Shutterbug Follies

Note: 2.33/5
(2.33/5 pour 3 avis)

A voir aussi la suite : Motel art improvement service Bee, jeune photographe travaille dans un labo de développement express au sud de Manhattan. Un boulot tranquille jusqu'à ce que les photos développées aient pour sujets des cadavres bien sanglants.


Comix Format à l’italienne Les Roux ! New York Photographie

Bee vient tout juste de terminer ses études secondaires et a pris un travail dans un labo photo express au sud de Manhattan. Elle a pour habitude de dupliquer pour sa collection personnelle les photos qu'elle trouve intéressantes ou originales. Un jour, des clichés de cadavres passent entre ses mains. Elle commence alors à se poser des questions sur certains de ses clients.

Scénario
Dessin
Couleurs
Traduction
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution 19 Janvier 2011
Statut histoire One shot 1 tome paru

Couverture de la série Shutterbug Follies © Akileos 2011
Les notes
Note: 2.33/5
(2.33/5 pour 3 avis)
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20/01/2012 | Mac Arthur
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Par Spooky
Note: 2/5
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Bon, je m'attendais à un comic underground décalé, intéressant, peut-être même un peu trash... Il faut dire qu'avec le pitch, il y avait de quoi être intrigué... Cette nana, employée chez un développeur photo, qui se retrouve à zieuter d'étranges clichés, assistant presque en direct à une tragédie familiale... Mais hélas, le récit ne décolle pas vraiment, se déroulant sur un rythme faussement trépidant, tandis que les personnages sont finalement relativement creux, l'héroïne en particulier. Côté dessin, ce n'est pas mal, sans être véritablement révolutionnaire, même si Jason Little fait de chouettes cadrages. Vraiment bof.

27/08/2012 (modifier)
Par PAco
Note: 3/5
L'avatar du posteur PAco

Un format à l'italienne (que j'affectionne particulièrement), des couleurs bien peps' pour un dessin ligne claire très racé : voilà de quoi m'ouvrir l'appétit ! Ajoutez à cela des cadrages et une mise en page des planches très travaillée, tout cela sent bon la perle rare. Mais voilà, passé les premiers émois de la bonne surprise graphique et la bonne idée de départ qui met en branle l'intrigue et l'enquête, la suite de l'histoire ne casse pas trois pattes à un canard et reste somme toute assez convenu et le suspens assez vite éventé. Du coup, ça traîne un peu en longueur et le rythme voulu perd en intensité. Dommage, car le style de Jason Little m'avait bien accroché la rétine, mais son histoire manque d'endurance et de surprises en cours de route. A lire pour découvrir, mais pas forcément à acheter, donc.

10/02/2012 (modifier)
L'avatar du posteur Mac Arthur

Un récit délibérément naïf… trop naïf pour moi ! Car, franchement, cette enquête policière ne recèle aucune surprise. Le coupable nous est désigné rapidement, ses motivations (à quelques détails de moindre importance près) aussi. Les personnages ne sont pas inintéressants mais manquent de profondeur. Restaient donc la narration et le dessin pour m’accrocher. Et là, je dois pousser un bof de désappointement. La narration issue d’une traduction n’est pas désagréable mais manque de naturel et n’apporte pas grand-chose. Le style est passe-partout, parfois trop bavard, et l’humour y est des plus plats (s’il s’agit bien d’humour). Le dessin, lui, reste dans une veine naïve. Dans le genre, c’est plutôt bien fait, très lisible et relativement expressif… mais c’est loin d’être ma tasse de thé. L’auteur (pour accrocher les regards ?) glisse de temps à autres dans ses cases des femmes en petites tenues ou dans des robes sexy sans que cela ne se justifie d’une quelconque manière par le scénario. C’est pas que ça me dérange mais cela m’a tout de même distrait de ma lecture (bon, fallait pas grand-chose pour m’en distraire non plus, c’est un fait). Au final, je me suis ennuyé durant cette lecture même si je trouve que le personnage principal a « quelque chose ». Pour la cote, j’hésite entre « pas aimé » (ce qui est le cas) et « bof » (qui se justifie par le fait que je suis quand même parvenu à la fin de l’album). Dans un cas comme dans l’autre, j’ai trouvé cette lecture très dispensable…

20/01/2012 (modifier)