Moon Lake Trails

Note: 2/5
(2/5 pour 2 avis)

Les "deux saisons de la vie" d'un petit garçon...


Adolescence

C'est l'histoire d'un petit garçon inquiet et sensible. Il s'accommode mal des jeux virils auxquels il préfère les escapades dans la campagne, en harmonie avec son esprit contemplatif. C'est aussi -ensuite- celle de l'adolescence où l'on se heurte à l'incompréhension des adultes, à la difficulté de trouver se place dans la quête du bonheur.

Scénario
Dessin
Traduction
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution Juin 2006
Statut histoire One shot 1 tome paru

Couverture de la série Moon Lake Trails © Ego comme X 2006
Les notes
Note: 2/5
(2/5 pour 2 avis)
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15/02/2007 | L'Ymagier
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L'avatar du posteur Noirdésir

J’ai vraiment eu du mal à finir cet album, au point de survoler les dernières pages. Rien d’horrible ou de repoussant pourtant. Mais c’est juste que rien ne m’a captivé, je me suis ennuyé en le lisant. Le dessin est ultra simple, une sorte de trait enfantin, brouillon et maladroit. Pourquoi pas ? Mais là où d’autres albums indé arrivent à me faire passer outre un dessin disgracieux, ça n’a pas été le cas ici. En effet, les tranches de vie, les petites histoires, sortes de souvenirs d’enfance regroupés dans cet album m’ont paru creux. L’impression qu’il ne se passait rien. D’ailleurs je remarque que c’est la troisième fois que j’emploie le mot rien depuis le début de cet avis, ce qui n’est pas bon signe, et ce qui n’est sans doute pas un hasard, tant ce mot résume mon ressenti : cet album est vide, ou alors quelque chose m’a échappé.

28/10/2021 (modifier)
Par L'Ymagier
Note: 2/5

L'auteur convoque ici ses souvenirs de l'enfant et de l'adolescent qu'il fut. Le ressenti est subtil, et tout un chacun pourra reconnaître une part de son enfance dans ce que décrit Porcellino. Le tout manque toutefois de la densité nécessaire pour émouvoir ; peut-être en raison d'un trait fort épuré et d'un propos concret au possible. Le graphisme ?... il révèle ici une fausse naïveté. Se sont ses souvenirs d'enfance que Porcellino met en scène. Alors, cet auteur dessine comme le ferait un gamin de 7 ans. C'est -avis personnel- très laid : personnages stylisés, simplifiés, pas ou peu de décors, mouvements quasi nuls, etc... Mais c'est voulu ! Enfin, faut aimer. J'avoue que ce n'est pas ma tasse de thé. Du tout. Restent néanmoins quelques beaux moments de pureté.

15/02/2007 (modifier)