Le secret de tante Pauline

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Note: 2/5
(2/5 pour 2 avis)

Du cul au XIXème siècle.


Hard & Soft, d'un érotisme à l'autre

Pauline ne pense qu'au sexe. Et elle sait s'entourer de gens qui la comprennent. Du coup, tout le monde connait son secret. Pauline aime le sexe.

Scénario
Dessin
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution 1992
Statut histoire Série terminée 2 tomes parus

Couverture de la série Le secret de tante Pauline © I.P.M. (International Presse Magazine) 1992
Les notes
Note: 2/5
(2/5 pour 2 avis)
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07/10/2022 | Noirdésir
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Par gruizzli
Note: 2/5
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Je rejoins l'avis de NoirDesir, c'est du trop classique pour être simplement sauvé par le dessin toujours aussi bon de Hugdebert. Je dirais d'ailleurs que c'est la première fois que je lui trouve un défaut d'inspiration. Le dessin de Hugdebert est excellent, toujours d'aussi bonne facture, et son inspiration pour les périodes historiques se ressent encore et toujours. Dans la fin du XIXè siècle, entre peintres sortant de l'académisme et bourgeoisie dans la province. On sentirait presque l'inspiration Balzacienne ou de Maupassant. Mais dans cette histoire, on sort très peu des classiques de la BD cul de base. Deux jeunes filles initiées au plaisir charnel, jeune femme libérée qui l'apprend à une autre, jeunes peintres toujours fougueux. Je pense que ça peut plaire à un certain type de lecteur, néophyte dans le domaine et peu regardant sur la qualité narrative. Pour ma part, je reste plus mitigé que sur les autres productions de l'auteur.

19/10/2023 (modifier)
L'avatar du posteur Noirdésir

Le cadre de départ est assez classique pour le genre (en tout cas déjà vu pas mal de fois), à savoir notre tante Pauline reçoit ses jeunes nièces pour les vacances, et va évidemment se charger de les déniaiser. Il faut dire que Pauline s’y connait en sexe, s’entrainant régulièrement, avec une amie, son jardinier/homme à tout faire (à vraiment tout faire !), la bonne (on est dans un cadre bourgeois du XIXème siècle) et un peintre. L’initiation des nièces (très réceptives !) est ultra rapide, et les scènes de cul s’enchainent, jusqu’à une méga partouze finale (après une exhibition improbable intitulée "fête de la moule" !). Dans le second album, le principe est un peu le même, les nièces rentrées chez elles étant remplacées par la sœur de Pauline, Clémence, au départ coincée, mais qui elle aussi va bien sûr « s’ouvrir », suite aux conseils avisés de Pauline, qui donne beaucoup de sa personne. Pour le coup, elle n'a rapidement plus de secret pour ses proches ou les lecteurs ! Ce diptyque n’est pas vraiment original, et les scènes de cul se succèdent sans qu’il y ait de véritable scénario, on est dans une sorte de film X en BD, sans imagination, si ce n’est la délocalisation au XIXème siècle. Les dialogues sont eux aussi de peu d'intérêt. C'est dommage, car Hugdebert a réussi sur d'autres séries à ajouter des petits plus à ses scénarios, je n'ai pas retrouvé cela ici. Reste le dessin d’Hugdebert, toujours très réussi pour ce qui concerne les scènes de sexe. Il est très classique (décors et personnages), et seuls certains visages m’ont paru ratés. Mais c’est en tout cas cet aspect qui ravira les amateurs. Note réelle 2,5/5.

07/10/2022 (modifier)