Sacrificial vote (Ikenie Tôhyou)

Note: 2/5
(2/5 pour 1 avis)

Manga satyrique du lien que les adolescents ont avec leur téléphone : popularité, jalousie, vengeance, aliénation. Chaque semaine, l’application Sacrificial Vote les pousse à voter pour celui dont ils aimeraient détruire la vie sociale.


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Un jour, l’application nommée « Sacrificial Vote » apparaît sur le smartphone de Minato Imabari. Les participants s’avèrent être tous ses camarades de classe. La victime est ainsi désignée afin d’être « assassinée socialement ». Une simple impulsion pousse Minato à voter contre son amie, sans savoir que cette première élection entraînera des conséquences irréversibles sur l’ambiance et la vie en classe…

Scénario
Dessin
Traduction
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution 03 Juillet 2019
Statut histoire Série terminée (Série terminée en 7 tomes au Japon) 7 tomes parus

Couverture de la série Sacrificial vote © Delcourt 2019
Les notes
Note: 2/5
(2/5 pour 1 avis)
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14/08/2020 | PAco
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Par PAco
Note: 2/5
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Voilà une série qui aurait pu renouveler un genre pourtant bien exploré mais qui rate le coche avec son côté un peu malsain. En effet, "Sacrificial vote" joue la carte du survival game 2.0, la série se voulant une satire de l'aliénation des ados à leur téléphone portable. L'application Sacrificial vote apparait un jour sur le téléphone de Minato Imabari. Cette application oblige toutes les personnes concernées à désigner qui sera sacrifié " socialement" à la fin de la semaine. Minato Imabari réalise qu'il s'agit de tous membres de sa classe. Au début personne n'y croit trop, mais lorsque la première victime voit une vidéo très compromettante être diffusée sur les réseaux, ça tourne vite à la panique et les tactiques et autres alliances pour ne pas être la prochaine victime commencent à se développer... Si l'idée pour renouveler le survival game pouvait être séduisante, son traitement se focalisant sur des situations scabreuses ou humiliantes à la place du gore habituel ne m'a pas plu voire dérangé. Surtout que dans le premier tome que j'ai lu, la construction narrative s'arrête à ce principe, une semaine, une victime, et que du coup ça tourne vite en rond dans une eau plutôt saumâtre... Dommage, car le dessin d'Edogawa est fouillé tant pour ses personnages que pour les décors, mais il me faut plus qu'un trait agréable pour me motiver. Je ne pense pas lire la suite.

14/08/2020 (modifier)