2 boxeurs rivaux se disputent son coeur, mais chacun est amoureux d'une facette différente... Adachi nous sort encore une fois sa recette magique : sport, amour et humour , mais ça marche toujours aussi bien !" Voilà, je pourrais aussi citer "Hi Atari Ryôkô" (exporté chez nous en tant que "Une Vie Nouvelle", pour une fois comprend pourquoi), mais j'avais moyennement apprécié l'anime dans ma jeunesse, et le manga lui est encore plus vieux que Miyuki :fun:, donc bon pour les curieux (trois tomes, tous chez isca). [désolé pour les épileptiques, je ne pensais sincèrement vraiment pas faire si long O_O... les idées sont venues au fur et à mesure... en plus c'est un peu le bordel hum]