Les derniers avis (104723 avis)

Par Ante
Note: 5/5
Couverture de la série XIII
XIII

Je viens de terminer pour la Xième fois la lecture de tout les albums. Je suis d'accord avec la plupart des gens qui disent que les deux derniers albums sont beaucoup plus faibles que le reste de la serie. Mais celui qui m'a le plus déçu est Secret Defense. Je ne comprend pas le choix du scénariste de s'attarder sur le personnage d'Irina, qui n'est vraiment pas charismatique! En plus, l'histoire de sa multinationale....excusez moi. De plus, le coup de Seamus O'neil, non je n'y crois plus, Mc Lane etait parfait et l'est tjrs d'ailleur! Mais la petit note d'espoir vient de la fin du dernier tome (lachez les chiens): Il y a moyen de recupérer un peu le coup. Mais ne tirez pas cette BD en longueur, surtout avec des personnages moins charismatiques. SVP! En fait j'ai vraiment adoré jusqu'aux trois montres d'argent, le jugement etait marrant, mais deja plus faible, et les deux derniers carrement faiblards.A vous M. Van hamme et M Vance de redresser la serie, ou de la ranger definitivement...

03/05/2003 (modifier)
Par huracan
Note: 5/5
Couverture de la série Donjon Crépuscule
Donjon Crépuscule

La première série des Donjons que je lis et c'est sans hésiter que je vais me jeter sur toute les autres:). Arf, les dessins sont superbes et quel humour (Gilberto... trop fort...;)), si c'est vrai que c'est la partie la plus noir du Donjon, qu'est ce que ça doit être pour les autres! C'est culte en tout point, j'adore le dessin de Sfar, les couleurs sont nikels et le scénar est trop fort... j'aime!

03/05/2003 (modifier)
Par okilebo
Note: 3/5
Couverture de la série Souvenirs de Toussaint
Souvenirs de Toussaint

Je n'ai lu que les trois premiers tomes de cette série mais c'est vrai qu'elle était plutôt sympa. Le scénario nous conte les mésaventures d'un photographe itinérant à la fin du 19e siècle. Celui-ci nous fait voyager dans les campagnes françaises en nous permettant de découvrir ces gens qui peuplaient nos villages, autrefois. Convard, le scénariste ( Finkel , le Triangle Secret ) a réussi à mettre plus en évidence l'aspect humain par rapport à l'historique . Ce qui a pour effet de donner de la densité à l’histoire. Bien que très classique, le dessin de François Dermaut ( Les chemins de Malfosse ) est très convaincant. La précision du détail et le choix des couleurs nous donnent un résultat proche de la perfection. Ceci dit, personnellement, le changement de dessinateur à partir du tome 4 ( Joëlle Savey ) ne m'a pas convaincu et j'ai donc préféré boycotter cette série . A vous de voir !

03/05/2003 (modifier)
Par Thanos
Note: 4/5
Couverture de la série Pacush Blues
Pacush Blues

AVIS portant sur les tomes 1, 2, 5, 6, 8 Ces 5 albums sont très bon (surtout les tome 2, 6, et 8) les dessins sont bons, agréables à regarder, les mimiques et les différentes expressions des rats sont terribles !!! Pour les scénars, ces différentes histoires (une histoire par albums) sont géniales ; c’est bourré d’humour noir, de reflexions philosophiques et de poésie; c’est très agréable à lire !!! Une bonne série, donc, dont je cours acheter la suite. :):):)

03/05/2003 (modifier)
Par EXJulien
Note: 2/5
Couverture de la série Sanctuaire
Sanctuaire

(Après la lecture du premier tome uniquement) Le dessinateur est manifestement jeune et n'a pas encore une technique fort au point. Ca devrait donner quelque chose de bien à la longue (c'est sympa de voir un dessinateur ne pas céder à certaines facilités graphiques quitte à "rater" certains passages), c'est certain, mais on en est malheureusement encore loin. Travaillerait-il trop d'après photo pour les visages de ses personnages? Le fait est que certains ne sont pas clairement définis et on les confond parfois d'une case à l'autre. Autre problème, l'habituel abus des filtres photoshop (dont les inévitables lens flare). Ca nous donne, entre autre, une explosion de salle des machines qui ne ressemble, euh,... à rien; une explosion de grenade qui ressemble elle à un joli soleil; ou encore une très belle page 25 dégueulassée par de vilains effets de lumière bleus. Pour finir sur une note plus grave, notons un découpage pas toujours très heureux. Comme celui de la planche ou un gars reçoit une balle lors d'une bagarre (dans l'oeil?...encore que...). L'action en devient incompréhensible. Un bémol pour le tandem d'auteurs, ça... Malgré tous ces soucis, il faut bien reconnaître qu'une ambiance lourde et menaçante s'installe sur certains plans. Toujours sur des plans extérieurs d'ailleurs; Christophe Bec doit apprécier les sous marins et les grandes profondeurs pour arriver à rendre une telle impression de froideur et de solitude. Sur ce plan-là c'est souvent très réussi. Pour ce qui est du scénario, j'aime plutot ce genre naïf mélangeant surnaturel et action. Mais il faut reconnaitre que celui ci est assez faible, se contentant de reprendre de bien grosses ficelles. Tout en présentant des personnages manquant cruellement de consistance. Quelques exemples. - Le scientifique qui pressent que l'origine du mal est derrière la porte. Et que remonter à la surface ne servirait à rien, qu'il vaut mieux affronter la "chose". - L'équipage d'un sous marin US qui déchiffre seul un truc machin historico mythologique qui aurait demandé deux mois d'études aux spécialistes du british muséum. - la fouille méthodique bien que semblant absolument inutile du sous marin russe. (Ca alors commandant, on vient de trouver des papiers sumeriens du 5eme siècle avant jesus christ alors qu'on ne cherchait rien en particulier! Dingue!) -Les quelques petites séquences pour décrire le commandant (le personnage le plus élaboré, c'est vous dire le niveau des autres!) sont toutes foireuses : sa visite à l'hôpital (ou on voit un homme blessé, comme machinchose dans Stargate) ou son auto description: "autoritaire mais mauvais soldat" (à mourir de rire) donnent un personnage complètement artificiel. C'est dommage car encore une fois j'aime ce genre de scénario "série z pas originale mais distrayante". Pour finir, cette série me rappelle 'Cryozone', sans pouvoir tenir la comparaison en qualité. (Après lecture du second tome) Bah, si vous avez du temps devant vous, en passant à la fnac... (Après lecture du dernier tome) Je me suis senti obligé de le lire.... Et bien c'est définitivement une mauvaise série. Outre la fin extremement bateau, le dessin ne s'améliore pas (loin de la) et le découpage de certaines scènes est risible. Une série B chiante et mal foutue. Si c'était un film, ce serait un beau nanard sorti direct en video.

03/05/2003 (modifier)
Par Zeitgeist
Note: 5/5
Couverture de la série DareDevil - Guerre et amour
DareDevil - Guerre et amour

Le Caïd est désespéré : sa femme et amour de sa vie, Vanessa a sombré dans une espèce d'autisme et refuse de lui parler... Il fait venir de Paris un certain Paul Lunda, éminent psychanalyste et sa femme Cheryl qui a comme particularité d'être atteinte de cécité... Pour être sûr que Lunda mette le plus de diligence et d'assiduité possible pour soigner Vanessa, Wilson Fisk fait enlever Cheryl par Victor un junkie complètement disjoncté de la réalité et mythomane à ses heures. C'est là que Daredevil, alors en pleine croisade contre le caïd, vient mettre son grain de sel sous les bons auspices du sieur Turk... La passion selon Frank Miller : Grandeur et décadence de ceux qui en sont victimes, car comme disait Pier Paolo Pasolini la passion n'obtient jamais de pardon... La passion pour laquelle tout être humain est capable des pires atrocités comme des gestes d'un altruisme insoupçonné (très bien évoqué par FM avec le parallèle Victor/Wilson)... Passion pour une femme (Le Caïd, Paul Lunda), pour la drogue (Victor), pour la justice aussi (DD). Même si le protagoniste absolu de ce récit reste le Caïd... Rarement on l'aura vu sous sa carapace de rhinocéros si vulnérable si désespéré, si malheureux aussi et luttant pour conserver toute sa lucidité malgré toute sa tristesse...Et on ne peut qu'éprouver de la sympathie et de la compassion et à l'instar de Daredevil à la fin, prier pour cet homme en dépit de tous les crimes qu'il a pu commettre par le passé... Cette histoire chargée d'émotion est évidemment sublimé par Sienkiewicz qui quand il donne toute la mesure de sa "zampata del genio" montre combien des gens comme Dave McKean, J.J Muth, Scott Hempel, Kent Williams, George Pratt, David Mack et Ashley Woods devraient lui ériger un monument. Chaque planche est un tableau (il faut voir sa représentation du Caïd, époustouflante et encore meilleure que celle de Miller si c'est possible, avec ce gilet-tapisserie) impressionniste au pinceau ou par le biais de simples crayonnées, le tout souligné par une mise en couleur somptueuse avec des tons pastels qui restent littéralement gravés dans vos pupilles... Vraiment Sienkiewicz est sans doute le seul de son école qui arrive à faire des planches d'une beauté trouble (c'est pour cela que parfois je regarde le monde sans mes lunettes) à vous donner les frissons. Il n'utilise pas son trait pour n'illustrer que le sordide, mais arrive à saisir mieux que personne toute la beauté d'un couché de soleil sans tomber dans les clichés... Alors pour tout cela, pour être capables de nous faire rire, pleurer et rêver à partir de deux simples dimensions, pour nous faire parvenir dans une autre dimension à l'atmosphère qui nous permet de voir l'autre côté de la réalité (celle du rêve) qui d'habitude est voilée et opaque, merci Messieurs Miller et Sienkiewicz ...

03/05/2003 (modifier)
Par Zeitgeist
Note: 5/5
Couverture de la série Elektra - Le Retour
Elektra - Le Retour

Sous un belvédère Deux amoureux enlacés Fleurs de cerisiers... Quand l'amour devient obsession peut-on encore dormir ? Quand on sait que l'être aimé ne reviendra plus, peut-on encore vivre ? Quand on sait qu'on ne pourra plus lui parler, la toucher, comment peut-on encore avancer ? Bref quand on perd un être cher, comment peut-on faire pour oublier ? C'est un peu la question que se pose Frank Miller au sujet de Matthew Murdock... L'avocat du diable n'aura jamais paru si fragile, si déboussolé, si hanté par des rêves sanglants depuis la mort de sa chère Elektra... Et il a beau essayer de la gommer de son esprit, par toutes sortes d'activités physiques (et quand je dis toute sorte), mais il n'y arrive pas, et entre dans une espèce de délire profond (avec Bullseye et la Main comme guests) à la recherche d'une improbable réponse à ses doutes... qui pourtant viendra : "Ce n'est pas elle qui me hantait... C'est moi qui la hantait. La relâcher, lâcher prise... Le feu même de l'autre côté de la rue est violent. Mais elle est froide dans un endroit froid." Miller a bien raison : la passion brûle mais la mort est froide... Le propos fait corps avec le dessin et la couleur... Lynn Varley nous propose toute une gamme de nuances froides, ternes, grises... Miller place l'action dans des décors froids, aseptisés, frugaux, sobres comme une église, un cimetière, une morgue, une salle de bain, il multiplie les cadrages les plus déséquilibrés, les plus fous, pour nous faire sentir toute la solitude, tout le malaise, toute la claustrophobie qui semblent s'être emparés de Matthew Murdock. Une tête brûlée, un casse-cou qui n'aura peut-être jamais été aussi humain, tellement d'ailleurs qu'il renonce à endosser le costume de super héros... Oui le masque est tombé, reste l'homme nu... Mais c'est peut-être là dans sa vulnérabilité que l'on mesure toute la grandeur d'âme de Mister M.M.

03/05/2003 (modifier)
Par Kael
Note: 3/5
Couverture de la série Les P'tits diables (Tom et Nina)
Les P'tits diables (Tom et Nina)

Moui, ça se laisse lire... Mais je n'ai pas eu non plus de grands éclats de rire pendant la lecture. Dans l'ensemble, les gags sont funs, oui, mais juste assez pour sourire, pas assez pour qu'on referme l'album et qu'on y repense longtemps après en se marrant. Je ne sais pas si j'acheterai les tomes suivants...

02/05/2003 (modifier)
Couverture de la série Le Cycle
Le Cycle

Cet album commence très doucement, avec les mêmes personnages que «Cercle vicieux», un peu ridicules, un peu archétypaux. Le professeur poursuit ses expériences pour le moins étranges, et celle qu’il est en train de mener est encore plus étrange, puisque c’est l’organisation des planches de l’album qu’elle vient perturber. Ce premier effet donne donc lieu à une première partie intéressante. Mais c’est après, lorsque Marmouset se retrouve égaré dans un univers étrange, que «Le cycle» devient génial... ** (petit) SPOILER ** L’assistant du professeur se retrouve en effet à devoir traverser de nombreuses planches, chacune tirée d’un ouvrage différent. On retrouvera ainsi entre autres des dessins d’Edika, Sfar, Killofer, De Crécy, Marc-Antoine Mathieu, Goossens, David B., etc. Chaque planche est extraite de l’album original, avec ses textes, et la personnage de Marmouset y est rajouté, dans le même style graphique que le dessin qui l’entoure !. L’effet crée est assez extraordinaire, et ceux qui croyaient que Lécroart ne savait pas dessiner en seront pour leurs frais. Cet exercice très OuBaPien est réellement bien mené, avec un talent certain, donnant lieu à une histoire assez excellente. ** FIN (petit) SPOILER ** Mais cela ne finit pas là… Car la fin (la troisième partie) de l’histoire est tout bonnement extraordinaire, utilisant deux autres procédés de façon tout simplement magistrale. Le tout donne un album au-delà de tout ce qui existe en matière de bande dessinée, au-delà même de toutes les productions OuBaPiennes actuelles. Bref, un indispensable, non seulement pour les amateurs de l’OuBaPo, mais également pour tous les autres. Marc-Antoine Mathieu n'aurait d'ailleurs pas renié ce genre d'idées pour son excellent «Julius Corentin Acquefacques». (il semblerait par ailleurs que Lécroart aime bien dissimuler des formes phalliques dans ses couvertures, celle-ci ne fait pas exception).

02/05/2003 (modifier)
Par huracan
Note: 3/5
Couverture de la série Boule & Bill
Boule & Bill

Bah! C'est vrai que c'est plus une BD pour enfant qu'autre chose, mais ça ne fait pas de mal de la feuilleter de temps en temps. Evidemment ça me faisait beaucoup plus rire quand j'avais 10/12 ans, mais en relisant un gag par-ci par-là, plein de bons souvenirs me reviennent en tête. Même si je n'en acheterais plus maintenant pour moi, ça reste quand même un chouette cadeau pour son petit frère, filleul,...

02/05/2003 (modifier)