Bunker baby doll
Quand Casimir rencontre Terminator, cela donne "Bunker Baby Doll", une explosion cyber-punk où l'action traverse comme une roquette les décors hallucinants signés Fabrice Jarzaguet, un jeune bâtisseur de futuropoles dont on n'a pas fini d'entendre parler.
Cyberpunk Ecole Supérieure des Arts Saint-Luc, Bruxelles Jean-David Morvan Maladies et épidémies
Depuis que la génétique permet de pronostiquer dès la naissance les maladies qu'un être humain développera au cours de sa vie, la société s'est divisée. D'un côté ceux qui savent qu'ils resteront en bonne santé et de l'autre ceux dont le fichier annonce une maladie à venir. Privés d'emploi, soumis à une assurance maladie inabordable, les malades potentiels se sont regroupés dans de véritables ghettos où ils survivent grâce à une médecine illégale et à une pharmacie de contrebande. Des gangs s'affrontent pour contrôler ce trafic, et c'est au milieu de cette guerre que va nous conduire l'enquête du commissaire Kreiswahl, sur les traces de Coka, la reine de l'évasion...
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Genre
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| Date de parution | Mars 1997 |
| Statut histoire | Série terminée 2 tomes parus |
Les avis
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(Avertissement : j'accorde toujours plus d'importance au scénario qu'au dessin) Dans un monde futuriste ultra violent, tel qu'on pouvait en imaginer dans les années 80-90, des enfants des quartiers pauvres disparaissent. Ces quartiers sont cloisonnés, on ne mélange pas les classes sociales ! Aussi, un virus se propage. La jeune fille Coca se retrouve à la convergence de centres d'intérêts de plusieurs parties, sa vie s'en trouve plutôt mouvementée. Mais elle peut compter sur sa bande d'amis, pour faire face à ces ripoux corrompus et profiteurs divers. Le scénario n'est pas si mal, avec un petit rebondissement final. Le dessin ne m'a pas trop plu, dans son style nerveux et aux décors simplistes en règle générale. Un diptyque qui se lit facilement. 10,5 / 20
Cette BD date de 1997 : je ne crois pas que c'était les tous débuts de Morvan, mais ça y ressemble pourtant. Cette BD est assez... nulle. Déjà, je n'aime pas, mais vraiment pas les gueules des personnages. Pas un pour rattraper l'autre. De vraies gueules de c... dessinés façon graf' punk, rictus permanents, langues de shootés à l'air. Le reste du dessin est correct mais pas terrible quand même. Ensuite, le scénario est assez indigent. Plein de gens à la poursuite d'une gamine, on sait même pas pourquoi, tous les partis les uns contre les autres, la gamine qui, elle, se fait capturer et s'enfuit comme si de rien était, rien d'original et rien d'intéressant à part une suite d'actions violentes mal racontées. Car la narration aussi est mauvaise : des bouts d'actions qui s'entament puis s'arrêtent brusquement pour que leur fin soit racontée quelques pages plus tard façon flash-backs, une explication et une description de ce monde futuriste une douzaine de pages après le début seulement, arrivant comme un cheveu sur la soupe, un mauvais rythme, de mauvaises transitions et j'en passe. Bref, je n'ai pas aimé.
Le scenar est plutot bon, rien d'extra mais c'est agreable à lire, bien foutu interessant, pas ennuyant Les dessins eux sont sont pas mauvais, mais les couleurs sont pas terrible A LIRE
« Pour moi, la BD est nettement plus forte narrativement que le cinéma. Et le travail du scénariste BD, c'est le rêve, par rapport au ciné où il faut sans cesse écouter des producteurs sans avis artistiques. »
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