Ma femme est une étudiante (Hiyoko Brand Okusama ha Joshi kousei)

Note: 2.5/5
(2.5/5 pour 2 avis)

Asami Onohara est une jeune étudiante secrètement mariée à son professeur de physique. Ce dernier a décidé de rester chaste jusqu’à la fin des études de son épouse.


Hentai La BD au féminin : le manga Shueisha Tonkam

Or, avec le temps qui passe, Asami prend de l’assurance et fait tout pour que son cher mari la remarque… Un long et doux calvaire pour ce brave homme !

Scénario
Dessin
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution 09 Septembre 2007
Statut histoire Série terminée 13 tomes parus

Couverture de la série Ma femme est une étudiante © Tonkam 2007
Les notes
Note: 2.5/5
(2.5/5 pour 2 avis)
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20/09/2007 | ArzaK
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Par fonch001
Note: 3/5

La mangaka de Peridot se lâche dans un genre qui colle bien à son graphisme: l'érotisme. J'ai trouvé que le premier tome ressemblait plus à un art book avec toutes ces pages en couleurs et scènes ultra courtes et sans lien les unes aux autres. Sans grand intérêt donc. Heureusement le second tome m'a fait changer d'avis. Car le style change totalement, exit les pages en couleurs et, à la place, nous avons droit à un manga chapitré et construit. Bien meilleur. Que ceux qui ont peur de voire une adolescente forniquer se rassurent : l'héroïne, bien que lycéenne est une femme et ne ressemble ni physiquement ni par le comportement ou les préoccupations à une gamine. En revanche, puisque les pages couleurs se raréfient, je peine à trouver une justification au tarif prohibitif de cette œuvre, la bonne qualité du papier étant déjà compensé par un nombre de page réduit... Le scénario quand à lui ne mène pas bien loin et fait beaucoup de surplace, c'est un peut trop lent dans l'évolution des personnages et de leurs aventures pour véritable captiver le lecteur, dommage.

14/02/2008 (MAJ le 07/04/2009) (modifier)
Par ArzaK
Note: 2/5

« Ma femme est une étudiante », beau titre, assez évocateur, même si le véritable titre français aurait du être « Ma femme est une collégienne ». Mais l’éditeur français a préféré rester plus évasif… A l’intérieur une mention indique, entre autre que « Tous les personnages représentés dans les scènes d’ordre sexuel dans ce livre sont âgés de 18 ans et plus. » Et le bouquin commence pratiquement par les mots « Je m’appelle Asami, j’ai bientôt 18 ans et je suis étudiante… » Tonkam se foutrait-il pas un peu de notre pogne ? En fait c’est plutôt l’auteur, qui est une femme, déjà coupable du formidablement bas de plafond Peridot, qui se paie joyeusement notre tête. La jeune Asami a donc 17 ans et est mariée en secret ( ?) à un de ses professeurs, un lunetteux avec la gueule de puceau-type que l’on croise dans un manga sur deux. Ce dernier, soucieux de son rôle de pédagogue (snif !) ne veut pas consommer, il s’est juré d’attendre la fin de la scolarité de sa femme (et indirectement sa majorité donc, ce qui plaira au législateur français) avant de se la taper… euh… d’en faire une femme à part entière. Du coup, il se contente de gicler du nez toutes les trois pages, ce qui est peut-être encore plus salissant mais sauve l’honneur (mais qu’est-ce que je raconte, moi ???). Donc, dans les faits, il n’y a pas dans ce manga de scène « sexuelle » explicite avec une jeune fille mineure. Malin, non ? En attendant, le lecteur pourra admirer la plastique généreuse de l’héroïne ingénue qui est étalée à longueur de pages de manière si outrancière qu’un feuilletage rapide pourrait laisser croire que l’on est en face d’un art book simple : la couleur est présente, pratiquement chaque image évoque une pose habituelle de la photographie érotique façon Playboy, mais… miracle de la bande dessinée, il y a un peu de texte et pour peu qu’on y prenne gare, il y a même un semblant d’histoire qui unit les cases, je rassure les puristes, celle-ci n'est pas plus élaborée qu’un scénario de chez Marc Dorcel, sans doute aussi rikiki que les tenues de l’héroïne… Chaque chapitre de quelques pages fonctionne un peu comme un gag, qui est en fait un peu sans cesse le même : elle se dénude, ça excite son mari, il perd du sang par le nez… La première invraisemblance qui saute aux yeux c’est « mais pourquoi ce crétin qui risque de finir exsangue l’a-t-il épousé si c’est pas pour la sauter ? », perso, c’est la première fois que j’entends parler d’abstinence post-mariage ! Je rassure l’amateur du genre : ce n’est pas la seule invraisemblance du scénario, le fana pourra aussi se délecter de tous ces petits éléments qui font la richesse d’un genre, on ne trouvera pas dans ce manga d’explication rationnelle au fait que la petite Asami possède un tour de poitrine qui fait facilement 5X celui de la moyenne nationale japonaise (ce qui est le cas aussi de toutes ses camarades de classe), pas plus d’explication non plus à propos de son retard mental, son QI ne dépassant pas la moyenne japonaises des filles de 8 ans et demi… Si vous voulez un art-book ("l'art" a bon dos) érotique avec un zeste de scénario, foncez… Si vous chercher une histoire érotique, laissez tomber…

20/09/2007 (modifier)