La lesbienne invisible

Note: 3/5
(3/5 pour 2 avis)

Adaptée du spectacle éponyme, "La lesbienne invisible" décrit avec beaucoup d’humour le parcours autobiographique d'Océanerosemarie, une jeune femme dont personne ne croît à l'homosexualité... à contre-courant des clichés habituels, et 100% gaie !


Autobiographie Gays et lesbiennes La BD au féminin Mirages

Océanerosemarie se sent très tôt attirée par les filles. Pourtant, personne ne la croit lesbienne. Trop féminine ! Oui, elle aime les femmes mais aussi le rouge à lèvres et les robes à fleurs. Du club de foot féminin à la boîte ultra-branchée, elle décrypte, sous le trait malicieux de Sandrine Revel, les idées reçues sur les lesbiennes... Hétéros et gays en prennent aussi pour leur grade !

Scénario
Dessin
Couleurs
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution 02 Octobre 2013
Statut histoire One shot 1 tome paru

Couverture de la série La lesbienne invisible © Delcourt 2013
Les notes
Note: 3/5
(3/5 pour 2 avis)
Cliquez pour afficher les avis.

31/03/2020 | AlainM
Modifier


L'avatar du posteur Noirdésir

Sans que je l’aie trouvé extraordinaire, l’album se laisse lire facilement. C’est dynamique et enjoué, et l’auteure arrive bien à rendre les malentendus, les malaises, qu’elle a ressenti ou qu’elle a déclenché, autour de son homosexualité. Elle ne correspond apparemment pas aux clichés de la lesbienne, cet aspect est donc « invisible », alors qu’elle a longtemps cherché à se trouver, et à trouver l’âme sœur. Même si visiblement elle n’a pas cherché à se fixer, et a beaucoup expérimenté (en fait d’intrigue, on a plutôt une suite de rencontres, de liaisons, lus ou moins longues et abouties). Il y a quelques moments amusants, c’est vif, un peu girly. Pas forcément mon truc, mais c’est une lecture pas désagréable.

15/10/2023 (modifier)
Par AlainM
Note: 3/5
L'avatar du posteur AlainM

Cette histoire évoque avec légèreté et dérision les déboires sentimentaux et sexuels de l’auteure. Le dessin est agréable et le ton léger. Cependant, on ne voit pas bien où le récit nous mène. Dans un premier temps, on comprend bien que Océanerosemarie évoque ses difficultés à faire admettre son orientation sexuelle, principalement dans le milieu lesbien. Ensuite, l’histoire se perd dans un patchwork de rencontres plus ou moins éphémères qui ressemble davantage à une liste à la Prévert qu’à une véritable histoire. Malgré une bonne dose d’humour, cette quête perpétuelle de « la » partenaire finit par rendre cette BD un peu tristounette. Sympa, sans plus.

31/03/2020 (modifier)