Au nom de la famille (Family Man)

Note: 2/5
(2/5 pour 3 avis)

A une heure dans le futur, le crime hante New York City, une ville devenue folle.


DC Comics Gangsters New York

Seule la survie a force de loi. Des flics brutaux patrouillent dans les rues jonchées de décombres. Et les Dons de la Mafia crèvent de trouille dans leur geôles luxueuses...

Scénario
Dessin
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution 02 Octobre 1995
Statut histoire One shot 1 tome paru

Couverture de la série Au nom de la famille © Casterman 1995
Les notes
Note: 2/5
(2/5 pour 3 avis)
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06/01/2009 | cac
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Par Adrien
Note: 2/5

J'ai eu beaucoup de mal à terminer cette BD (au format bizarre : un gros comics au format un peu manga ?). Le dessin et le scénario sont très confus. De nombreuses cases ne sont pas compréhensibles, même en s'y arrêtant très longuement. Je ne suis jamais vraiment rentré dans l'histoire. Trop de personnages aux comportements parfois incompréhensibles, de la mafia, un maire, des frères et sœurs, des demi-frères et des demi-sœurs, des personnages secondaires qui se révèlent en fait de premier ordre sans qu'on comprenne trop comment (Comme Dorothée ou Alice), des gros bras... L'ambiance générale est aussi bizarre. On ne sait pas trop si on est dans un monde complètement post-apocalyptique. Une page, on a l'impression que l'humanité entière est complètement pourrie, que les meurtres sont monnaie courante, plus de police, des bandes qui pillent et massacrent tout le monde, un peu comme dans l'excellent Hombre d'Ortiz et Segura. Et la page suivante, le maire parle d'accueillir une nouvelle équipe de baseball dans le stade, Alice continue à ouvrir son agence immobilière, à louer des appartements et à discuter du marché immobilier. Il y a quelque chose qui cloche... Je déconseille fortement.

19/11/2018 (modifier)
Par Ro
Note: 2/5
L'avatar du posteur Ro

Bof bof... Cette bande dessinée se la joue polar noir dans une ambiance de guerres entre mafias, police et autres comploteurs brutaux dans le décor de New York. Il y a des hommes de mains, des flics corrompus, des chasseurs de primes, des mercenaires, des voyous, des politiciens véreux, des riches influents... mais le récit est vraiment trop confus. Le graphisme noir et blanc me fait penser à un mélange du style des polars de la BD argentine et du trait anguleux de Frank Miller. L'ambiance rugueuse de ce combat de "vieux de la vieille" rappelle d'ailleurs un peu celle de Sin City. La narration graphique n'est cependant vraiment pas claire. Certaines scènes sont dures à déchiffrer et les passages d'action sont plutôt ratés. Les motivations des personnages sont incompréhensibles et changeantes. A force de péripéties et de retournements de situations aussi peu crédibles les uns que les autres, j'ai rapidement été lassé. Je suis quand même allé jusqu'au bout de ce trop long album mais sa conclusion peu convaincante m'a donné l'impression d'avoir en grande partie perdu mon temps.

29/05/2010 (modifier)
Par cac
Note: 2/5
L'avatar du posteur cac

Un one-shot de près de 300 pages de l'ancienne collection Manga de Casterman, paradoxalement paru également chez DC Comics, cet album de 1995 suit donc le format asiatique en terme de nombres de pages, et est réalisé entièrement en noir et blanc. D'ailleurs pour parler du dessin, il n'est pas franchement génial, il y a un abus de trames pour pallier l'absence de couleurs peut-être, je ne connais pas précédemment le dessinateur Staton, et il semble d'après sa bibliographie par ailleurs sur le net que cet album fut le premier et le dernier. Côté histoire, cela commence pas trop mal malgré un pitch en 4ème de couverture qui fait pas spécialement envie. On est dans un proche futur, le crime est omniprésent à New-York, la mafia règne sur la ville. En gros c'est la guerre des gangs, et un homme affilié à un des derniers "Dons" qui tombe en désuétude, et d'autre part son frère du clergé mais plus ou moins flic s'affrontent. Bref il y a d'autres personnages dans la galerie, c'est parfois un peu confus, et j'avoue que le dessin n'aide pas à s'intéresser Finalement ça ne m'a pas botté plus que ça et un 2ème parcours rapide de l'album me laisse tiède. Pourquoi pas mais dispensable.

06/01/2009 (modifier)