Journal d'un psychanalyste
Un psy + quelques patients = un moment de rigolade ?
Drôles de métiers ! Psychanalyse Séries avec un unique avis
Frères et soeurs complices ou rivaux, bonheurs et déceptions de la vie amoureuse, parents angiossés et enfants vampirisés... Sur le divan du psychanaliste s'expriment aussi bien les joies et les espoirs de l'humanité que ses craintes et ses frustations. Le lecteur retrouve ici les héros de Bulles de divan aux prise avec un inconscient qui se révèle à eux dans les menus détails du quotidien. C'est là que l'humour de Serge Tisseron le débusque avec bonheur. Ces séances imaginaires, qui s'approchent de la vérité de toute thérapie, contribuent ainsi à rendre la psychanalyse plus humaine et plus proche.
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| Date de parution | 01 Avril 2003 |
| Statut histoire | Strips - gags 1 tome paru |
Les avis
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Serge Tisseron est un psychiatre et un psychanalyste fan de BD. Outre quelques ouvrages qui parlent de BDs, il en a publié quelques-unes aussi (on peut ou pouvait lire certaines de ses planches dans Psychologie Magazine notamment). Après sa première BD, Les Oreilles sales en 1997, il va publier quatre albums ("Bulle de divan", "Journal d'un psychanalyste", "Tintouin chez le psychanalyste" et "Dessous de divan) qui reprennent le même concept : même pagination, même personnages, même type d'humour, même dessin, etc... Parlons-en d'ailleurs du dessin. Ça sera rapide car Serge Tisseron n'est clairement pas un génie du crayon. Heureusement qu'il fait des BDs d'humour car on excuse plus facilement ce type de livre au dessin moyen. Le trait est ultra-simple et épuré (et les cases "copiée-collée"). Il est juste lisible. Et la colorisation suit : elle est simple. L'humour est plus spécial. On y voit un patient monologuer ou parler avec son psy, en parlant des problèmes de sa vie. La chute est très souvent légère (et peu drôle, mais il m'est arrivé de sourire) alors que le thème des gags sont très durs (l'inceste et le viol pendant l'enfance revient très souvent). Une BD moyenne, au dessin simpliste mais qui reste assez drôle.
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