Bee Spy
Sea, sex & sun, grosses cylindrées seventies, palmiers et Beretta… on vous emmène en mission avec Bee Spy, la plus piquante des espionnes ! Cosimo Ferri joue avec tous les codes du genre au travers de cette aventure où action et sensualité se mêlent dans un décor coloré aux accents vintage.
Auteurs italiens Hard & Soft, d'un érotisme à l'autre Histoires d'espions Séries avec un unique avis
De retour d’une mission cubaine périlleuse Amanda, alias Bee Spy, se retrouve dans un guet-apens mêlant dangereusement sa vie professionnelle et sa vie amoureuse. Divers renseignements et documents visent clairement son amie Alex. Est-ce pour l’atteindre ou la faire tomber ? Le passé n’oublie jamais ! Après Cuba et le QG aux États-Unis, c’est à Paris qu’Amanda doit trouver la vérité. Secondée par son amie Ahotep, Bee Spy va devoir se battre contre les fantômes du passé d’Alex. À qui faire confiance ? Déstabilisée par sa mission et ses sentiments, elle va devoir faire preuve de sang-froid pour connaître la vérité…
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Editeur
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Genre
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Public
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Type
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| Date de parution | 20 Avril 2019 |
| Statut histoire | One shot 1 tome paru |
Les avis
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Rencontre toujours un peu lunaire avec Cosimo Ferri sur Angoulême... Surtout après avoir cherché le stand Tabou partout et finalement trouver Cosimo des la grande bulle chez OW. On n'était pas nombreux à faire la queue (si je puis dire) pour une dédicace. Bref, me voilà avec mon Bee Spy, même pas pour moi, mais pour un ami. Entendons nous bien, hein... :) A feuilleter, c'est alléchant, il faut bien reconnaitre le degré d'expertise de Cosimo pour ce qui est de dessiner des filles. Nues de préférences. L'histoire sur le papier pouvait aussi laisser imaginer que la lecture ne serait pas déplaisante. Objectivement : Cosimo est quand même très bon dans le dessin pour les poses suggestives féminines. Mais, son trait devient très figé et manque de dynamisme quand il faut sortir de ce cadre. Les cases sont très statiques et l'action peine à vivre. Et dans Bee Spy, on est quand même dans un scénario d'espionnage. La mise en couleur n'est pas dingue. C'est peut être le problème d'ailleurs. Il y a un portfolio à la fin de de l'album avec beaucoup de planches en noir et blanc, pour le coup, elles sont plus lisibles, plus dynamiques, plus jolies. D'un point de vue scénario, on est dans le poncif de l'espionnage, et c'est hyper maladroit. Les dialogues sont ... (je cherche mes mots)... on dirait un peu un mauvais porno des années 80. C'est beau (en noir en blanc), ça se lit en 15 min, mais OW propose néanmoins un bel objet, avec un vrai effort pour les bonus : une BO, un teaser, du beau papier, des portfolios vraiment sympa. Tout ces à côtés sont plus sympas que la "BD" en elle même.
« J’aime beaucoup travailler en France, parce qu’il y a beaucoup plus d’attention à l’auteur et il y a une liberté artistique que j’ai avec Thierry, c’est magnifique. »
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