Céphéide

Note: 1/5
(1/5 pour 1 avis)

Une histoire à écrire. Un monde vierge comme page blanche. Entre fantastique, post-apocalyptique et road trip initiatique sur l’adolescence, Céphéide est un récit troublant qui bouscule les codes pour mieux favoriser l’immersion et nous attacher aux personnages. Aussi étrange que fascinant, le monde qu’il nous décrit questionne avec force notre perception de la réalité et notre rapport aux autres.


Adolescence La BD au féminin Road movie Séries avec un unique avis

Cléo se réveille, amnésique, dans un monde désolé qu’elle ne connait pas. Quel est cet endroit et comment est-elle arrivée ici ? Elle n’en a aucune idée. Alors qu’elle explore les lieux, elle tombe sur une route, une infinie ligne droite sur laquelle transhume une caravane de jeunes gens de son âge. Comme elle, ils ne se souviennent de rien. Ils savent juste que ce monde porte le nom de Céphéide, et qu’il est peuplé de « monstres » qui sortent la nuit pour capturer certains d’entre eux... Alors que Cléo s’adapte peu à peu à ce nouvel environnement, elle est désignée assistante de Moonsun, la chasseuse du groupe, aussi peu commode que redoutable. Leur but : protéger la communauté des monstres pour l’aider à éventuellement trouver la sortie, quelque part au bout du chemin.

Scénario
Dessin
Couleurs
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution 19 Juin 2019
Statut histoire One shot 1 tome paru

Couverture de la série Céphéide © Glénat 2019
Les notes
Note: 1/5
(1/5 pour 1 avis)
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14/10/2019 | Mac Arthur
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L'avatar du posteur Mac Arthur

Je me suis franchement ennuyé durant ma lecture de cet album. Je n’ai rien contre les récits symboliques mais ça me saoule grave quand je capte pas ce qu’ils sont sensés symboliser. Je n’ai rien contre les récits fantastiques, tant que j’y découvre une certaine logique et surtout une résonance avec notre propre quotidien. Et là, ben on est en plein dans ce qui m’énerve : l’univers me semble réduit et ennuyeux et je ne comprends pas la finalité du récit. Par ailleurs, le dessin de Mélissa Morin n’est pas de ceux que j’apprécie particulièrement. Les décors sont extrêmement basiques (une route, quelques roulottes sommairement dessinées, des cratères de temps à autres), les visages et physionomies des personnages sont extrêmement caricaturaux, les perspectives sont très libres, les couleurs sont extrêmement flashy. En fait, tout est simplifié au possible, jusqu’aux visages très régulièrement dépourvus d’yeux et de bouche. En résumé : le dessin ne m’a pas séduit, l’histoire ne m’a pas passionné du tout et je n’ai pas compris le sens profond de cette aventure sans doute symbolique. Que voulez-vous que je dise d’autre que « je n’ai pas aimé » ?

14/10/2019 (modifier)