Docteur Ohlenschlager

Note: 2/5
(2/5 pour 3 avis)

Docteur Ohlenschlager, Bon Docteur, pas de consultation à domicile.


Absurde Charlie Mensuel Magazine Fluide Glacial Médecine

"Docteur Ohlenschlager, Bon Docteur, pas de consultation à domicile", voilà ce qui est écrit sur sa plaque de médecin. En fait de médecin, le Docteur Ohlenschlager est à mi-chemin entre le psychiatre et le sexologue. Assisté par son imposante assistante et femme de ménage, ses patients sont la grande majorité du temps des femmes superbes avec des seins largement plus gros que la cervelle qui bien souvent se laisse déshabiller, tripoter, manipuler, voire torturer avec le sourire ou avec un air d'ingénue libertine. Et le reste de ses patients sont tout aussi obsédés par leurs problèmes sexuels, psychologiques et anatomiques.

Scénario
Dessin
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution Février 1989
Statut histoire Histoires courtes 3 tomes parus

Couverture de la série Docteur Ohlenschlager © Fluide Glacial 1989
Les notes
Note: 2/5
(2/5 pour 3 avis)
Cliquez pour afficher les avis.

18/04/2004 | Ro
Modifier


L'avatar du posteur Agecanonix

Cette création d'Hugot apparue en 1980 dans les pages de Charlie Mensuel m'amusait un peu sans pour autant me captiver. C'est très certainement la plus délirante de toutes les séries d'Hugot, pire que "Beaucostar", bande humoristique policière de la même veine, vue aussi dans Charlie Mensuel dès 1977. Ce doc dont le nom change selon les parutions en Holehenshlager ou Oelenshläger, est en réalité un obsédé sexuel qui raffole de tripoter les poitrines très avantageuses de ses patientes, sans même savoir de quoi elles souffrent. Assisté de Patouchka, sa secrétaire étrange, le doc se livre à une médecine très spéciale à travers ses consultations qui versent dans le loufoque grand teint, où ses clients sont parfois bien plus déjantés que lui. On sent que Hugot tient là un sujet inépuisable qui lui permet de croquer avec drôlerie une brochette de personnages hétéroclites, où les dialogues sont aussi décalés que les situations. Souvent décriée, la série est en fait, mal comprise, car bien-sûr, c'est inégal, c'est parfois bas de plafond, ça ne vole pas haut, et prétexte à désaper des nanas mamelues, mais dans son ensemble, je trouve l'aspect loufoque plutôt réussi. A lire en biblio ou acheter un tome pour voir.

08/08/2013 (modifier)
Par Jetjet
Note: 1/5
L'avatar du posteur Jetjet

Bon ben voilà… Les délires Fluide Glacial présentent quelques œuvres incontournables mais également un nombre incroyable de machins qui n’auraient jamais du être édités en albums et rester à leur sage petit remplissage du mensuel… Car que peut on penser de ces aventures sans queue ni tête qui présentent et représentent constamment la même chose ? En gros une nana à gros roploplos vient consulter le fameux docteur Ohlenschlager avec une maladie débile, prétexte à se dessaper et à engendrer quelques bosses ou émois au lectorat adolescent male qui se contrefichera de la chute… Car il n’y a même pas d’histoires, juste des prétextes pas très drôles ni enthousiasmants… On lit ce genre d’histoires pour passer le temps… enfin 5 minutes grand maximum et il y aura peu de chances qu’on y retourne… Le bon docteur est aidé par son assistante, une espèce d’indienne méga moche qui n’est là que pour équilibrer le nombre de personnages… Bref c’est à peine mieux dessiné que Pépé Malin du même auteur et ce n’est même pas bandant malgré le talent du monsieur à représenter le sexe faible… Voici le genre typique d’historiettes à lire sur les toilettes dans la salle d’attentes d’un… docteur justement mais de là à en acheter les albums, quelle bonne blague ma bonne dame !

22/03/2011 (modifier)
Par Ro
Note: 2/5
L'avatar du posteur Ro

Encore du Hugot tout craché pour moi. C'est-à-dire que cette série, comme la quasi totalité des BDs de Hugot comporte son lot (énorme) de belles femmes à gros seins, à poil ou alors sur le point de le devenir, de délires, d'absurde, et surtout de délires. Tout est prétexte à parler de cul, à déshabiller le maximum de monde (surtout celui avec les gros seins) et à blablater des délires médico-fantaisistes pour enrober le tout. Une histoire courte comme celle-ci se laisse lire, mais tout un album, puis trois albums, non.

18/04/2004 (modifier)