Avant Blake et Mortimer (Le Rayon U)

Au coeur de la lutte entre Austradiens et Norlandiens, l'uradium provoque bien des aventures...
Ligne Claire Péchés de jeunesse Van hamme
Les Norlandiens, par l'ntermédiaire du Pr Marduk, viennent de faire une importante découverte scientifique. Mais ils ont besoin d'uradium pour achever le travail. Or, il ne s'en trouve que dans des contrées inconnues, très dangereuses. Se monte alors une expédition autour de Marduk et de son assistante, Sylvia. Mais l'expédition est infiltrée par le capitaine Dagon, espion des Austradiens. Il fait en sorte que nos amis se retrouvent totalement perdus dans une jungle hostile peuplée par d'étranges créatures... Retrouveront-ils le chemin du volcan Urakuwa, où se trouve l'uradium ? Et pourront-ils rentrer chez eux sains et saufs ?
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Date de parution | Avril 1967 |
Statut histoire | Une histoire par tome 2 tomes parus |
Les avis


Espérons que cette saga redorera un peu son blason avec l'arrivée de Jean Van Hamme ! Je ne trouve déjà pas que le premier tome mérite autant de si mauvaise notes... L'arrivée de Van Hamme est pour moi une vraie bonne nouvelle, et il réussit sans conteste à se hisser au niveau d'Edgar P. Jacobs. Je ne garantis toutefois pas que les lecteurs qui n'avaient pas aimé le premier tome changeront complètement d'avis car Van Hamme, comme à son habitude, se glisse avec un plaisir non dissimulé dans les codes désuets de l'époque, et pourtant, il contribue largement à donner de la profondeur à des personnages qui en manquaient peut-être jusque-là. Ce que j'aime chez Van Hamme, comme avec Blake et Mortimer, c'est qu'il utilise ces codes peut-être un peu "vieillots", mais il est aussi le premier à s'en amuser ! Ainsi, l'ouverture du second tome, La Flèche ardente, est un festival de second degré, où Van Hamme annonce clairement sa note d'intention, qui est à la fois de nous offrir une bande dessinée digne en tous points de son maître, mais aussi de dépoussiérer un peu Le Rayon U en revisitant ses fondements et en approfondissant largement ses personnages. La première phrase de l'album dite par un personnage renvoie ainsi avec amusement au trou béant laissé par Jacobs dans son tome, on y voit l'empereur Babylos III déclarer "Par tous les dieux de l'enfer, nous ignorons toujours en quoi consiste ce fameux rayon U !". J'avoue qu'il m'a fallu attendre cette case pour réaliser qu'effectivement, le titre de l'album initial n'y était jamais vraiment explicité ! On enchaîne ensuite avec une révélation qui n'en est une pour personne (ni l'auteur, ni le lecteur), et une séquence de course-poursuite préhistorique, où l'on retrouve tous les défauts et toutes les qualités de Jacobs, mais subtilement détournés : le dinosaure est tout-à-fait improbable, mais cette fois, la cachette du personnage poursuivi ne parvient pas à l'arrêter ! A l'image de cette séquence, Van Hamme s'amusera sans cesse à détourner les codes à l'ancienne pour en faire quelque chose de très traditionnel mais un peu moins naïf. Ce que cette séquence illustre également, ce sont les incontournables allusions à Blake et Mortimer. Le dinosaure improbable et les ptérodactyles qui interviennent juste après semblent tout droit sortis du Piège diabolique, tandis qu'une séquence qui suit est (presque) issue du tome 3 du Secret de l'espadon. Tout le récit est ainsi émaillé des piques de second degré de l'auteur, sans que jamais, la lecture au premier degré n'en souffre. Enfin, ce que Van Hamme réussit totalement à faire, c'est à faire exister les personnages. Là où ils étaient très sommairement brossés dans Le Rayon "U", l'auteur parvient à leur donner un vrai caractère et à illustrer des relations plus complexes entre eux (même si ça reste assez court, bien sûr), allant jusqu'à me surprendre dans un retournement, somme toute classique mais bien amené. Ainsi, certains héros du premier tome deviennent beaucoup plus nuancés ici, voire presque méchants. Cela sert le propos de l'auteur qui introduit les thèmes classiques de l'époque : les risques d'une science sans conscience, et le drame de la colonisation par la force. Ce dernier thème donne lieu à de magnifiques séquences de bataille, épiques à souhait, qui confèrent tout son souffle à l'histoire. Du côté du dessin, Christian Cailleaux et Etienne Schréder, admirablement secondés par le coloriste Bruno Tatti, livrent un travail très propre. Le dessin me paraît parfois un peu plus simple et naïf que chez Jacobs, mais l'hommage graphique n'en est pas moins réussi. On retrouve aussi bien l'esprit de Jacobs dans le dessin que dans la narration (quoique la dose de textes à lire est réduite dans le second tome). Pour en finir avec La Flèche ardente, j'ai juste trouvé étonnant un épilogue assez long (11 pages), qui ne renouvelle pas toute la vision du récit. L'instrument narratif utilisé par Van Hamme dans l'ouverture du prologue laisse penser qu'on va avoir droit à une vision changée par un retournement quelconque, mais en fait, non. L'auteur cherche simplement à apporter la meilleure conclusion possible à chacun des personnages. C'est tout à son honneur, et finalement, cela me suffit, mais je m'attendais à autre chose. J'ai beaucoup parlé de La Flèche ardente, mais très peu du Rayon "U", je conclurai donc cet avis en remontant aux sources. J'ai déjà dit plus haut que le tome d'Edgar P. Jacobs avait quelques vieilleries peut-être dommageables, mais qu'il ne méritait à mon avis pas la si mauvaise moyenne qu'il a actuellement sur le site. Et de fait, je trouve que ce premier album révèle déjà les grandes forces de ce géant de la BD qu'est Jacobs. Ainsi, la narration est certes extrêmement désuète, s'autorisant parfois à réduire une péripétie en quelques cases, mais cela donne à l'album un rythme et un souffle dont toutes les sagas d'aventure ne peuvent se targuer de bénéficier. En effet, tout va très vite, mais justement, cela permet au récit de ne pas avoir un seul temps morts et d'enchaîner pour notre plus grand plaisir (le mien, en tous cas) des péripéties où l'on retrouve toute l'essence des récits traditionnels d'aventure, à la Conan Doyle et Jules Verne (probablement les deux principales influences de cette saga). Tombant des griffes d'un dinosaure assoiffé de sang en captivité d'une tribu d'hommes-singes peu avenants, en passant par la découverte de nouveaux territoires et de leurs dangers inévitables, tout est là pour faire du Rayon "U" (mais aussi de sa suite) un condensé de tout ce qui se fait de mieux dans le registre "aventures". On peut trouver que ça a vieilli. Je serais plus diplomate en préférant voir dans cette prise d'âge un charme qui résiste merveilleusement à l'esprit du temps.


La flèche ardente Après avoir relu," le "Rayon U", dans la nouvelle édition avec les couleurs de Bruno Tatti, mais aussi dans l'édition bibliophile (superbe au demeurant), je me suis lancé dans cette suite, signée Jean Van Hamme, et illustrée par Cailleaux et Etienne Schréder. Je dois dire que le résultat est assez mitigé. L'histoire m'a semblé bien naïve , mais c'est sans doute , enfin je l'espère, une volonté du scénariste de rester figé dans ce qui se faisait dans les années 40. Je ne crois pas qu'un tel album puisse attirer de jeunes lecteurs mais plutôt des vieux nostalgiques comme moi, des albums de Blake et Mortimer, signés Jacobs. Van Hamme use aussi de facilités dans son intrigue, en empruntant pour ne pas dire copiant des scènes des aventures de Blake et Mortimer ( "le piège diabolique" avec la poursuite de Dagon par un dinosaure, "le secret de l'espadon" avec l'arche en pierre , page 17) ,ou encore des références à l'"Enigme de l'Atlantide", voire à Thorgal, avec les vaisseaux volants en fin d'album. Côté dessin, j'ai trouvé les personnages un peu plus caricaturaux par rapport au" rayon U", avec un Lord Calder difficilement reconnaissable au début de l'histoire. Seul, le personnage de Sylvia semble assez réussie par rapport à l'album précédent. Les auteurs ont parfaitement rempli le cahier des charges, en donnant une suite au "Rayon U", mais l'intrigue reste tout de même d'un autre âge. Il faut tout de même souligner la qualité des couleurs de Bruno Tatti qui donnent un coté vieillot voire vintage à cet album.


Le Rayon U est une BD de commande dans le style "Guy l'Eclair" sur laquelle EP Jacobs se rodera avant d'attaquer plus tard Blake et Mortimer. On sent que le Rayon U a servi de maquette, de brouillon, et que ça s'est construit au fur et à mesure, ce qui est flagrant dans les premières planches. Le style graphique et scénaristique est fort désuet, très représentatif des aventures hebdomadaires des héros sans peur et sans reproche, toujours propres sur eux, même en plein jungle ou en train de ramper dans les souterrains (une des marques de fabrique d'EP Jacobs). On y trouve bien des éléments qui seront repris par la suite, parfois 30 ans plus tard. L'intérêt de cette BD est plutôt archéologique, celle d'une époque révolue (années 30-40). Le Rayon U est en qqsorte le Pays de Soviets de Tintin, mais en nettement mieux dessiné. Un seul reproche, les éléments féminins disparaîtront par la suite dans les BD B&M, pas à cause de l'auteur mais de la censure de l'époque... J'aurais bien vu une Sylvia entre Blake et Mortimer :D


Les débuts de Jacobs ? Une ébauche de Blake et Mortimer ? Sans aucun doute, car on trouve déjà là une bonne partie de ce qui fera ensuite le succès de sa série, à savoir des aventures assez denses, jouant sur divers registres (aventure pure, SF, voire fantastique), et piochant un peu partout des influences (Flash Gordon ou Conan Doyle par exemple ici). On y retrouve aussi l’ébauche de certains des personnages principaux de sa série phare (physiquement, mais aussi au niveau des personnalités). C’est aussi une histoire qui m’a un peu fait penser par certains aspects (tout ce qui a trait à la civilisation « américaine », aux passages souterrains) à l’album « L’énigme de l’Atlantide » (peut-être l’album de Jacobs que j’ai le plus lu et aimé). Et, bien sûr, l’abondant texte en off, qui peut horripiler le lecteur actuel. Alors, certes, il faut évaluer cet album en tenant compte de l’époque de conception et de publication (fin des années 1930 début des années 1940), lorsque la BD européenne tentait d’émerger. Mais que cette histoire fait son âge, a mal vieilli quand même ! J’ai parlé d’aventures très denses. La parution en épisode en revue se sent, Jacobs cherchait, par une surenchère de péripéties, à capter et garder l’attention de son lectorat. Mais c’est au détriment bien souvent de la crédibilité, et il n’y a pas ici de moment calme où souffler, ni de temps pour développer les personnalités des personnages, à peine ébauchés, parfois simple décalque de ceux d’Alex Raymond (dont il copie aussi le rythme trépidant et le côté manichéen des intrigues et personnages). On suit donc cette avalanche de rebondissements, d’aventures trépidantes, qui s’enchainent de plus en plus vite, pour se finir de façon quand même abrupte et facile. Avec « Blake et Mortimer », Jacobs prendra davantage le temps de doter ses héros d’une personnalité, et élaborera plus ses intrigues. Ici, c’est assez basique. Quant au seul personnage féminin, là aussi la marque de l’époque est forte, puisqu’elle n’est qu’un simple faire-valoir, enlevée et donc à secourir, sorte de secrétaire suivant son patron dans la jungle (mais toujours en robe, c’est plus pratique). Le dessin lui aussi est balbutiant, simple, presque aussi naïf que l’intrigue (voir les hommes-singes par exemple). Bref, une curiosité (voir la fin de mon avis sur « Flash Gordon » pour trouver une appréciation similaire à mon ressenti concernant ce qui peut être « sauvé » de cette histoire), qui témoigne des goûts d’une époque et des débuts d’un auteur, mais dont l’intérêt autre que sociologique n’est pas évident. Si l’histoire se laisse lire, elle peinera à contenter les lecteurs actuels – fussent-ils jeunes, car il y a eu depuis dans ce domaine bien plus réussi.


Considéré comme le Tome 0 de la série Blake & Mortimer, ce Rayon U n'en constitue que la préquelle, à savoir l'exercice de chauffe pour un Edgar P. Jacobs pas encore maître de ses dessins ni de son histoire. En effet comme lu plus bas, la bd en était à ses balbutiements et Jacobs se contente surtout d’égrainer une page par semaine dans un périodique des années 1940 sans savoir où son imagination le conduirait ce qui produit un effet haché désagréable pour qui lit ceci aujourd'hui d'une traite. Il faut surtout considérer cette histoire comme un péché de jeunesse ou un essai aux allures d'images d'Epinal avec nombre de personnages qui seront retravaillés par la suite pour devenir Blake, Mortimer et Olrik. Pas réellement indispensable mais à posséder davantage que les inepties que sont devenues les aventures contemporaines de Blake & Mortimer.


E.P. Jacobs travaille comme illustrateur dès 1939 dans Bravo, hebdo belge qui publiait des séries américaines comme Connie de Frank Godwin, ou Flash Gordon d'Alex Raymond, retitrée "Gordon l'intrépide". L'entrée en guerre des Etats-Unis entraîna l'arrêt des importations de Bd en Europe, et Jacobs fut chargé en 1942 de terminer à la hâte l'épisode en cours de Flash Gordon dans le style de Raymond. Il y parvint si brillamment que les lecteurs ne virent pas la différence, mais l'occupant ne pouvant tolérer le prolongement d'une bande américaine, Jacobs, sur l'insistance du journal, entreprit alors une nouvelle série du même genre, mais avec d'autres personnages qui ne devaient rien aux Américains. Ainsi naquit "le Rayon U", première Bd de Jacobs, réalisée dans un pur style raymondien, avec des héros qui sont des copies de Flash Gordon : Lord Calder rappelle Flash, le Pr Marduk est un clone de Zarkov, la fiancée Sylvia ressemble beaucoup à Dale Arden, tandis que le méchant, Dagon, est très proche de Ming. C'est à peu près tout ce que je peux apprécier dans cette bande de SF inspirée aussi de Le Monde Perdu d'Arthur Conan Doyle, car aujourd'hui, elle paraît bien trop dépassée et obsolète pour intéresser un public de jeunes lecteurs et même de trentenaires par ses lourdeurs et son imagerie naïve. Elle brassait tout un catalogue de péripéties et d'aventures merveilleuses (animaux fabuleux, lieux mystérieux, peuples hostiles...) typiques de l'époque, et constituant une épopée propre à faire rêver le lecteur de cette époque, mais de nos jours, on ne voit plus l'aventure sous cet angle vu et revu, les codes ont changé, la bande accuse trop son âge. De plus, Jacobs y déployait déja son goût pour les textes verbeux, chose que je ne peux plus trop supporter. Même en 1974 lorsque je l'ai lue dans le journal Tintin (dans une version modifiée), ça ne me passionnait pas. Ceci dit, il faut bien-sûr se dire qu'à l'époque, la bande dessinée en était encore à ses balbutiements et tentait de trouver une voie distrayante pour ses lecteurs qu'elle essayait d'accrocher par tous les moyens. Le lecteur était encore "neuf", la moindre aventure mystérieuse ou palpitante le faisait vibrer, aujourd'hui, on a trop de tout, on est plus difficile, il faut donc comprendre qu'on faisait de la BD de la façon dont nous le montre Jacobs à une époque qui sert de jalon pour l'évolution de la bande dessinée telle que nous la connaissons aujourd'hui. Cette bande fera donc les délices des nostalgiques qui ont connu cette époque, et des collectionneurs.

Quelle déception! Ayant apprécié un nombre certains de Blake et Mortimer de Jacobs, je me suis précipité sur cet ouvrage... simpliste, incohérent, avec des répétitions nombreuses (pas de salut sans fuite, etc...). Les personnages se ressemblent tous, l'intrigue ne mène pas à grand chose. Les idées se suivent sans lien...


L'une des bd qui a le plus mal vieilli ! Hormis le fait de voir comment était la bd à l'époque, cette bd est ennuyeuse. Déjà qu'au départ on ne comprend rien à l'histoire, ça devient n'importe quoi ! Ou, peut-être que c'est facile à comprendre mais que j'étais trop paresseux pour comprendre. On tout cas, le scénario n'est qu'une suite de péripéties sans aucun intérêt. Le dessin est par moments moche. Je suis bien content de ne pas être né à l'époque pour endurer des séries comme ça.

Une sacrée bonne vieille série qui débute dans l'hebdo "Bravo" n° 5 de 1943 pour s'y terminer dans le n° 15 de 1944. Pas récent, hein ?... Et c'était en couleurs -(je possède ces "vieux machins" et le "Rayon U" y paraissait en une page semaine)- chose rare car nous étions alors en pleine seconde guerre mondiale et le papier, encore plus la quadrichromie, étaient choses rares. Curieuse histoire aussi que ce "Rayon U". A l'époque, en 1943, Jacobs travaillait sur "Flash Gordon" dont les planches ne lui parvinrent plus suite à l'entrée en guerre des Etats-Unis. Il crée alors ce qui sera sa vraie première BD, ce fameux "rayon". Mais Flash Gordon était fortement apprécié du lectorat et la direction de "Bravo" avait souhaité une certaine continuité de style. Jacobs s'inspire alors fortement de "Flash Gordon" et crée une histoire qui, d'emblée, fera conserver le lectorat. Jacobs crée ou réinvente des décors fantastiques, fait preuve d'une grande originalité dans le développement du scénario et -surtout- bénéficie d'un encrage en quadrichromie assez "magique". Enorme succès de départ. Jacobs va alors quitter la ligne conductrice de "Flash Gordon" qui lui avait été quasi imposée, faire évoluer le scénario -au départ un peu convenu- vers celui de la recherche d'un métal radioactif. "Le Rayon U" ?... il préfigure par ses idées, ses personnages aussi, ce qui sera la grande oeuvre de Jacobs : Blake et Mortimer. Curieux d'ailleurs : c'est fou le nombre de gens qui croient vraiment que ces deux personnages interviennent dans l'album !... "Le Rayon U" ?.. une sorte d'oeuvre de commande transformée "en cours de route", novatrice par ses idées, en très très bonne place dans les préférés de mes collections. Vraiment très très bien !... Cote perso : 4,5/5.

Une BD qui accuse son âge dés les premières pages, cela aurait pu avoir du charme, malheureusement les rebondissements sont incessants (à chaque page quasiment) et l'histoire ne prend pas le temps de se poser. Il en est de même avec les personnages très (trop ?) nombreux auxquels on a du mal à s'attacher. De plus je regrette fortement que cet album soit intégré comme le tome 0 de la série Blake et Mortimer que j'adore, car mis à part l'auteur il n'y a aucun point commun entre ces séries. Il s'agissait sans doute la d'une bonne méthode pour relancer les ventes d'un album moribond vis à vis des collectionneurs. A éviter.
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