Alfred Hitchcock présente

Note: 2/5
(2/5 pour 2 avis)

12 nouvelles illustrées par Riff Reb’s, Kokor, Garrigue, Tandiang et Sera


Alfred Hitchcock Collectif Gobelins, l'École de l'Image Hommages collectifs

Qui a bien pu tuer la soeur de Lise? Un fantôme peut-il aider la police à retrouver son assassin? Larry parviendra-t-il à persuader Marsha de l'épouser? Qui est le Mouchard qui a dénoncé Rodriguez à la Seguridad Nacional ? Suspense, aventure, humour, amour. Aucun genre n’est épargné par ces enfant illégitimes du maître es crime qui par la grâce de leurs pinceaux lui rendent un hommage respectueux . . . qui vous glacera le sang. Texte de l'éditeur

Scénario
Dessin
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution Juin 1996
Statut histoire Histoires courtes 1 tome paru

Couverture de la série Alfred Hitchcock présente © Vents d'Ouest 1996
Les notes
Note: 2/5
(2/5 pour 2 avis)
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01/02/2007 | Pierig
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Par Gaston
Note: 2/5
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Ceci est la plus grande insulte au maître du suspense que j'ai vue de ma (courte) vie. Ces histoires qui, au mieux, me donnent une toute petite surprise à la fin sont à milles lieues du génie du grand Hitchcock. La plupart des nouvelles sont insignifiantes et s'oublient dés la fin de la lecture. Je ne vois pas du tout où est le suspense qui glace le sang promis par le quatrième de couverture. Quant au dessin, il faut savoir que les différents récits sont dessinés par différents auteurs qui ont chacun un style différent de l'autre. Personnellement, je n'ai aimé que le style de Riff qui possède un très bon trait. Les autres ont un dessin sympa sans plus excepté Séra qui possède un style trop hermétique pour moi.

31/03/2008 (MAJ le 31/03/2008) (modifier)
Par Pierig
Note: 2/5
L'avatar du posteur Pierig

Ne vous fiez pas au 4ème de couverture, ces histoires courtes hitchcockiennes n’atteignent pas le niveau de qualité suggéré. Ces récits sont trop convenus pour glacer le sang des lecteurs. De plus, ils usent de ressorts narratifs éculés qui donnent l’impression d’avoir déjà été vus mille fois. Bref, en deux mots : aucune surprise. Restent les dessins d’auteurs connus mais peu prolifiques qu’on a plaisir à retrouver (Riff Reb’s et Kokor). Le trait de Garrigue lui m’a moins enthousiasmé et celui de Sera est assez déroutant (comme l’ensemble de ses productions). Enfin, petite mention spéciale à Tandiang qui offre un trait incisif et élégant. Vous l’aurez compris, cette bd vaut le détour pour la belle brochette de dessinateurs qui y ont contribué et non pas pour la qualité intrinsèque des nouvelles illustrées.

01/02/2007 (modifier)