The Lagoon
Enfance et musique...
[USA] - Dixie, le Sud-Est des USA
Dans une petite bourgade du sud des États-Unis, Zoé vit avec ses parents et son papi. La nuit, une étrange mélopée envahit la maison... Elle est le fait d'une créature qui hante le marais voisin, que les habitants du village viennent écouter depuis des années... Zoé va-t-elle succomber à son tour ?
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Date de parution | Avril 2010 |
Statut histoire | One shot 1 tome paru |
Les avis
Une histoire assez courte de Lilli Carré, du moins la lecture est plutôt rapide. Encore une auteur américaine formée à Chicago. Cela semble être sa seule œuvre traduite en français. Il s'agit d'une petite fille qui habite avec sa famille dans une maison qui est isolée au milieu d'un marais assez effrayant. Ambiance noire, servie par un dessin qui rappelle Charles Burns, car la nuit une étrange musique survient. L'héroïne se glisse dans les hautes herbes et les eaux sombres pour découvrir une étrange créature qu'elle connait en vérité. Une histoire assez mystérieuse, poétique et sans explication.
The lagoon est un essai graphique composé par une jeune auteure. Le graphisme est celui de la carte à gratter. L’histoire se veut à la fois onirique et poétique. C’est un conte mettant en scène une créature des marais qui séduit grâce à son chant qui peut s’avérer mortel pour certains. Bref, c’est la sirène des marécages. Le récit va se concentrer sur la relation entre un grand-père et sa petite fille puis sur la mère de celle-ci. On ressort de cette lecture avec un sentiment mitigé. Oui, car cela n’apporte rien. Même pas le plaisir de la lecture. A vouloir trop en faire dans un genre mysticisme, on peut perdre des lecteurs…
Un peu déçu par ce récit... L'ambiance rappelle les bayous de la Nouvelle-Orléans, et des films comme La Créature du Lac noir. Simplement le récit est trop long, c'est une suite de silences et de mélopées soi-disant hypnotiques, mais le rythme n'y est pas, on s'ennuie ferme au bout de quelques pages. Zoé n'a aucun charisme, carence due aussi à la faiblesse du dessin, du sous-Charles Burns sous lexomil et bancal. Un grand bof pour cette parabole maladroite de l'enfance et de ses peurs.
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