Jean-Jacques

Note: 2/5
(2/5 pour 2 avis)

Adorateurs de Rousseau, les frères Chapelet rêvent d'inviter le philosophe dans leur propriété et s'échinent à établir un jardin tel que le maître l'a pensé.


1643 - 1788 : Au temps de Versailles et des Lumières

Malheureusement, les choses ne se révèlent pas si simples pour ces parvenus de la cause intellectuelle... Ce ne sont pas des lumières mais plutôt des illuminés. D'ailleurs, s'ils ne peuvent pas avoir Rousseau vivant, ils l'auront mort !

Scénario
Dessin
Couleurs
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution Août 2009
Statut histoire One shot 1 tome paru

Couverture de la série Jean-Jacques © Delcourt 2009
Les notes
Note: 2/5
(2/5 pour 2 avis)
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01/07/2010 | Erik
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Par Ems
Note: 2/5

Cette fiction est une fiction à la limite du burlesque. Elle raconte la vie de deux frères qui vivent dans l'espérance de rencontrer leur idole : Jean Jacques Rousseau. Cette histoire se révèle morbide voire malsaine, démontrant l'absurdité de cette relation à sens unique. En parallèle, il y a une petite histoire romantique entre un jeune homme et une jeune et belle bonne soeur. Cette double histoire n'a que peu de liens et s'oublie aussitôt fermée la BD. C'est une oeuvre atypique mélangeant plusieurs genres mais ne trouvant pas réellement d'unité. Je qualifierai cette lecture d'anecdotique, pas désagréable mais sans finalité. Le dessin est correct, il est dans la lignée de celui régulièrement rencontré dans les séries de la collection "Vécu" dans les années 90. Le descriptif de la note correspond à merveille à mon ressenti...

12/09/2010 (modifier)
Par Erik
Note: 2/5
L'avatar du posteur Erik

Ce one shot se voulait un hommage appuyé à l'un des plus grands philosophes de tous les temps à savoir Jean-Jacques Rousseau. L'idée était bonne mais l'exploitation a été un peu maladroite. Nous avons deux frères qui idolâtrent le grand homme jusqu'à commettre les pires fantaisies. A cela s'ajoute une autre histoire d'amour impossible entre une bonne sœur et un jeune coq qui se veut être un écho de la Nouvelle Héloïse. Bref, un mélange de genres qui aura du mal à passer malgré son originalité. Cependant, on retrouve le talent narratif de Makyo pour un récit peu inspiré qui se voulait inventif en créant du style. Si on ne peut avoir un Rousseau vivant, alors on peut l'avoir mort. Il fallait y penser tout de même ! Trop loufoque et déjanté pour convaincre totalement...

01/07/2010 (modifier)