Tabou

Note: 3/5
(3/5 pour 9 avis)

Thriller faustien


Auteurs argentins Auteurs espagnols

Soudain, la ville devient la scène d’une série d’assassinats : d’honnêtes citoyens tuent, sans motif apparent, d’autres honnêtes citoyens. Le Mal se promène-t-il dans la ville ? Le Mal sème-t-il des indices déconcertants pour dissimuler ses vraies raisons ? Le Mal sème-t-il des indices déconcertants pour dissimuler son absence de raisons ? L’inspecteur Rivière dirige l’enquête. C’est un bon policier, mais... Sera-t-il capable de dévoiler le mystère qui se cache derrière ces assassinats ? Suivons les pas de cette jeune femme, la serveuse du Tabou : elle ressemble tellement à la magicienne qui travaillait au Morocco ! Est-ce la même personne ? Aurait-elle perdu ses pouvoirs de magicienne ? Dans cette histoire, c’est au lecteur de répondre aux questions. Celui qui parviendra à répondre correctement recevra comme récompense, peut-être une belle cravate. Comme l’inspecteur Rivière, hélas.

Scénario
Dessin
Traduction
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution Juin 1999
Statut histoire One shot 1 tome paru

Couverture de la série Tabou © Casterman 1999
Les notes
Note: 3/5
(3/5 pour 9 avis)
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17/01/2003 | ArzaK
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Par Pierig
Note: 4/5 Coups de coeur expiré
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Mon avis suit une première lecture à chaud. Ce ne sont sans doute pas des conditions idéales pour rédiger une critique mais je ne peux y résister, tant cet album m’a littéralement captivé ! Le découpage et la narration donnent l’impression curieuse de vivre cette histoire à côté de l’inspecteur Rivière. Cela permet au lecteur d’être un observateur privilégié des événements étranges qui se produisent. Pourquoi d’honnêtes citoyens se mettent –il à tuer ? Zentner construit son récit autour de deux histoires distinctes en apparence : celle de l’inspecteur Rivière et celle d’une jeune magicienne aux pouvoirs éteints. Ces deux histoires sont suivies en parallèle avec un décalage dans le temps. Ces destinées finissent par se croiser dans un final très réussi malgré son manque d’originalité. Comme à l’accoutumée, Zentner s’est adjoint les bons services de son ami Pellejero. Son trait rond et épais si caractéristique se conjugue avec de larges aplats noirs, assurant aux planches un rendu sans pareil. Je ne sais si mon enthousiasme sera entamé lors d’une prochaine relecture, mais cette œuvre me paraît être un incontournable pour les amateurs du genre.

06/01/2006 (modifier)