Tsumitsuki (Tsumi tsuki)
Les démons possesseurs qui se repaissent du sentiment de culpabilité sont parmi nous. Une lycéenne du nom de Takada va vite le découvrir, pour son plus grand malheur.
Kadokawa Shoten Seinen Séries avec un unique avis
Une nouvelle élève arrive en classe, Chinatsu Takada. Celle-ci tente de nouer le contact avec une de ses camarades, la timide Shinohara, et lui propose de rentrer ensemble après les cours. Elle ne voit pas que, lorsque Shinohara se lève pour la suivre, la main de cette dernière dévoile le mot « crève » gravé sur le bureau de la demoiselle. . En chemin, c’est surtout Takada qui parle tandis que Shinohara garde la tête baissée et répond brièvement. Au bout d’un moment, Takada avoue le fond de sa pensée : elle pense que Shinohara est brimée et souhaiterait lui venir en aide. Shinohara préfère prendre la fuite plutôt que de répondre. C’est alors qu’un garçon, Kuroe, surgit derrière Takada. Il lui raconte que les tsumitsuki sont des démons possesseurs qui se repaissent du sentiment de culpabilité de leurs victimes. Takada ignore pourquoi le jeune homme lui raconte cela mais elle ne va hélas pas tarder à le savoir...
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| Date de parution | 25 Novembre 2015 |
| Statut histoire | One shot 1 tome paru |
Les avis
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J’ai l’impression que d’un manga à l’autre, ils reprennent les mêmes idées. Je viens à peine de lire le joséi Dark Sweet Nightmare où il était également question d’une entité démonique qui prend le corps d’un humain afin de s’en nourrir. J’ai eu l’impression de trouver également les mêmes dessins concernant l’entité maléfique. C’est dire ! Bref, il y a une sérieuse panne d’inspiration chez les mangakas de manière générale. Ils s’inspirent tous de la même chose. Cela va jusque dans l’attitude des héros et des héroïnes. Il n’y a plus de personnalité et de psychologie propre un peu élaborée. J’ai l’impression que je demande la lune. Il est vrai que j’en ai un peu marre de ces stupides et insipides lycéennes qui veulent sauver le monde. Certes, on dira qu’ici la variante est que le démon se nourrit de la culpabilité des gens basé sur une légende du folklore nippon. Certes, mais ceux-ci n’éprouvent guère de culpabilité de nos jours quand on jette un papier dans la rue ou même quand on commet des infractions plus graves. Responsable mais surtout pas coupable. Par ailleurs, c’est si court que l’on éprouve à la fin un sentiment d’inachevé. Il manque sérieusement une épaisseur à ce titre.
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