Far Albion

Note: 2.5/5
(2.5/5 pour 2 avis)

La Terre n'est plus. Les anciennes nations se sont réparties des secteurs de l'espace et les ont colonisés. Certaines se sont développées dans l'isolement, d'autres en alliances plus ou moins consenties. Le secteur britannique se nomme Far albion... et il est dirigé par les Lords. Depuis toujours, Far albion est un protectorat de l'Imperium (les descendants des États Unis). Cependant, affaibli, celui-ci l'abandonne.


Institut Saint-Luc, Liège Lanfeust Mag Space Opera

Mais un ennemi se prépare à fondre sur le secteur de Far albion. Le premier contact depuis des millénaires entre l'Humanité et une entité extérieure va se produire... Isolés derrière une ligne de défense connue sous le nom de « Mur », il est temps désormais pour les Albians d'assurer seuls leur propre défense...

Scénario
Dessin
Couleurs
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution 21 Mars 2012
Statut histoire Série terminée 2 tomes parus

Couverture de la série Far Albion © Soleil 2012
Les notes
Note: 2.5/5
(2.5/5 pour 2 avis)
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22/03/2012 | Ro
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Par Puma
Note: 2/5

Si le tome 1 était divertissant avec un graphisme honnête, la fin de celui-ci était étrange ; une sorte d’Excalibur en mode science-fiction. Le début du tome 2 reste dans la lignée du tome 1, distrayante, davantage invraisemblable tout de même, avec une conclusion (que je ne dévoilerai pas pour les éventuels lecteurs) qui m'a laissé de marbre ! Dommage qu'une fin aussi "plan plan" voire facile ou décalquée, ait été choisie, dans un univers qui globalement jusque-là, tenait assez bien la route.

13/05/2013 (modifier)
Par Ro
Note: 3/5
L'avatar du posteur Ro

Far Albion, c'est un Space opera d'action pour adolescents. Il présente beaucoup de clichés et de facilités sur lesquels il vaut mieux ne pas s'attarder pour profiter simplement du divertissement. Mais malgré cela, il se révèle plutôt efficace et divertissant. Au rayon des clichés, nous avons un gros rappel du film Aliens de James Cameron, avec les colonial marines, leurs sorties d'hibernation et les comportements virils qui s'en suivent. Nous avons également tout le contexte de vaisseaux spatiaux militaires, de zone frontière et de menace étrangère mystérieuse qu'on retrouve dans nombre de scénarios typiques de science-fiction qui ne se prennent pas la tête. Au niveau des facilités, nous avons quelques belles invraisemblances scientifiques, comme ces communications qui vont plus vite quand on y met plus de puissance ou ce mur de défense spatial formé de quelques stations compte tenu de la quantité invraisemblable que cela en supposerait pour garder ne serait-ce qu'une infime portion de l'espace intersidéral. Sans parler de tous les bruits de tirs et d'explosions dans l'espace... Mais jusque là, nous n'avons rien de plus choquant que dans un Star Wars, un Cinquième Elément ou un bon vieux film tel que The Last Starfighter. Le graphisme, pour sa part, est dans un style classique du magazine Lanfeust Mag. Simple et efficace, il n'est pas particulièrement attrayant à mon goût mais ne présente pas de défaut manifeste. Or donc, avec tout ça, j'ai plutôt bien aimé la première moitié de ma lecture. L'ambiance des colonies spatiales, des marines de l'espace et ce mystérieux engin étant peut-être le premier contact avec une civilisation non-humaine avait de quoi titiller mon intérêt, aussi stéréotypé que cela puisse paraitre. La seconde partie du tome 1 m'a hélas refroidi quand apparait soudain la trop classique fédération des gentils peuples galactiques confrontée aux gros méchants qui attaquent tout le monde, et surtout ensuite cette histoire de prophétie et de relique transmise aux bons héros humains. Tout cela laisse craindre un très banal récit d'action "à la Soleil", manichéen au possible, avec prophéties et élus à la clé. Et rien ne va à l'encontre de ces craintes avant la fin du premier tome. Je réserve donc mon avis pour le moment. Il y a du bon divertissement à même de satisfaire un lecteur adolescent mâle dans cet ouvrage, mais aussi le risque que cela tourne à quelque chose de trop convenu et trop facile.

22/03/2012 (modifier)