Les Zombies n'existent pas

Note: 2/5
(2/5 pour 1 avis)

D’après le roman Lazarus d’Emanuel Dadoun paru aux éditions Sarbacane.


Adaptations de romans en BD Serial killers Séries avec un unique avis

Piquier tue. Il tue dans les villes – Rouen, St Brieuc, Paris… Il tue sans logique apparente. Mais il tue toujours selon le même rituel : une victime anonyme, un doigt coupé et un signe cabalistique tracé au sang, sur un mur. Pourquoi ? Il l’ignore lui-même. C’est « la voix » dans sa tête qui le force à agir, interférence spectrale lui chuchotant ses consignes, comme des mélopées de cauchemar. De son côté, l’inspecteur Kowalski enquête. Accumulant les indices, il dessine peu à peu le portrait-robot de son suspect – un raté, licencié de la vie, broyé dans les rouages de la matrice… jusqu’à ce qu’un nouveau rebondissement l’arrête : Piquier est mort depuis un an exactement !… (texte : Editions Sarbacane)

Scénario
Dessin
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution 06 Novembre 2013
Statut histoire Série abandonnée 1 tome paru

Couverture de la série Les Zombies n'existent pas © Sarbacane 2013
Les notes
Note: 2/5
(2/5 pour 1 avis)
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15/01/2015 | Spooky
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Par Spooky
Note: 2/5
L'avatar du posteur Spooky

Nous voilà dans un polar d'allure assez classique, avec un flic rennais qui commence à enquêter sur une série de meurtres étranges, avec un étrange rituel : les victimes ont un doigt coupé par le tueur. Très vite les morts s'enchaînent, dans d'autres villes de France, tandis que tout indique que l'origine du mal est au Mexique... Les péripéties s'enchaînent, de façon assez logique je dirais, sauf que le rythme est lancinant, et qu'on finit par s'endormir un peu... C'est dommage car l'intrigue en elle-même n'est pas déplaisante. C'est Sylvain Escallon qui réalise lui-même l'adaptation, et je dois dire ne pas avoir trop apprécié son style. Cela ressemble un peu à ce que fait Nicolas Otero, mais en moins maîtrisé, même si certaines cases de grande taille démontrent des bonnes capacités en mise en scène. Le noir et blanc, adapté à son style, n'est toutefois pas un gage de réussite. Bref, une histoire loin d'être inintéressante, mais avec un impact émoussé par le traitement du découpage et du graphisme.

15/01/2015 (modifier)