The Earl and the Fairy (Hakushaku to Yôsei)

Note: 2/5
(2/5 pour 1 avis)

Quelque part près d'Edimbourg, la jeune Lydia Carlton est depuis toujours la cible des ragots, non seulement à cause de ses cheveux "couleur rouille" qui lui ont souvent valu d'être mise à l'écart, mais aussi et surtout à cause du pouvoir qu'elle déclare avoir : celui de voir les fées, êtres merveilleux que la croyance populaire a mis de côté au fil des siècles.


Séries avec un unique avis Shojo Shueisha

Dans l'Angleterre du XIX siècle, Lydia Carlton a un métier peu commun : celui de soigner les fées. En effet, Lydia est capable de les voir et de leur parler. Ce don lui attire néanmoins quelques problèmes, comme le fait qu'elle soit quelque peu rejetée par les personnes qui l'entourent. Lors d'un voyage dans la capitale Londonnienne pour rendre visite à son père, elle fait la rencontre d'un certain Edgar J. C. Ashenberg qui la sauve d'un kidnapping. Le jeune homme dit être à la recherche d'une épée et se proclame même être un descendant du Chevalier Bleu, le Roi du Pays des fées. Ayant besoin du don de Lydia dans sa quête, celle-ci accepte de le suivre et se retrouve alors embarquée avec le jeune homme à la recherche de la relique. Mais des doutes s'installent dans l'esprit de la jeune fille. Qui est Edgar et qu'elles sont ses intentions vis-à-vis de cette épée ?

Scénario
Dessin
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution Septembre 2012
Statut histoire Série terminée 4 tomes parus

Couverture de la série The Earl and the Fairy © Glénat 2012
Les notes
Note: 2/5
(2/5 pour 1 avis)
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25/09/2016 | Erik
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Par Erik
Note: 2/5
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The Earl and the Fairy est une série issue de romans de Mizue Tani. C'est un shojo dans la plus pure tradition victorienne avec l'originalité pour une fille de comprendre les fées. C'est sûr que cela peut servir. La série ne fait heureusement que 4 tomes mais la fin reste très ouverte ce qui provoquera beaucoup de frustration si on arrive à tenir jusqu'au bout. Il s'agira également de passer le cap d'un début assez lent et presque ennuyeux. Le dessinateur s'en sort pas trop mal avec un trait fin et toujours bien proportionné. On reconnait tout de suite un style qui fait très shojo.

25/09/2016 (modifier)