Celia

Note: 2/5
(2/5 pour 1 avis)

Les forces du mal s'apprêtent à envahir la Terre. Il est temps pour les humains de prendre les choses en main et de lutter contre les créatures maléfiques... Dans la citée de Mynian, la jeune princesse Célia tente d'échapper à sa destinée et s’enfuit du palais déguisée en servante...


Diables et démons Manga : 1996/97, l'explosion Manhua Séries avec un unique avis Tonkam

Les forces du mal s'apprêtent à envahir la Terre. Il est temps pour les humains de prendre les choses en main et de lutter contre les créatures maléfiques... Dans la citée de Mynian, la jeune princesse Célia tente d'échapper à sa destinée et s’enfuit du palais déguisée en servante...

Scénario
Dessin
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution 24 Septembre 1996
Statut histoire Série abandonnée (2 cycles publiés uniquement, même en VO) 5 tomes parus

Couverture de la série Celia © Tonkam 1996
Les notes
Note: 2/5
(2/5 pour 1 avis)
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05/08/2010 | Pasukare
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Par Pasukare
Note: 2/5
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Le premier tome de cette série est catastrophique du point de vue de la narration et du lettrage ! Entre les fautes de frappe, les oublis d’espaces entre deux mots, les découpages foireux pour aller à la ligne et les prénoms à orthographe évolutive, la lecture est assez difficile. Heureusement, le T2 et les suivants sont de ce point de vue de bien meilleure qualité et ce n’est pas du luxe… Ajoutons à cela des transitions parfois un peu abruptes voire inexistantes, ça donne une histoire à laquelle on a du mal à accrocher. Côté scénario, l’univers du premier cycle de « Celia » est pour le moins manichéen ! Les forces du bien avec des gentils, les forces du mal avec des méchants, les gentils ont gagné, les méchants reviennent et ne sont pas contents, bref… rien de bien original. L’humour est un peu fade, les faciès déformés pour la dose réglementaire de trucs drôles tombent un peu comme un cheveu sur la soupe, certains personnages apparaissent mais ne servent jamais par la suite, il manque quelque chose pour faire sortir l’histoire du lot. Le second cycle est un peu plus intéressant même s’il reste hyper théâtral, mais la quête dont il est l’objet est plus prenante et mieux construite. Malheureusement, comme on le constate en arrivant au dernier tome, ce n’est que la fin d’un cycle… et les suivants ne verront sans doute jamais le jour (même en VO). Du coup, cette fin où les méchants gagnent, ne présente pas le même intérêt que si elle avait été définitive car on devine qu’au bout du compte, le bien aurait eu sa revanche. Si intérêt il y a dans cette série, il est essentiellement graphique à mes yeux : même si les visages manquent de variété, le dessinateur a un talent certain pour les scènes d’action, les envolées graphiques, les longues chevelures et les armures. Un dessin tout en couleurs très réussi donc, avec parfois, c’est étonnant, des planches à lire dans le sens « paysage », en tournant la BD à 90°. La lecture se fait dans le sens japonais alors que c'est un manhua, ça m'a étonnée, je ne sais pas si c'est bien le sens original de lecture ou si c'est une opération marketing pour faire "genre". Série achetée uniquement pour son titre, je n’avais pas d’espoir particulier concernant son contenu, j’en ressors donc ni déçue, ni enthousiaste (sauf peut-être pour certaines planches).

05/08/2010 (modifier)