La Voleuse de chien en anthropocène

Note: 2/5
(2/5 pour 1 avis)

Six nouvelles étranges, cruelles et drôles, par un nouveau maître de la forme.


Gekiga Les petits éditeurs indépendants

Fortement inspiré par l’œuvre de Tsuge, les mangas littéraires de kawakatsu flirtent parfois avec la mélancolie contemporaine et l’auto-dérision Houellebcquienne pour dresser le portrait de personnages en quête de sens.

Scénario
Dessin
Traduction
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution 24 Mai 2023
Statut histoire Histoires courtes 1 tome paru

Couverture de la série La Voleuse de chien en anthropocène © Le Lezard Noir 2023
Les notes
Note: 2/5
(2/5 pour 1 avis)
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19/06/2025 | Noirdésir
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L'avatar du posteur Noirdésir

J’avais découvert cet auteur avec Tokyo Blues, qui m’avait un peu laissé sur ma faim. J’ai voulu retenter ma chance avec cet album, fortement intrigué par son titre assez improbable ! Et hélas mes attentes ont été déçues. Les histoires sont hétéroclites, plus ou moins longues, et inégales. Mais globalement décevantes. Certaines sont de simples tranches de vie, sans réelle fin ou chute. Il manque singulièrement un peu d’humour ou je ne sais quoi pour les dynamiser. Car je me suis souvent ennuyé à les lire. Même l’avant dernière histoire (la première partie de « L’attaque du leucochloridium tueur »), qui bifurque parfois vers quelque chose d’un peu horrifique et gore, se dilue dans des longueurs, et manque de punch (alors que je pensais y retrouver ce qui me plait souvent chez Garuo, et parfois chez Ito). A part certains passages de cette dernière histoire donc, ainsi que son titre et le titre du recueil, qui avaient titillé ma curiosité, c’est une lecture qui m’a franchement laissé de côté. Ça ne doit pas être ma came, je ne sais pas. Mais du coup, je ne suis pas sûr de me ruer sur les prochains recueils de Kawakatsu s’il y en a. c’est du Gekiga trop sec pour moi. Quant au dessin, là aussi c’est inégal, et globalement ça ne m’a non plus convaincu.

19/06/2025 (modifier)