Venise hantée

Note: 2.5/5
(2.5/5 pour 2 avis)

Drôle d'ambiance au sein de la Sérénissime...


1872 - 1899 : de la IIIe république à la fin du XIXe siècle Emmanuel Proust Éditions Venise

L’irréprochable Lord Montbarry, à la surprise de tous, rompt ses fiançailles avec la respectable Agnès pour épouser en Allemagne une sulfureuse aventurière. Scandale ! Pour échapper au déshonneur, il fuit à Venise où il loue un somptueux palais. Loin de Londres, l’aristocrate anglais meurt dans des circonstances mystérieuses… laissant à sa jeune épouse une fortune colossale ! Il n’en faut pas plus pour éveiller les soupçons du romancier Wilkie Collins, grand amateur de crimes insolubles, qui va se rendre à Venise pour y mener sa propre enquête…

Scénario
Dessin
Couleurs
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution 15 Novembre 2012
Statut histoire Série terminée (fin disponible uniquement dans l'intégrale) 1 tome paru

Couverture de la série Venise hantée © Emmanuel Proust Éditions 2012
Les notes
Note: 2.5/5
(2.5/5 pour 2 avis)
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17/11/2012 | Spooky
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Par Erik
Note: 2/5
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Venise ainsi que Londres sont à l'honneur dans cette bd se passant dans le milieu de l'aristocratie britannique à la fin du XIXème siècle. Il est question d'une intrigante comtesse qui épouse en catimini un Lord pour s'enfuir par la suite dans le palais des doges. Cela commençait bien mais par la suite, cela devient un peu pompeux. Il est vrai qu'on s'en mêle un peu les pinceaux avec toutes ces femmes pomponnées qui se ressemblent. Ce polar d'époque victorienne se voulait en deux tomes mais il n'y a plus rien depuis. Il faut dire que ce premier tome n'était point convaincant.

14/07/2015 (modifier)
Par Spooky
Note: 3/5
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Tiens, un auteur un peu à la Agatha Christie que je ne connaissais pas... Ici l'époque est plus ancienne (1877), mais l'enquête est menée par un gentilhomme de la bonne société anglaise, Wilkie Collins. Une mort semble-t-il à cause de la maladie, une disparition, et d'autres choses étranges... Une sombre histoire d'assurance-vie semble être derrière tout ça... La lecture de ce premier tome laisse un goût d'inachevé, d'autant plus qu'il se termine sur une scène assez confuse, où la veuve se retrouve dans une situation difficile à comprendre. J'imagine que cela va s'éclairer avec la fin du diptyque ; pour l'heure je suis sceptique... et curieux. Au dessin je découvre Vincent Wagner, qui collabore avec Seiter depuis de nombreuses années sur d'autres séries. Je suis partagé, car je trouve que parfois ses visages manquent de constance, et à d'autres moments je n'ai rien à redire. peut-être un manque d'expressivité. Sa mise en scène me semble parfois maladroites, comme s'il n'avait pas une vision globale de sa planche, c'est étrange. Sur le plan des architectures, notamment celles de Venise (car Londres est aussi présente), il s'éclate nettement plus, et j'avoue avoir pris du plaisir à regarder ces façades plonger leurs fondations dans l'eau. A suivre, par curiosité.

17/11/2012 (modifier)