Tough (Koko Tekken-den Tough)

Note: 2.5/5
(2.5/5 pour 2 avis)

Kiichi Miyazawa, surnommé Kibô, a 17 ans. Il est le 15ème héritier du Nadashinkageryû, un art martial très secret et invincible pour qui en maîtrise toutes les arcanes. Cet art est d’ailleurs appelé « Art de vie et de mort » car ces utilisateurs sont autant capables de détruire que de soigner et sa maîtrise requiert une connaissance du corps humain, de son fonctionnement, de ses points vitaux...


Baston Seinen Shueisha Tonkam

Kibô est un bagarreur au grand cœur. Formé depuis son enfance au combat il est très doué malgré son jeune âge et progresse rapidement. Il arrive à reproduire aisément les différentes techniques qu’il rencontre, il est une véritable « éponge ». Technique très connue et crainte du monde de l’ombre, le Nadashinkagériu est sans cesse défié. Kibô s’arrange donc pour relever des défis que son père refuserait en temps normal. Il va ainsi affronter de nombreux adversaires, du karateka au judoka en passant par des poids lourds de la lutte. A chaque combat remporté il progresse, étoffant son éventail de techniques avec celles de ses adversaires et des personnes qu’il rencontre à ces occasions. Le jeune Miyazawa va poursuivre sa progression jusqu’au jour où il se retrouve face à Iron Kiba. Il continue les combats contre des adversaires de plus en plus forts et progresse de plus en plus.

Scénario
Dessin
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution Juin 1999
Statut histoire Série terminée 42 tomes parus

Couverture de la série Tough © Tonkam 1999
Les notes
Note: 2.5/5
(2.5/5 pour 2 avis)
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Une série interminable sur l'art de s'empapahouter la tronche, c'est vite indigeste. J'ai tout de même réussi à tenir dix tomes car il y a quelques qualités, faut l'avouer. Kibo le héros de l'histoire est un benêt exubérant au grand coeur, la relation qu'il entretient avec son père, combattant émérite mais discret au possible fonctionne assez bien. Le grand père de Kibo, un vieillard emmerdeur et libidineux fait office de ressort comique pendant les moments calmes entre deux scènes de rixes. Si certaines idées ont de quoi séduire, cela tourne vite en rond à cause du côté souvent puéril de l'oeuvre, Kibo est vraiment montré comme un idiot, ça en devient vite agaçant. Un côté répétitif évident plombe bien l'ambiance: Un tome Kibo rencontre un adversaire hyper balaise, le tome suivant il s'entraîne car si il perd il devra, selon la coutume du Nadashinkage, se faire seppuku... Puis le tome d'après il le bat, rencontre un adversaire encore plus balaise etc, etc... Les combats: Saruwatari est fasciné par les sports de combat, il essaye de rendre les bastons réalistes, mais ce n'est pas bien réussi... son style graphique assez surgonflé se prête plus à l'exagération. À noter que Saruwatari est un fan de sports dits de "chope" genre lutte ou catch, son Nadashinkage (le style de Kibo) est plutôt inspiré de ces disciplines. Et si parfois des combattants utilisant les arts de percussion, genre Karaté, font une apparition ce n'est pas très fréquent. Je précise ce point pour bien souligner la différence de rendu entre cette série et Coq de combat par exemple. Même si évidemment ces deux séries sont incomparables sur bien d'autres points. Conclusion, lire un ou deux tomes pour se vider la tête ça va, ensuite c'est largement dispensable.

03/01/2006 (modifier)

Bonne série au début, car les dessins des combats sont bien faits. Cependant c'est assez répétitif et pas très réaliste. Et au bout de 34 tomes cela devient lassant. Mais des surprises arrivent pour la suite...

31/12/2005 (modifier)