War Corporate

Note: 2/5
(2/5 pour 2 avis)

Quand la diplomatie n'a plus cours, la maison blanche n'a qu'une solution : faire appel à la War Corporate, une entreprise de guerre privée.


Auteurs italiens

Loboblanco : dictateur vénézuelien riche comme Crésus et trafiquant notoire. Chairman : Président des USA. Signe particulier : minoritaire au congrès. Quand la diplomatie n'a plus cours, la maison blanche n'a qu'une solution : faire appel à la War Corporate, une entreprise de guerre privée. .

Scénario
Dessin
Couleurs
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution Septembre 2005
Statut histoire Série abandonnée 2 tomes parus

Couverture de la série War Corporate © Albin Michel 2005
Les notes
Note: 2/5
(2/5 pour 2 avis)
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27/05/2006 | Ro
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Par Yann135
Note: 2/5
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La lose ! Deux albums, un petit tour et puis s'en va. A vouloir faire du pognon avec des séries à rallonge, l’éditeur Albin Michel s’est fourvoyé et tout ça dans le mépris de ses lecteurs. Je m’explique. Alors qu’il y avait de la matière pour une série en 2 tomes, non non on tire jusqu’à la corde l’histoire en multipliant les personnages à travers des groupuscules, des mercenaires plus ou moins officiels, et des organismes gouvernementaux américains (CIA, NSA, FBI, DEA) pour au final une histoire alambiquée et touffue. La diplomatie est la façade du gouvernement américain mais en coulisse, tous les coups sont permis pour faire abdiquer l’homme fort du Venezuela , le dictateur Loboblanco qui trempe allégrement dans tous les trafics. Rien de bien exceptionnel dans cette aventure compliquée. Cela reste un moment de divertissement mais rien de bien fou fou avec ces deux albums. A noter quelques doses de sexe mais ne vous emballez pas non plus. Adepte de BD d’action, je n’ai pas trouvé mon compte d’adrénaline. La formule proposée est trop dense et cela ne favorise pas une lecture fluide.

12/07/2021 (modifier)
Par Ro
Note: 2/5
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Une BD d'action comme on en a déjà vu beaucoup. Graphiquement, le dessin est très correct. Il manque un peu d'âme mais il est très maîtrisé techniquement et offre des planches de bonne qualité tant concernant les personnages que les décors. Les couleurs informatisées sont un peu froides mais bien réalisées. Bon, bien sûr, on peut se lasser très vite de voir toutes les femmes avec des physiques de top models, tout comme on se lasse du côté raccoleur du scénario qui n'évitera bien sûr pas les scènes de lesbiennes pour mâles frustrés. Concernant le scénario, il pourrait ne pas être trop mauvais car la narration et les dialogues sont corrects, mais il est trop confus. Il y a trop de parties en présence, autant de combattants armés et prêts à en découdre sans qu'on voit trop pourquoi il y en a autant : la DEA, la NSA, l'armée US, la War Corporate, l'armée Vénézuélienne, les deux tueuses canons et lesbiennes du dictateur, une jeune femme et un garçon mitrailleur qui ont l'air indépendants dans l'affaire... Sincèrement, après lecture du seul tome 1, j'ai bien du mal à voir les motivations de chacun et surtout l'intérêt du scénariste de mettre autant d'intervenants. De toute manière, outre cette confusion, le scénario affiche quelques facilités scénaristiques assez génantes à mes yeux. Les groupes d'espions-soldats super équipés qui ont "carte blanche", je trouve ça un peu trop simple et trop courant comme type de héros. Aussi facile et décevant que les méchantes super canons qui se révèlent être bien sûr de vicieuses lesbiennes. De même que le méchant dictateur sud-américain qui gagne son fric grâce à la cocaïne qu'il trafique aux USA. Beaucoup de clichés dans cette BD où l'action cool prime sur la reflexion. A réserver aux amateurs du genre.

27/05/2006 (modifier)