La Guerre des boutons (Glénat)

Note: 3/5
(3/5 pour 1 avis)

La campagne française, à la fin du XIXe siècle. Comme à chaque rentrée scolaire, entre les deux villages voisins de Longeverne et Velrans, c'est la guerre… Une guerre terrible, menée par les valeureux Lebrac et l'Aztec du Gué et émaillée de tactiques inédites comme la bagarre tout nu ! En effet, la suprême humiliation des vaincus étant de voir leurs boutons de culotte pillés par les vainqueurs, les courageux soldats sont prêts à tout pour sauvegarder leur honneur… (texte de l'éditeur)


1872 - 1899 : de la IIIe république à la fin du XIXe siècle Adaptations de romans en BD Bande de gosses La BD au féminin La Guerre des boutons Séries avec un unique avis

La campagne française, à la fin du XIXe siècle. Comme à chaque rentrée scolaire, entre les deux villages voisins de Longeverne et Velrans, c'est la guerre… Une guerre terrible, menée par les valeureux Lebrac et l'Aztec du Gué et émaillée de tactiques inédites comme la bagarre tout nu ! En effet, la suprême humiliation des vaincus étant de voir leurs boutons de culotte pillés par les vainqueurs, les courageux soldats sont prêts à tout pour sauvegarder leur honneur… Ce roman de Louis Pergaud publié en 1912 est l'un des plus célèbres récits d'enfance de la littérature. Il fleure bon l'amitié indéfectible, les bobos sur les genoux et l'encre des porte-plume d'écolier ! En voici une adaptation toute en rondeur, enfantine et potache !

Scénario
Oeuvre originale
Dessin
Couleurs
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution 04 Janvier 2012
Statut histoire One shot 1 tome paru

Couverture de la série La Guerre des boutons (Glénat) © Glénat 2012
Les notes
Note: 3/5
(3/5 pour 1 avis)
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12/07/2012 | Mac Arthur
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L'avatar du posteur Mac Arthur

Une adaptation soignée de l’œuvre chère à Louis Pergaud. Bien sûr, des raccourcis sont pris et certains passages sont « oubliés » mais l’essentiel est bien là et on retrouve tous les moments clés du roman (ou du film, pour celles et ceux qui n’auraient jamais lu le roman) dans ce court récit de 48 pages… qui parvient tout de même à ne pas ressembler à un résumé. Malheureusement, et c’est peut-être une conséquence du format, je n’ai pas retrouvé l’émotion que j’attendais. L’ensemble est un peu froid même si tous les personnages ressemblent à l’image que j’en avais. Le dessin est à l’image du scénario. Soigné et bien fait mais sans ce petit plus en plus qui aurait permis à la série de sortir du rang. Un bon emprunt de bibliothèque, qui devrait plaire aux jeunes lecteurs et rappeler des souvenirs aux plus anciens, mais pas un indispensable. Sur le même sujet, j’avais préféré l’adaptation de Mathieu Gabella et de Valérie Vernay chez « petit à petit » (voir « La Guerre des Boutons ») qui, il est vrai, s’étalait sur un nombre plus important de pages.

12/07/2012 (modifier)