Une histoire illustrée de Sherlock Holmes (A Sherlock Holmes Graphic Novel)

Note: 3.33/5
(3.33/5 pour 3 avis)

Les romans de Sir Arthur Conan Doyle adaptés en B.D.


1872 - 1899 : de la IIIe république à la fin du XIXe siècle Adaptations de romans en BD Angleterre Auteurs britanniques Ere Victorienne Iles Britanniques Self Made Hero Sherlock Holmes et cie Whodunit

Le Chien des Baskerville, premier tome de cette série, vous emmène au coeur des landes du Devonshire où une malédiction semble s'abbatre sur la famille Baskerville. Une étude en rouge marque la première apparition du célèbre détective et la rencontre avec son ami Watson. Ensemble, ils seront amenés à enquêter sur un crime qui laisse la police anglaise perplexe. D'autres volumes devraient venir compléter cette série d'adaptations des aventures du célèbre détective...

Scénario
Oeuvre originale
Dessin
Couleurs
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution Juillet 2010
Statut histoire Une histoire par tome 4 tomes parus

Couverture de la série Une histoire illustrée de Sherlock Holmes © Akileos 2010
Les notes
Note: 3.33/5
(3.33/5 pour 3 avis)
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21/08/2010 | Tomeke
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L'avatar du posteur Mac Arthur

Attention : perle ! Vous aimez les récits policiers mais n’avez lu de Conan Doyle que les grands classiques. Vous êtes amateurs de trait clair et expressif. Vous appréciez au passage un découpage posé ET rythmé. Cette adaptation d’œuvres de Conan Doyle est faite pour vous. … en tous les cas, elle est faite pour moi ! J’ai trouvé ici une série qui me parait très fidèle à l’œuvre originale. Et si je ne suis pas un spécialiste de Sherlock Holmes, ces albums m’ont donné l’envie de découvrir l’ensemble de l’œuvre. C’est vif, précis, bien mené, sobrement illustré (mais avec caractère et expressivité). Des œuvres illustrées, je n’avais lu en version « roman » que le chien des Baskerville. Je ne sais si c’est un hasard, mais cette adaptation est celle que j’ai le moins appréciée, celle pour laquelle je dirais juste pas mal, sans plus. Les autres, que j’ai découvertes par le biais de ces bandes dessinées, m’ont purement et simplement passionné. Mention spéciale au trait de Culbard. Bon, je suis convaincu que la majorité d’entre vous n’y trouveront rien de particulier mais je suis sous le charme de ce style sobre, clair, expressif, élégant et ultra classique. Un style qui convient parfaitement à ce genre d’œuvre. Mention spéciale également au découpage. Il n’est pas évident d’adapter un roman au format d’une bande dessinée mais Ian Edginton fait montre d’une impressionnante maitrise du rythme dans la progression du récit. Ni temps mort, ni précipitation. Du grand art, tout simplement.

21/02/2011 (modifier)