Peridot

Note: 1.67/5
(1.67/5 pour 3 avis)

Bastons et gros nichons aux pays des Nippons...


Baston Hentai Kodansha La BD au féminin : le manga Shonen

Au Japon, les filles qui veulent faire de la baston, doivent avoir de gros nichons. Vous avez vu ça ? Ça rime ! De plus, je viens d'élucider une des dernières grandes énigmes génétiques du monde de la baston. On dit merci qui ? Bref, quoiqu'il en soit, dans Péridot, les mauvais garçons et vieux barbons devront éviter de chercher à tâtons les boutons de ces mamelons frippons. Car alors, croyez-moi, ces madelons et liselons leur en mettront du boxon à ces pauvres ratons bien ronds ! Et s'il leur reste de quoi émettre un son, alors ces pauvres lurons pourront s'exclamer : "oh, mon tonton ! C'est qu'ils sont point bonbons, ces têtons nippons !" Quoi ? Ce n'est pas un résumé ? Si, c'est un résumé aussi fidèle qu'intégral de Péridot.

Scénario
Dessin
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution Avril 2004
Statut histoire Série terminée 6 tomes parus

Couverture de la série Peridot © Panini 2004
Les notes
Note: 1.67/5
(1.67/5 pour 3 avis)
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25/04/2007 | Katz
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Par xenofab00
Note: 1/5

Peridot, une des références majeure du manga en matière de nullité, à croire qu’il ait été créé par les détracteurs du genre. Au niveau graphique déjà, j’ai une petite tendance à ne pas aimer la surenchère de gros nénés à outrance (ben ouais, y a des mecs qui aiment les petits seins, ou bien proportionnés). Souvent, je passe outre, après tout ce n’est qu’un détail. Mais que faire quand le manga en question n’a QUE ça ? Passé donc ce point, le "point fort" du manga, on découvre une histoire de... à non pardon y en a pas. Donc je disais que l‘on découvre des excuses à provoquer des bastons et des viols toutes plus comiques les unes que les autres, avec en plus des petites inventions de l’auteur sur des sujets divers, sur les règles du Karate par exemple, histoire que le manque de recherche et les facilités soient encore plus évidentes (il auraient été dommage que certains lecteurs peu attentifs -on les comprend- soient passés à coté). Au niveau psychologique, l’humour est aussi manifestement très présent : Miharu et la Karateka dont j’ai oublié le nom sont des exemples absolus de personnages descendants plus bas dans les abysses de la nullité que les personnages vides. En effets, faire un personnage totalement vide évite de créer des incohérences plus hautes que l’Everest et des raisonnements à la limite de l’humainement acceptable. Ceci dit, pas de panique, en matière de vide, les autres protagonistes rattrapent le coup. Bon allez, j’avoue que j’ai bien aimé quand le mec léchouille en laissant la culotte, enfin un homme de bon goût. Ceci dit, quitte à faire du cul, je préfère quand le récit vire à la comédie (volontaire), ou quand il y a du cul de manière effective. Pourquoi tant de haine ? Après lecture de seulement un tome ? Car je trouve "regrettable" que l’on publie en France ce genre de parution alors que des montagnes de mangas de bien meilleure qualité ne parviendront jamais jusqu’à notre beau pays, ou que certaines oeuvres devenues introuvables ne semblent pas du tout en voie de réédition. PS : (Rien à voir avec Enfer et Paradis messieurs ! qui a au moins le mérite d’avoir une euh trame, avec des maychamps, des analepses, et tout. A défaut d’être bien).

20/03/2008 (MAJ le 20/03/2008) (modifier)
Par fonch001
Note: 2/5

C'est un brouillon ou une oeuvre achevée ?? Sérieusement, si le coup de crayon est maîtrisé (on regrettera juste les protubérances mammaires hypertrophiées trop souvent "mises en valeurs" par de fréquentes vues en contre-plongée (cf jaquette du tome 1)), en revanche la mise en page est désastreuse et la narration difficile. Bref une oeuvre un peu lourde à parcourir mais pas complètement ratée d'un point de vue graphique. En revanche l'histoire... Bah, c'est simple il n'y en a pas, l'auteur invente son quotidien au fur et à mesure. L'oeuvre dans sa globalité n'a pas de cohérence et ne nous raconte rien, se contentant de nous présenter des scènes de baston à peine justifiées et des nibards. Ce manga se découpe en 4 grandes parties, correspondant pour chacune à la découverte d'une nouvelle "amitié" avec un nouveau personnage. Amitié obtenue à coup de poings. Mais il n'y a aucun lien entre ces 4 parties, les nouvelles amies disparaissant du scénario dans les parties suivantes... De la même façon, la fin de l'oeuvre n'en est pas une et n'a donc aucun intérêt. Bref, passez votre chemin...

10/09/2007 (modifier)
Par Katz
Note: 2/5

Mais, pourquoi, au fait, ai-je donc acheté presque l'intégralité de cette série ? Ah, oui... c'est que je suis un gros pervers. Je ne devrais point l'avouer en public, cela fait du mal à mon ego. Mais, que voulez-vous, mon psy m'a expliqué que c'était indispensable à ma thérapie... Bref, dans le genre assez restreint (intellectuellement) quoique développé (à plusieurs sens du terme) baston et gros nichons, Péridot n'est pas une mauvaise pioche, loin de là. Mais emporterait-il le pompon sur un Enfer & paradis (que je n'ai pas lu), aucune idée. Le coup de crayon d'Hiyoko Kobayashi est agréable, sans conteste. Les rondeurs de son trait servent parfaitement les courbes de demoiselles toujours musclées et bien en chair. Du moins ne pourra-t-on lui reprocher de militer pour l'anorexie... L'ennui est que cette facture est desservie par une impression parfois trop encrée, sur un papier qui semble de qualité moyenne, et vu le prix de ces mangas, voilà qui fait un peu 'arnaque' sur les bords. Enfin, je gage que le prix est proportionné aux appas souvent disproportionnés de ces jeunes filles, ou jeunes femmes, et que la douloureuse fait partie du soin thérapeutique... Ceci étant posé, si le style graphique est posé et léché, il n'a cependant rien de transcendant. Quant à l'histoire... Quoi, il y a une histoire ? Eh bien, oui, aussi étrange que cela paraisse à certains, il y a une histoire. Certes avec tout un tas de digressions plus ou moins inutiles, qui ne servent qu'à ratisser l'ensemble des passages obligés du genre. Et cette histoire n'est pas totalement inintéressante, car je dois avouer qu'au-delà mon attrait pour les formes pulpeuses de ces demoiselles, j'ai eu envie de découvrir ce que pouvait être le mystère de Mahiru. Je ne suis pas certain de l'avoir découvert, vu que je me suis arrêté à l'avant-dernier tome. Mais bon, en fait je m'en moque un peu, j'en savais déjà suffisamment, et cela me paraissait devenir un peu trop malsain (ça l'était déjà un peu remarquez, bien que, à l'exception de quelques passages, l'ensemble ne soit rien d'autre que "gentillet"). Dans le registre, c'est donc un titre qui ravira les fans du genre. Garanti 100% tétons, et pas trop difficile à comprendre. Bon, maintenant, vous m'excuserez, mais il faut que je retourne voir mon psy...

25/04/2007 (modifier)