Nuts (Otona ni Nuts)

Note: 1/5
(1/5 pour 1 avis)

Natsumi est une petite fille qui rêve de devenir rapidement une jeune femme séduisante. Un jour, alors qu'elle goûte accidentellement à des noisettes magiques, elle voit son désir se concrétiser.


Kodansha Séries avec un unique avis Shojo

Natsumi est une petite fille qui rêve de devenir rapidement une jeune femme séduisante. Un jour, alors qu'elle goûte accidentellement à des noisettes magiques, elle voit son désir se concrétiser. Malheureusement, même si les aventures qu'elle s'apprête à vivre sont toutes plus extraordinaires et drôles les unes que les autres, elle va vite comprendre qu'être adulte n'est pas de tout repos.

Scénario
Dessin
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution 13 Octobre 2005
Statut histoire Série terminée 4 tomes parus

Couverture de la série Nuts © Kurokawa 2005
Les notes
Note: 1/5
(1/5 pour 1 avis)
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19/03/2018 | Mac Arthur
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Abandon à la reprise du troisième round. C’est con, il n’y avait que quatre rounds de prévu. Oui, mais voilà, le découpage est tellement brouillon que cette histoire devient franchement trop pénible à lire ! Avec un synopsis pareil, je savais bien dans quelle contrée je m’aventurais. Je n’en attendais pas l’intrigue du siècle, juste un truc sympa monopolisant un nombre restreint de neurones, avec de l’humour à deux balles, des personnages caricaturaux, des rebondissements certes répétitifs mais, en quatre tomes, ça devait pouvoir passer. Et, effectivement, le scénario est assez débile (une jeune adolescente devient adulte lorsqu’elle mange une noisette) et bourré d’incohérences (par exemple, les vêtements de la fille changent en même temps que son âge, le pantalon informe quand elle est jeune devient mini-jupe sexy dès qu'elle vieillit) mais c’est pas grave, c’était prévu. Et, effectivement, les personnages sont caricaturaux au possible. Mais, et c’est déjà un peu plus grave, ils ne sont absolument pas attachants. Tous sont surexcités. Aucun n’apporte quelque chose de différent. Quel que soit le personnage qui parle, tu as l’impression qu’il s’agit du même tant le ton est identique… Et, effectivement, comme le veut le genre, on a droit aux interventions de la mangaka qui nous raconte sa vie dans des cases où c’est écrit tellement petit que si tu n’as pas la vue d’un pilote de chasse de l’armée russe tu es bon pour un éclatement de la rétine à vouloir déchiffrer des propos qui, au final, n’ont strictement aucun intérêt. Et là, subrepticement, ça commence à saouler grave. Et, enfin, il y a la mise en page. C’est quoi ce foutoir ? Rapidement, on ne sait plus quel dessin est à lire avant l’autre ! Et les dialogues et monologues se chevauchent pour achever le lecteur désireux de comprendre un peu de quoi il retourne. Cela vous donne des enchaînements de texte du type : - Je suis surprise - Mais tu manges - qu'il mange des frites - des frites - avec de la mayonnaise - devant moi - Mais oui, j'aime bien ! - sans m'en proposer ! Le but du jeu étant alors de raccrocher chaque bribe de phrase pour en faire une phrase cohérente avant de relier le tout au protagoniste qui parle ou pense (ou pète ?) Des personnages arrivent sans que l’on comprenne de qui il s’agit, pourquoi ils sont là. Et comme les morphologies et visages sont typiquement mangas, à plus d’une reprise, je me suis demandé qui parlait de quoi et pourquoi… Et bonjour pour deviner le sexe de certains de ces personnages ! Heureusement que certains portent une mini-jupe car, en général, le doute diminue à la vue de la petite culotte. Tout ça dans une série que j’espérais pouvoir lire d’un œil distrait, en souriant comme un trépané devant une émission de télé-réalité ! Ben, c’est loupé ! Non, franchement, je vous le déconseille. J’aurais pu dire « bof » mais, en vérité, le « bof » je préfère le garder pour des séries dont j’arrive au terme, même si je dois parfois un peu me forcer pour ce faire. Ici, c’est pire que « bof ».

19/03/2018 (modifier)