La Maison des Damnés

Une maison - un souvenir
Les petits éditeurs indépendants Tout petits albums
Un groupe d'enfant entre dans une maison abandonnée
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Date de parution | 15 Mai 2024 |
Statut histoire | One shot 1 tome paru |
Les avis


Est-ce une vraie anecdote ? Est-ce une vraie interrogation qui a hanté l'esprit de l'auteur toutes ces années et qu'il nous transmet ici tant bien que mal sur papier ? Je ne sais pas, mais en tout cas je me pose sincèrement la question. Je me la pose surtout car j'avoue être circonspecte suite à cette lecture. Le dessin est beau, le texte bien écrit, et pourtant je ne sais qu'en dire, je ne s'en non plus qu'en penser. Je n'ai pas boudé ma lecture, je ne l'ai pas apprécié pour autant, je n'en ai pas non plus gardé grand chose une fois la dernière page tournée si ce n'est le fait que j'ai cru y déceler une certaine forme de poésie. Est-ce le texte qui me fait dire ça ? Le dessin figé et suggestif ? Les deux ? Je ne sais pas, mais en tout cas je me pose sincèrement la question. (Note réelle 2,5)


La principale frustration réside dans les contraintes inhérentes à cette collection (très petit format, seulement 16 pages), pas forcément adaptée pour développer une histoire consistante. A cela s’ajoute ici le choix de Jake Raynal de raconter un souvenir d’enfance – ou d’adolescence – marquant mais qui ne fait que questionner. En effet, suite à quelques jeux avec des copains, il s’est introduit chez quelqu’un en banlieue parisienne (au Vésinet), et y a vu une flopée d’objets, vêtements nazis. Raynal questionne ensuite ce souvenir, cherche à comprendre comment cela pouvait se trouver à cette époque (années 1980) et en ce lieu. Ça n'est pas en soi inintéressant, mais on reste sur les questions de l’auteur, puisqu’aucune réponse n’est vraiment donnée. Reste donc une anecdote intrigante… Le dessin de Raynal, très classique et réaliste, est très bon, comme son utilisation du Noir et Blanc. Note réelle 2,5/5.


Une exception dans la série, pas vraiment d'humour, ni même de chute : une sorte de souvenir d'enfance qui dérive sur un questionnement historico-politique. Le dessin en tâches noires, très cadré entre le contour des cases et les cadres de la voix off qui se démultiplient en questionnement indirectes, sur chaque image. A offrir à un oncle intéressé par la seconde guerre mondiale...
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