Quarantaine

Note: 3/5
(3/5 pour 1 avis)

Une ville est mise en quarantaine suite à une épidémie de peste.


Maladies et épidémies Requins marteaux Séries avec un unique avis

L'histoire est celle d'une cité féodale, un enclave jusqu’ici prospère, pleine d'arrogance, de richesses et de marchandises : Saint-Christograd. Jusqu'ici, car un mal étrange vient de faire son apparition : le Châtiment de pestilence ! Alors que le fléau s'abat sur la population un mage étrange rode dans les rues jonchées de cadavres suivi de prêt par un obscure cavalier de l'Apocalypse. La fin es t proche. Les principes de la civilisation volent en éclats. Une seule loi : la survie.

Scénario
Dessin
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution 30 Octobre 2010
Statut histoire One shot 1 tome paru

Couverture de la série Quarantaine © Les Requins Marteaux 2010
Les notes
Note: 3/5
(3/5 pour 1 avis)
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03/11/2010 | Miranda
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Par Miranda
Note: 3/5
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Note 2,5. Voilà une jolie bd sur la forme, avec sa couverture argentée et son beau noir et blanc, mais pour ce qui est du scénario c’est franchement léger à l'opposé du son prix, qui lui fait son poids. On n’a pas grand-chose à se mettre sous la dent, d’autant que c’est excessivement peu bavard, donc à moins de rester à regarder les cases, belles mais pas transcendantes non plus, le temps de lecture est ultra rapide. Le récit se cantonne à la mise sous quarantaine d’une ville moyenâgeuse imaginaire suite à une épidémie de peste, les gens encore non atteint feront tout pour essayer de s’en évader et d‘échapper au fléau. L’éditeur parle de : « (…) métaphore perfide de nos sociétés en crise. Un récit sordide, compromis bancal entre la Peste d’Albert Camus et le Fléau de Stephen King sur fond de Black Métal », bon c’est l’éditeur qui parle n’est-ce pas ? Il faut bien vendre sa marchandise. Sauf que de tout ça il y a bien peu de chose, en dehors de la noirceur des évènements et de certaines personnes gens qui vont profiter de la détresse des gens, situations récurrentes par temps de crise, je n’ai rien ressenti de nouveau et pour ce qui est de la métaphore elle est vraiment succincte. J'ai été assez tiraillée entre le « bof » car vraiment trop léger et vite lu, et le « pas mal » car c’est beau et pas trop mal traité.

03/11/2010 (modifier)