3D Material

Note: 1/5
(1/5 pour 1 avis)

Au lycée, Ema était une fille plutôt studieuse. Hélas, elle n'a pas réussi à intégrer l'université de ses rêves. Depuis, elle mène une vie plutôt désabusée. Pour fuir cette réalité, elle aime se défoncer, et s'imaginer que des anges viennent la chercher...


Akata / Delcourt Josei ou Redikomi La BD au féminin : le manga Séries avec un unique avis Shodensha

Ema Hasegawa était une lycéenne belle, intelligente et ambitieuse mais tout son univers s’est écroulé quand elle a raté le concours d’entrée à l’université. À partir de là, elle s’est laissée aller et sombrer peu à peu dans la dépression. Elle sèche les cours du soir, coupe tout contact avec ses parents, se met à coucher à droite et à gauche et commence à avoir des hallucinations. C’est dans cet état d’esprit qu’elle croise Yûta, un ancien camarade de classe qui accumule les petits boulots sans intérêt et Akira, petite greluche qui représente tout ce qu’Ena déteste. Suzushiro, elle, est une grande timide et Eiichi est son premier petit ami. Elle est très amoureuse, mais le jeune homme s’intéresse de plus en plus à Mizuno, une étudiante en marketing mignonne mais quelque peu torturée.

Scénario
Dessin
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution 15 Avril 2009
Statut histoire One shot 1 tome paru

Couverture de la série 3D Material © Delcourt (Akata) 2009
Les notes
Note: 1/5
(1/5 pour 1 avis)
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18/09/2011 | Erik
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Par Erik
Note: 1/5
L'avatar du posteur Erik

C'est le genre de manga typiquement féminin de l'étudiante amoureuse dans un monde contemporain où mes valeurs traditionnelles s'estompent face au consumérisme et au capitalisme. On sombre dans une espèce d'intimisme ayant pour cadre la mésestime de soi des adolescentes en souffrance. Nous avons droit au portrait de trois jeunes nipponnes en quête d'identité. Il n'est pas certain que cela intéresse nécessairement les filles européennes qui réagiront d'une autre manière aux situations présentées. Si la première histoire se laisse lire, les deux autres récits sont un peu insipides. On est tout de même très proche de la légèreté des shojos même si celui-ci se donne un genre particulier. On évite tout de même l'underground ou la facilité des titres et images racoleuses. J'aimerais tout de même voir une oeuvre plus mâture car les dialogues m'ont littéralement assommé. Tiens, tu me passes ton rouge à lèvre ?

18/09/2011 (modifier)