Love, be loved. Leave, be left (Omoi, Omoware, Furi, Furare)

Note: 2/5
(2/5 pour 1 avis)

Yuna et Akari se rencontrent sur un quai de gare. Sans s'être jamais croisées auparavant, elles s'aperçoivent que, en plus d'habiter dans le même immeuble, elles fréquentent le même lycée ! C'est le début d'une amitié entre deux filles que tout oppose.


Séries avec un unique avis Shojo Shueisha

Yuna et Akari se rencontrent sur un quai de gare. Sans s'être jamais croisées auparavant, elles s'aperçoivent que, en plus d'habiter dans le même immeuble, elles fréquentent le même lycée ! C'est le début d'une amitié entre deux filles que tout oppose ; si Yuna est une fille rêveuse et romantique, Akari se veut plus réaliste quant aux relations amoureuses. Et les choses évoluent quand Yuna tombe sous le charme de Rio, le demi-frère d'Akari, et que cette dernière s'éprend de l'ami d'enfance de Yuna, Kazuomi. Leur vision respective de l'amour va être mise à rude épreuve...

Scénario
Dessin
Traduction
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution 08 Juillet 2016
Statut histoire Série terminée 12 tomes parus

Couverture de la série Love, be loved. Leave, be left © Kana 2016
Les notes
Note: 2/5
(2/5 pour 1 avis)
Cliquez pour afficher les avis.

29/09/2016 | Mac Arthur
Modifier


L'avatar du posteur Mac Arthur

Un point de départ classique avec une jeune fille qui change de lycée, rongée par toutes les craintes habituelles que cela peut susciter (et comme nous sommes dans un manga, cela nous sera subtilement suggéré par des phrases sentencieuses émanant des pensées profondes de Yuna (c’est la jeune fille en question, pas un épagneul breton, vous vous en doutiez)). Tout s’emballe cependant très vite puisqu’elle fera rapidement connaissance avec un garçon trop beau charmant mignon mais avec un côté affirmé mature et réservé (un prince, moi je vous dis !) et une jeune fille entreprenante mais gentille (et si elles allaient devenir amies, quelle surprise ce pourrait être ?!?) S’en suivront des péripéties typiquement adolescentes (amour et amitié au rendez-vous) dans lesquelles nous pourrons comparer les approches différentes des principaux protagonistes (au nombre de 4, répartis équitablement entre les sexes et les couleurs de cheveux : 2 filles 2 garçons, une blonde une brune, un brun un blond, pas de jaloux… enfin si mais c’est un autre sujet). Bon ! Parfois, ce genre de shojo ne me déplait pas. Encore faut-il que je lui trouve un brin d’originalité. Ici, tout est vraiment très prévisible (au point que l’une des héroïnes déclarera, je cite : « C’est une situation qu’on voit souvent dans les mangas »… j’invente rien, voyez page 43, si si j’vous jure !) Les caractères sont vite cernés. Les personnages ne sont que moyennement attachants. Les interventions de la mangaka (il y a régulièrement des textes à gauche et à droite qui nous livrent les réflexions de l’auteure, procédé assez classique dans le genre manga shojo) n’apportent pas grand-chose. Finalement, le point le plus positif vient du dessin… Naaannnn, j’déconne : il est interchangeable avec la majorité des dessins de shojo. Pas mauvais en soi mais sans surprise : physionomies et visages formatés et décors simplistes au menu. Donc voilà : si vous êtes vraiment en manque de shojo, pourquoi pas ? Sinon, je pense qu’il y a moyen de trouver plus original ou plus drôle ou plus poignant dans le genre en fouillant bien.

29/09/2016 (modifier)