TeknoGeo

Note: 1/5
(1/5 pour 1 avis)

Dans un monde où tout n'est que rouages...


Auteurs italiens Paquet Robots Séries avec un unique avis

Quelque part dans l’espace temps se situe Teknogeo, un environnement mécanique et artificiel où cohabitent humains et robots. Alors que Henry et Justine batifolent dans la nature au pied d’un arbre métallique, ils entendent un grand bruit. Un ange métallique vient de tomber du ciel. A l’encontre de tous les principes de leur société, et en dépit des protestations de Justine, Henry en récupère plein de morceaux dans un grand sac, dans le but avoué d’en tirer quelque profit. Il s’empresse ensuite de cacher en douce son sac dans un recoin de son monde, persuadé d’être seul… mais il est espionné par nombre de villageois. Parallèlement, dans l’unité des robots, une missive pneumatique tombe. Des années que cela n’était pas arrivé. Un peu perplexes, les robots appliquent la procédure en vigueur. Ils envoient l’un des leurs apporter l’ordonnance dans « les bureaux » pour la décoder…

Scénario
Dessin
Couleurs
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution Février 2005
Statut histoire Série abandonnée 1 tome paru

Couverture de la série TeknoGeo © Paquet 2005
Les notes
Note: 1/5
(1/5 pour 1 avis)
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10/12/2009 | Spooky
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Par Spooky
Note: 1/5
L'avatar du posteur Spooky

Décidément chez Paquet on n'a pas de chance avec le duo de scénaristes Porcelli/Gualdoni... Après Fantaghenna c'est leur seconde série lancée puis abandonnée... Et comme dans cette autre série, la faute en revient principalement au mode de narration. Eclaté entre plusieurs sous-intrigues, qui sont bien sûr liées, il n'en reste pas moins que les sauts de l'un à l'autre sont d'une maladresse presque criminelle, le lecteur décrochant très vite de cette histoire inutilement compliquée... Dommage, car l'univers développé avait le mérite d'être un peu original, avec l'omniprésence du métal, des robots, des rouages... Un monde qui semble faire partie d'une structure en orbite, bien mystérieuse. Mais même cet intérêt est désamorcé par la narration, tout sauf fluide. On ne comprend pas ce que font ces personnages, et très vite on se désintéresse d'eux. Dommage (bis), car le dessin de Gianfranco Enrietto, dont ce fut le premier album, vaut quand même le coup d'oeil, dans un style semi-réaliste qui a besoin d'encore mûrir, même s'il est déjà très intéressant sur certains plans. Du gâchis.

10/12/2009 (modifier)