La Formule

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Note: 2.5/5
(2.5/5 pour 2 avis)

Réaliser son fantasme grâce à produit miracle, qui n'en a pas rêvé ?


Auteurs italiens Hard & Soft, d'un érotisme à l'autre

Nadia, une timide et ingénue analyste, travaille dans un célèbre laboratoire de recherche où la formule d’un puissant aphrodisiaque vient d’être synthétisée. Secrètement amoureuse de Dario, l’ambitieux inventeur de la substance, elle décide d’expérimenter sur elle-même les effets de la potion, en espérant pouvoir faire sa déclaration. Mais la formule fonctionne-t-elle vraiment ou n’est-ce que le fruit de son imagination ? La Formule, première histoire longue de Livio Labuz, dessinateur au trait précis et reconnaissable, moderne et dynamique, inspiré de maîtres comme Magnus et Baldazzini.

Scénario
Dessin
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution Juin 2011
Statut histoire One shot 1 tome paru

Couverture de la série La Formule © Tabou 2011
Les notes
Note: 2.5/5
(2.5/5 pour 2 avis)
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18/09/2019 | Noirdésir
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Par gruizzli
Note: 2/5
L'avatar du posteur gruizzli

On est sur une idée pas franchement originale, Manara a fait dans la même veine avec son Déclic au dessin un peu mieux travaillé. Ici on reste sur du basique dans le déroulé avec cette laborantine qui se fait prendre progressivement au jeu de la séduction par composé chimique, tandis que son supérieur de laboratoire l'exploite comme cobaye. C'est un prétexte pour enchainer les scènes de sexe en tout genre avec un(e) ou plusieurs partenaires. Soyons honnête, ça ne vole pas beaucoup plus haut que ça. L'étalage des scènes de sexe est franchement rapide et si le dessin retranscrit bien ces scènes là, je suis moyennement convaincu par les moments où il ne fait pas dans l'exposition des chairs. Notamment les visages ou les postures qui ont souvent l'air figés. Et le scénario ne convainc pas franchement de rester plus longtemps que nécessaire, ni même de la lire tout court d'ailleurs. Du bas du panier, moyen et pas fou.

21/11/2023 (modifier)
L'avatar du posteur Noirdésir

Dans cet album, Livio Labuz m’a donné l’impression de recycler quelques idées d’un autre érotomane italien, Manara. En effet, il y a là quelques accointances avec des séries comme Le Déclic, la consommation d’un aphrodisiaque surpuissant jouant là le rôle de détonateur : c’est ainsi qu’une jeune laborantine amoureuse platonique de son scientifique de patron, se mue en bombe surexcitée et fornique avec lui. Bref, le scénario est plus que basique et manque clairement d’originalité et de profondeur – si l’on peut me permettre cette image équivoque ici. Quant au dessin de Labuz – que je découvre avec cet album – il est techniquement bon, mais lui aussi sans surprise et ne s’encombre pas trop de décors ou de détails inutiles : scénario et dessin se concentrent sur les scènes de cul. Voilà donc un album qui se situe dans une petite moyenne du genre, et qui n’est clairement pas indispensable. Note réelle 2,5/5.

18/09/2019 (modifier)