Tout à fait d'accord avec l'avis précédent.
J'ai pris beaucoup de plaisir à découvrir cette BD malgré certains petits défauts dans le dessin.
Je trouve l'adaptation intéressante dans les libertés qu'elle prend ; du coup, même pour un connaisseur des textes d'Homère, on prend plaisir à redécouvrir le mythe.
Pour ce qui est des dessins, j'adore les couleurs, certains cadrages, même si je trouve que certains combattants ont un look "chevaliers du zodiaque". Petit clin d'oeil : cherchez Nono le petit robot dans le tome 3...
Plus de quinze ans après, j'ai le loisir de parler de cette trilogie.
Elle a été pour moi un choc, une révélation, un culte.
Tout m'a semblé parfait :
1) les dessins : les traits des personnages, les couleurs parfaitement nuancées, une foule INCROYABLE de détails (après l'avoir lu dix fois, j'ai découvert encore d'autres créatures dans des coins de vignettes !), des cadrages cinématographiques à vous faire perdre la tête !
2) le scénario : on croit avoir affaire à un simple récit d'heroic fantasy ? Non, il y a plus que ça encore. Les vestiges d'un monde oublié tardent à disparaître et font encore trembler les fondations de ce monde fragile. Personnages savoureux, impressionnants, touchants, méchants, perdus, trompés...
UN grand moment de la BD, l'émotion est toujours là. Merci Chevalier, merci Ségur !
Un pur bijou esthétique !
J'ai rarement vu une telle maîtrise du noir et blanc, on dirait une gravure, certaines planches sont de véritables tableaux que l'on voudrait mettre dans son salon.
L'histoire est certes alambiquée comme l'ont fait remarquer certains lecteurs précédents, mais on y sent bien la touche de H. P. Lovecraft (créatures démesurées sorties du fond des âges et des confins de l'espace intersidéral...)
L'ensemble crée une ambiance onirique, cauchemardesque et en même temps sublime qui nous rappelle que la BD c'est vraiment un grand art.
J'ignore si la trilogie a été pensée en tant que telle dès le départ, mais elle reste parfaitement cohérente.
Mon propos paraîtra paradoxal :
J'adore "Arq" : le dessin est très déroutant, je ne le trouve pas beau MAIS l'agencement des vignettes et des planches est GENIAL.
Le scénario est un des plus incroyables que je connaisse et contrairement à beaucoup de scénaristes pourtant talentueux, Andreas sait parfaitement où il va. J'en veux pour preuve les "glyphes abscons" (je cite De Cape et de Crocs) qui balafrent les deuxième et troisième de couvertures, ce même alphabet est repris par les Démites qui apparaissent au tome 1 et sera décodé au tome 9 ! Tout était déjà pensé.
Plusieurs histoires sont imbriquées, un peu difficiles à suivre mais elles montrent aussi l'étendue de la maîtrise de l'auteur.
Les couleurs sont ternes au début, mais c'est voulu, elles correspondent à un état du monde d'Arq et elles changent par la suite.
Regardez bien la fin du tome 6, dernière page : en milieu de planche, on observe la transition entre les deux styles graphiques, celui du premier cycle et celui du deuxième.
Pour cette série, soyez attentifs aux signes : rien n'est laissé au hasard. Mais tout est tellement hors normes, original et hermétique que je peux difficilement en conseiller l'achat. Essayez en bibliothèque mais essayez vraiment.
Le maître de jeu fait pendant au chant des stryges de façon intéressante et complémentaire.
Ambiance lugubre et sanglante, on se croirait parfois dans ces bons vieux films d'horreur.
Le dessin de Charlet emprunte aux traits des mangas (regardez les yeux de Quentin par exemple ou les personnages de dragon ball...)
Un ensemble satisfaisant.
Les Stryges : un univers, trois séries, un chant, trois saisons.
Il faudra de la patience pour arriver jusqu'au bout mais pour l'instant, je trouve que l'on a une série très bien menée. Les êtres mystérieux dont il est question agissent dans l'ombre, on ignore l'étendue de leurs pouvoirs, mais ils font trembler les fondations de l'humanité.
Les personnages principaux : l'ombre Debrah et l'ex bodyguard Kévin "Costner" Nivek (clin d'oeil rigolo) font la paire et avancent tant bien que mal dans cet univers de faux semblants et de vrais mystères. Les coloristes changent régulièrement, ce qui est un peu déroutant mais original d'un point de vue artistique.
A lire, pour l'ambiance...
Je vais rejoindre beaucoup d'internautes mais je trouve que cette série regorge de bonnes idées. Je l'ai relue de nombreuses fois en très peu de temps ce qui est un signe.
Le dessin est de toute évidence assisté par ordinateur : on aime ou pas, ici, je trouve que ça passe.
Ce qui me plaît par dessus tout, c'est le scénar : les années 2050 sont très bien imaginées, on sent que Duval sait de quoi il parle, tout est dans les détails.
On nous propose ici de la science-fiction qui n'a rien de tape à l'oeil, c'est crédible sans être banal, c'est divertissant sans être vulgaire, c'est intelligent sans être pédant.
Je recommande à ceux qui le peuvent encore de se procurer les premières éditions de certains tomes : on y trouve des carnets de croquis et des explications supplémentaires sur l'univers. Histoire d'achever de vous convaincre que le scénariste maîtrise parfaitement son univers.
Chapeau bas les gars !
C'est le troisième ouvrage de BD qui sort cette année sur le sujet après L'Anneau des Nibelungen de Sébastien Ferran et Le Crépuscule des Dieux de Jarry et Djief.
Cette nouvelle adaptation, que l'on sent un peu plus libre que les précédentes, offre une vision personnelle mais très forte de l'histoire de ce héros du nord.
Graphiquement, le style de Alice est reconnaissable pour ceux qui ont lu le Troisième Testament. La particularité ici étant que l'on observera plus de décors naturels que d'architectures gothiques.
Cette édition en avant-première nous fait bénéficier de quelques tuyaux de l'auteur : il nous parle de ses sources littéraires (Tolkien, R. E. Howard...), picturales (Friedrich...), cinématographiques (J. Henson pour Dark Crystal, J. Boorman pour Excalibur, F. Lang pour ses Niebelungen et même Disney...) et forcément musicales avec la Tétralogie de Wagner par où tout commence.
Du travail d'orfèvre !
Je suis tombé tout à fait par hasard sur cet ouvrage. Le sujet m'a sauté aux yeux : enfin on s'attachait à reprendre le travail de Wagner de façon fidèle et savoureuse.
Certes, les costumes des dieux d'Asgard font penser à ceux des chevaliers du zodiaque, les traits de certains personnages ont un aspect humoristique ou enfantin, mais l'ensemble est bien écrit, les couleurs sont agréables et le sujet est fidèlement rendu. Depuis la mise en image de Fritz Lang, il ne manquait que la couleur et un petit rajeunissement. Voilà qui est chose faite.
Je crois que c'est une bonne occasion de faire connaissance avec les mythes germaniques.
Je rajoute qu'on peut aussi s'intéresser au travail, deux mois après chez Soleil, de Djief et Jarry : Le Crépuscule des Dieux.
Avis sur la série :
Enfin des BD qui s'intéressent aux mythes germano-scandinaves. Deux mois après S. Ferran et son Anneau des Nibelungen, les auteurs livrent leur version fidèle et personnelle à la fois des anciens récits du Nord.
S'inspirant en même temps de la Tétralogie de Wagner et des Eddas des Vikings ils proposent un récit fluide, épique, avec un graphisme aux lignes pures qui rappellent parfois celles de John Howe pour le Seigneur des Anneaux. L'anneau maudit n'a pas fini de faire parler de lui.
Bravo !
Avis sur le tome 0 :
Ce prologue vient compléter le récit amorcé en 2007.
Le graphisme me paraît plus abouti encore que celui de Djief même si les sources d'inspiration sont évidemment les mêmes : plus de détails, une excellente colorisation. Tout cela est donc très beau à regarder. La couverture fait très envie et rappelle un certain Balrog... Le "costume" des ondines du Rhin fait penser à celui d'une Gardienne des Clés issue d'une autre grande série consacrée à un héros nordique... Bref.
En revanche, était-il nécessaire de produire un tome "0" lorsque l'on attend avec impatience la suite ? (je ne dirai rien sur les suites attendues de Sébastien Ferran ou d'Alex Alice qui ont sorti leur premiers tomes respectifs sur le même sujet la même année).
Pour ce qui est l'écriture, peut-être deviens-je vieux, snob ou trop regardant, mais je ne le trouve pas bien écrit, quelques répliques ou quelques termes de vocabulaire passent mal et font perdre la beauté littéraire et mythologique d'un récit d'une telle puissance par ailleurs.
En un mot si on on a commencé la série et qu'on aime, il ne faut pas se priver
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Ulysse (EP Editions)
Tout à fait d'accord avec l'avis précédent. J'ai pris beaucoup de plaisir à découvrir cette BD malgré certains petits défauts dans le dessin. Je trouve l'adaptation intéressante dans les libertés qu'elle prend ; du coup, même pour un connaisseur des textes d'Homère, on prend plaisir à redécouvrir le mythe. Pour ce qui est des dessins, j'adore les couleurs, certains cadrages, même si je trouve que certains combattants ont un look "chevaliers du zodiaque". Petit clin d'oeil : cherchez Nono le petit robot dans le tome 3...
Légendes des Contrées Oubliées
Plus de quinze ans après, j'ai le loisir de parler de cette trilogie. Elle a été pour moi un choc, une révélation, un culte. Tout m'a semblé parfait : 1) les dessins : les traits des personnages, les couleurs parfaitement nuancées, une foule INCROYABLE de détails (après l'avoir lu dix fois, j'ai découvert encore d'autres créatures dans des coins de vignettes !), des cadrages cinématographiques à vous faire perdre la tête ! 2) le scénario : on croit avoir affaire à un simple récit d'heroic fantasy ? Non, il y a plus que ça encore. Les vestiges d'un monde oublié tardent à disparaître et font encore trembler les fondations de ce monde fragile. Personnages savoureux, impressionnants, touchants, méchants, perdus, trompés... UN grand moment de la BD, l'émotion est toujours là. Merci Chevalier, merci Ségur !
Cromwell Stone
Un pur bijou esthétique ! J'ai rarement vu une telle maîtrise du noir et blanc, on dirait une gravure, certaines planches sont de véritables tableaux que l'on voudrait mettre dans son salon. L'histoire est certes alambiquée comme l'ont fait remarquer certains lecteurs précédents, mais on y sent bien la touche de H. P. Lovecraft (créatures démesurées sorties du fond des âges et des confins de l'espace intersidéral...) L'ensemble crée une ambiance onirique, cauchemardesque et en même temps sublime qui nous rappelle que la BD c'est vraiment un grand art. J'ignore si la trilogie a été pensée en tant que telle dès le départ, mais elle reste parfaitement cohérente.
Arq
Mon propos paraîtra paradoxal : J'adore "Arq" : le dessin est très déroutant, je ne le trouve pas beau MAIS l'agencement des vignettes et des planches est GENIAL. Le scénario est un des plus incroyables que je connaisse et contrairement à beaucoup de scénaristes pourtant talentueux, Andreas sait parfaitement où il va. J'en veux pour preuve les "glyphes abscons" (je cite De Cape et de Crocs) qui balafrent les deuxième et troisième de couvertures, ce même alphabet est repris par les Démites qui apparaissent au tome 1 et sera décodé au tome 9 ! Tout était déjà pensé. Plusieurs histoires sont imbriquées, un peu difficiles à suivre mais elles montrent aussi l'étendue de la maîtrise de l'auteur. Les couleurs sont ternes au début, mais c'est voulu, elles correspondent à un état du monde d'Arq et elles changent par la suite. Regardez bien la fin du tome 6, dernière page : en milieu de planche, on observe la transition entre les deux styles graphiques, celui du premier cycle et celui du deuxième. Pour cette série, soyez attentifs aux signes : rien n'est laissé au hasard. Mais tout est tellement hors normes, original et hermétique que je peux difficilement en conseiller l'achat. Essayez en bibliothèque mais essayez vraiment.
Le Maître de Jeu
Le maître de jeu fait pendant au chant des stryges de façon intéressante et complémentaire. Ambiance lugubre et sanglante, on se croirait parfois dans ces bons vieux films d'horreur. Le dessin de Charlet emprunte aux traits des mangas (regardez les yeux de Quentin par exemple ou les personnages de dragon ball...) Un ensemble satisfaisant.
Le Chant des Stryges
Les Stryges : un univers, trois séries, un chant, trois saisons. Il faudra de la patience pour arriver jusqu'au bout mais pour l'instant, je trouve que l'on a une série très bien menée. Les êtres mystérieux dont il est question agissent dans l'ombre, on ignore l'étendue de leurs pouvoirs, mais ils font trembler les fondations de l'humanité. Les personnages principaux : l'ombre Debrah et l'ex bodyguard Kévin "Costner" Nivek (clin d'oeil rigolo) font la paire et avancent tant bien que mal dans cet univers de faux semblants et de vrais mystères. Les coloristes changent régulièrement, ce qui est un peu déroutant mais original d'un point de vue artistique. A lire, pour l'ambiance...
Travis
Je vais rejoindre beaucoup d'internautes mais je trouve que cette série regorge de bonnes idées. Je l'ai relue de nombreuses fois en très peu de temps ce qui est un signe. Le dessin est de toute évidence assisté par ordinateur : on aime ou pas, ici, je trouve que ça passe. Ce qui me plaît par dessus tout, c'est le scénar : les années 2050 sont très bien imaginées, on sent que Duval sait de quoi il parle, tout est dans les détails. On nous propose ici de la science-fiction qui n'a rien de tape à l'oeil, c'est crédible sans être banal, c'est divertissant sans être vulgaire, c'est intelligent sans être pédant. Je recommande à ceux qui le peuvent encore de se procurer les premières éditions de certains tomes : on y trouve des carnets de croquis et des explications supplémentaires sur l'univers. Histoire d'achever de vous convaincre que le scénariste maîtrise parfaitement son univers. Chapeau bas les gars !
Siegfried
C'est le troisième ouvrage de BD qui sort cette année sur le sujet après L'Anneau des Nibelungen de Sébastien Ferran et Le Crépuscule des Dieux de Jarry et Djief. Cette nouvelle adaptation, que l'on sent un peu plus libre que les précédentes, offre une vision personnelle mais très forte de l'histoire de ce héros du nord. Graphiquement, le style de Alice est reconnaissable pour ceux qui ont lu le Troisième Testament. La particularité ici étant que l'on observera plus de décors naturels que d'architectures gothiques. Cette édition en avant-première nous fait bénéficier de quelques tuyaux de l'auteur : il nous parle de ses sources littéraires (Tolkien, R. E. Howard...), picturales (Friedrich...), cinématographiques (J. Henson pour Dark Crystal, J. Boorman pour Excalibur, F. Lang pour ses Niebelungen et même Disney...) et forcément musicales avec la Tétralogie de Wagner par où tout commence. Du travail d'orfèvre !
L'Anneau des Nibelungen
Je suis tombé tout à fait par hasard sur cet ouvrage. Le sujet m'a sauté aux yeux : enfin on s'attachait à reprendre le travail de Wagner de façon fidèle et savoureuse. Certes, les costumes des dieux d'Asgard font penser à ceux des chevaliers du zodiaque, les traits de certains personnages ont un aspect humoristique ou enfantin, mais l'ensemble est bien écrit, les couleurs sont agréables et le sujet est fidèlement rendu. Depuis la mise en image de Fritz Lang, il ne manquait que la couleur et un petit rajeunissement. Voilà qui est chose faite. Je crois que c'est une bonne occasion de faire connaissance avec les mythes germaniques. Je rajoute qu'on peut aussi s'intéresser au travail, deux mois après chez Soleil, de Djief et Jarry : Le Crépuscule des Dieux.
Le Crépuscule des Dieux
Avis sur la série :
Enfin des BD qui s'intéressent aux mythes germano-scandinaves. Deux mois après S. Ferran et son Anneau des Nibelungen, les auteurs livrent leur version fidèle et personnelle à la fois des anciens récits du Nord.
S'inspirant en même temps de la Tétralogie de Wagner et des Eddas des Vikings ils proposent un récit fluide, épique, avec un graphisme aux lignes pures qui rappellent parfois celles de John Howe pour le Seigneur des Anneaux. L'anneau maudit n'a pas fini de faire parler de lui.
Bravo !
Avis sur le tome 0 :
Ce prologue vient compléter le récit amorcé en 2007.
Le graphisme me paraît plus abouti encore que celui de Djief même si les sources d'inspiration sont évidemment les mêmes : plus de détails, une excellente colorisation. Tout cela est donc très beau à regarder. La couverture fait très envie et rappelle un certain Balrog... Le "costume" des ondines du Rhin fait penser à celui d'une Gardienne des Clés issue d'une autre grande série consacrée à un héros nordique... Bref.
En revanche, était-il nécessaire de produire un tome "0" lorsque l'on attend avec impatience la suite ? (je ne dirai rien sur les suites attendues de Sébastien Ferran ou d'Alex Alice qui ont sorti leur premiers tomes respectifs sur le même sujet la même année).
Pour ce qui est l'écriture, peut-être deviens-je vieux, snob ou trop regardant, mais je ne le trouve pas bien écrit, quelques répliques ou quelques termes de vocabulaire passent mal et font perdre la beauté littéraire et mythologique d'un récit d'une telle puissance par ailleurs.
En un mot si on on a commencé la série et qu'on aime, il ne faut pas se priver