Les Femmes en blanc présentent...

Je trouve la série originale très moyenne après les premiers tomes (cela doit être une des moins bonnes séries de Cauvin), mais après avoir lu cette espèce de spin-off je me demande si Les Femmes en blanc n'est pas une si mauvaise série. Ici, on retrouve des mini-récits parus dans le journal de Spirou et édités en albums (d'ailleurs je pense qu'on aurait pu facilement faire un seul album). Chaque album présente un différent métier lié au domaine de la santé et l'humour n'est vraiment pas drôle. Je sais que Cauvin n'est plus drôle depuis des années, mais là ce n'est tellement pas drôle que je me demandais parfois s'il avait essayé de mettre des gags car on a surtout droit à une présentation chiante de ces différents métiers. Heureusement que les albums se lisent vite. J'aime bien le dessin de Bercovici, mais ici j'ai l'impression qu'il a dessiné à la va-vite parce qu'il en avait rien à cirer.

29/02/2016 (modifier)

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Je n'aime pas vraiment Les Femmes en blanc... Dans Spirou, ce que je trouve le plus pénible à lire, c'est les minis-récits, les pages sont minuscules et il faut tourner le journal dans tous les sens (j'emprunte les Spirou hebdo que je lis, je ne vais quand même pas détacher ces mini-récits), alors quand j'ai lu ces "Les Femmes en blanc présentent..." en mini-récit, on était plus proche de la séance de torture que du divertissement . Donc cette série a en commun avec Les Femmes en blanc, le dessin de Bercovici. J'ai trop de mal avec son dessin, et c'est le dessinateur gros-nez/franco-belge dont j'aime le moins le dessin (qui est, j'ai l'impression, encore plus nerveux, brouillons et bâclé ici). Alors quand les scénarios ne sont plus des gags en quelques planches comme dans la série originelle, mais la présentation de ces métiers lors de conférences humoristiques vraiment dénuées...d'humour, ça passe mal. Un coup marketing de chez Dupuis, pas vraiment réussi (quelle idée de garder des formats petits en album).

04/08/2011 (modifier)

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Navrant, c’est la conclusion la plus approprié pour résumer ces séries ! Le tandem Bercovici/Cauvin a tenté d’occuper le marché des albums à thèmes, genre éditeur Bamboo. Ils se sont jetés à la va-vite sur les métiers paramédicaux encore non utilisés, pour occuper le marché… Résultat : là ou Bamboo a réussi à démontrer son savoir faire, notre duo a plutôt montré son savoir non faire… Aucun humour, c’est lassant, plat, graphiquement désespérant, fait trop rapidement… Je sais que Bercovici dessine plus vite que son ombre, mais là c’est de l’industriel… Zéro pointé ! Idem pour Cauvin, il y a bien longtemps que ces scénarios sont creux, son humour fatigué et ses histoires dépassées… mais ce genre de scénarios sur commande c’est… je ne trouve pas les mots pour résumer ces albums… gaspillage de papier, voilà c’est dit !!!

03/05/2011 (modifier)

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Tout commence dans le journal de Spirou numéro 3641 du 23 janvier 2008, un spécial femmes en blanc, dans lequel Bercovivi a fait un canular de séries parallèles aux femmes en blanc : les dermatologues, les médecins légistes, les dentistes, les chirurgiens esthétiques, les rebouteux et les acupuncteurs. Plus tard dans l'année, avec le retour des minis récits, il a été proposé à Bercovici de faire des minis récits femmes en blanc et il s'est servi de sa blague pour finalement faire un mini récit pour chaque métier médical proposé. Ces minis récits sont parus dans Spirou de 2008 à 2010. Mars 2011, ces 6 minis récits sont sortis en petit album cartonné. Passons à la critique en elle même... Les femmes en blanc n'est en lui même pas un exemple d'humour parfait, alors si il est à ce format long sur un sujet imposé, on tombe vite sur des gags plats et des situations déjà vues. Les métiers choisis auraient pu donner des histoires drôles en histoire courte dans un album de la série mère, mais l'ensemble est dilué et étiré. De plus les planches ont été agrandies pour pouvoir faire un format d'album décent, mais l'ensemble est grossi et le style "vite fait" de Bercovici renforcé par la rapidité à laquelle les minis récits doivent être faits s'en retrouve déformé. Bref, un énième coup marketing de Dupuis, pas des plus réussis. On comprend pourquoi quasiment aucun mini récit n'a été édité en album cartonné...

01/05/2011 (modifier)

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