Blake et Mortimer - L'Art de la guerre
À New York, le capitaine Francis Blake doit prononcer à l'ONU un discours en faveur de la paix devant huit cents délégués venus du monde entier.
Ligne Claire New York Spin-off
Au même moment, dans la section des antiquités égyptiennes du Metropolitan Museum, un homme vandalise la stèle d'Horus avant d'être arrêté par la police. Francis Blake et Philip Mortimer, informés de l'incident par le FBI, connaissent bien cet homme. Il s'agit d'un certain Olrik. Mais celui-ci, plongé dans un état catatonique, a perdu la mémoire. Alors que nous sommes à la veille de l'ouverture de la conférence pour la paix, Blake et Mortimer mènent l'enquête. Le temps presse, car tout incite à penser qu'une grave menace pèse sur l'ONU... Admirateur de l'univers de Jacobs, Floc'h allie sa passion de la « ligne claire » à sa maîtrise de la couleur pour s'approprier avec maestria ces personnages mythiques, qui visitent New York pour la première fois. José-Louis Bocquet et Jean-Luc Fromental signent pour lui un scénario sur-mesure.
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Date de parution | 27 Octobre 2023 |
Statut histoire | One shot 1 tome paru |
Les avis
Je ne suis pas du tout un fan de B&M, donc je n'ai pas ressenti le choc que représente cette adaptation pour les aficionados de Jacobs. Comme je l'avais écrit, je trouve les personnages originaux trop bavards et cette simplification des dialogues me convient bien. J'ai toutefois des réserves avec cette introduction un peu snob de termes anglais et d'un jargon médical prétentieux. Le scénario est d'un grand classicisme qui se plie aux codes de la série. Je garde ma réserve sur cette alliance du militaire et du scientifique pour sauver la paix. Ce pilier fondamental de la série très mis en avant dans le récit, est à l'inverse de la réalité des 70 dernières années. Je comprends les grands cris des spécialistes concernant le graphisme épuré à l'extrême dans les personnages, les décors et le dynamisme de la gestuelle. Cela donne un résultat assez figé dans des cases énormes et disproportionnées par rapport à la composition. C'est un choix surprenant qui conduit à un album à la pagination excessive à mon goût. Une lecture moyenne sans plaisir ni grand déplaisir. Un petit 3
Quelle déception que cette dernière parution ! Utiliser Blake et Mortimer pour illustrer "l'Art de la Guerre" de Sun Tzu avec un graphisme et des couleurs basiques donne un ouvrage peu captivant et très loin la ligne de EP. Jacobs. La suite sera-t-elle : "De la guerre" de Clausewitz ?
Un scénario pas inintéressant mais trop simpliste, une lecture ultra rapide car peu de texte, des dessins grossiers sans floritures. Et que dire de la mise en couleur et de la qualité d’impression (nombrE de page avec des traces de bleu sur les dessins). Bref une grande déception , un album qui ne s’inscrit pas dans la continuité de Blake &Mortimer.
J'ai été déçu de cet album qui est plus une variation d'auteur sur Blake et Mortimer qu'un album de la saga. Peu de dialogues contrairement à Jacobs. On reste donc en dehors des personnages. Les cases sont trop grosses et on est à la limite du gros plan permanent. Figures immobiles. Peu expressives. Décors pas fouillés. A plat de couleurs. Le scénario est pas mal mais bon on a vu mieux même récemment. Le dessinateur s'est fait plaisir mais pas à nous. Pour le suivant retour aux fondamentaux. Décors fouillés, histoire à tiroirs et surtout des dessins pas des tableaux presque immobiles.
Je ne suis pas certain du cheminement qui a amené à ce choix esthétique, mais de la même façon que d'autres plus bas, je dois avouer que j'en suis déçu. Simplification du trait, simplification du décor, simplification du texte, après tout c'est un choix, mais il ne marche pas avec moi. L'histoire est sympathique mais on sent que le texte se simplifie en comparaison avec ses aînés, et ce ressenti est renforcé par la simplification, elle, flagrante, des dessins. Ce sont des décisions qui auraient pu passer sur d'autres séries, ça ne m'aurait pas emballé, mais sans plus. Hélas, là, cela m'empêche de retrouver l'ambiance si particulière de Blake et Mortimer. Dommage pour moi !
Lecteur régulier depuis 1957 de tous les albums de Edgar P. Jacobs je trouve cet exemplaire déplorable. C’est simple… je ne parviens pas à le finir. Le dessin est une véritable trahison. La simplification du dessin est excessive car elle va au delà de la série le Rayon U de 1943 ! C’est dire à quel point ce style est un contre sens majeur. Pourtant j’étais prêt à l’accepter comme j’ai accepté et aimé tous les albums qui ont suivi Les 3 formules du Professeur SATO. Je ne me prononce pas sur le scénario puisque je ne parviens pas à le finir.
C'est le plus mauvais album de B et M que j'ai lu. Dessins et couleurs totalement nuls, texte et scénario insipides. 20 minutes de lecture, pas envie d'y revenir. Cet album sera stocké au rayon le plus bas de mes toilettes.
C'est le 1er album de B&M que je n'ai pas su lire jusqu'au bout, ça résume bien la situation. J'ai pu commencer à le lire chez un ami qui m'avoué avoir gaspillé son argent. Pour ma part, je ne l'achèterai pas (sauf en solderie, et encore), cet album ne sera donc pas aligné à côté des autres de la même collection sur mon étagère consacrée à B&M. On va dire que c'est un B&M selon Floc'h, mais justement, c'est ça le souci : graphiquement, c'est plaaat, on dirait presque un travail d'amateur des années 50, avec un gros trait pour ne pas dessiner les détails. Parfois, j'ai eu l'impression que le dessinateur avait décalqué des photos d'époque. 120 pages avec des planches qui n'ont parfois que 3 cases ? Pauvres arbres ! Bon, c'est vrai, parfois, on a affaire à quelques "belles" cases que certains "érudits" en pamoison encadreront volontiers dans leur salon sauce vintage, mais dans ce cas, ce n'est pas de la BD, c'est de la déco en sérigraphie. C'est peut-être là la clé du souci global concernant cette "BD". Le scénario semble intéressant, mais il est totalement torpillé par le mauvais ressenti du graphisme. Ce qui n'a pas arrangé les choses, c'est l'interview qu'a donné le dessinateur que je peux résumer à : tous des traîtres sauf moi. ---Ajout--- Dans une très récente pub, j'ai lu : par le grand maître de la ligne claire. Depuis quand Floc'h est LE grand maître de cette fameuse ligne claire ? Je vois d'autres dessinateurs qui pourraient mériter le titre de "maître", mais pas vraiment Floc'h.
Pourquoi l'avoir dessiné ainsi ? Je n’ai rien contre le scénario (attention contre Floc'h non plus, je ne me le permettrais pas) mais ce dessin (grosses cases, trait gras, personnages statiques) affligeant, consternant donc, de ce fait, j’ai été rechercher le hors-série du dernier Pharaon qui était déjà particulier en lui même et le classique 8h à Berlin et là, ça ne souffre d’aucune comparaison d'où ma note de 5 pour le scenario et 1 pour l’encre et papier parce qu'il en a fallu du papier en pleine période de crise et le prix 23€.
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