L'histoire est pas mal et les dessins passent aussi mais pour ce qui est des scènes porno, c'est plutot bof. En fait il y a beaucoup trop de viols et je trouve ça malsain que ce soit censé être excitant.
Je me demande s'il n'y a pas une suite au Japon car l'histoire part bien mais le manga finit alors que tout est à faire. On dirait une introduction.
En bref : c'est pas génial.
HA! Que voilà un magnifique Art-book et en plus de Satoshi Urushihara!!!
Ses dessins sont vraiment magnifiques et tout en couleurs en plus ça en jette.
Bref, pour ceux qui ne connaissent pas cet auteur, il adore dessiner des filles en petite tenue et c'est toujours prétexte à des unifomes plutot coquins...
Pour ce qui est de l'histoire, c'est une histoire d'amour entre lesbiennes, c'est pas très développé et assez court mais c'est trop beau et Urushihara s'est amusé à détailler des éléments sur la ville pour nous permettre d'imaginer (par exemple, la plupart des couples à Ragnarok city sont des lesbiennes).
En conclusion, il faut quand même être un fan ou bien apprécier comme moi le travail de Urushihara pour acheter ce Art-book.
Pas une mauvaise surprise ce Tohu-Bohu.
Le dessin est attrayant, comme le dit Kael, les dégradés sont bien travaillés.
L'histoire se lit très bien, les accumulations de malchance sont pertinentes et les faits s'enchaînent parfaitement.
J'attends la suite avec impatience.
L'avis prédédent, s'il a le mérite de mettre en avant une BD injustement méconnue, me fait réagir. Kelly Green était et reste encore aujourd'hui une série tout à fait originale qui sort des sentiers battus. Commandée par Greg à Starr et Drake alors qu'il vivait aux Etats-Unis, ce polar est à cent lieus de ce que font généralement les américains. Comme correspondant aujourd'hui, il y aurait peut-être ce petit bijou qu'est "Whiteout" de Rucka et Lieber. Les intrigues de Kelly Green qui ne se contentent pas d'un manichéisme de complaisance sont très bien ficelées et servies par un dessin de qualité où l'on sent la patte solide d'un dessinateur au passé déjà prestigieux. Certaines des couvertures, par exemple, sont de véritables petites merveilles. Ajoutez à cela quelques titres hors normes tels que "1,2,3,mourez !", "Cent millions, mort comprise!" ou encore "Do, re, mi...sang !" et vous obtenez un cocktail savoureux !
Un must, à mon sens !
Pour être tout à fait juste, cet avis enthousiaste concerne précisément les 4 premier albums. Le dernier intitulé "La flibuste de la BD" est nettement moins bon et vaut surtout pour les clins d'oeil à Greg et à Georges Dargaud.
Ben dis donc, ce manga est tellement nul que je n'avais même pas remarqué que c'était censé être un manga de fesses... C'est peut-être dû au fait que je me sois ennuyée du début à la fin ou bien parce que les scènes érotiques sont sans aucun intérêt ou encore parce que l'histoire est "neuneu"...
Et oui, j'ai vu un semblant de scénario là-dedans mais il est plat et il n'avance pas et il n'est pas finit et donc ça stresse pas mal... Ah, et aussi, ce que je n'ai pas apprécié, c'est le fait que l'on se retrouve avec des viols à chaque chapitre (en gros à chaque scène de fesses). Pas très top ça...
Je ne sais même pas quoi dire sur les dessins tellement je ne les ai pas aimés... Il y a des moments où je ne comprenais pas ce que je voyais (et pas obligatoirement dans les scènes de fesses) et ça on peut dire que c'est assez gênant pour un manga...
Je ne me souviens plus comment j'ai fais pour lire ce truc mais j'espère ne plus avoir à resubir une horreur pareil...
Bien connu dans le monde de l'indépendant (Treize étrange, Amok,…), Brüno signe un premier album en collaboration pour le compte d'un grand éditeur (Vents d'ouest).
Le titre ("Arnold & Willie") pouvait laisser présager du pire et pour tout dire la couverture ne m'avait pas attiré plus que ça. Jusqu'à ce que j'ouvre l'album et que les dessins de Brüno me sautent au visage. Bon sang mais oui ! Brüno ! Le Brüno que j'avais découvert avec la série Nemo ! Je feuillette un peu plus : les couleurs tranchées, soulignées par un trait gras ne peuvent pas tromper le chaland, de même que ces personnages ronds, aux dentiers proéminents.
Le scénario lui, est minimaliste, et ceux qui s'attendent à un polar psychologique aux relents de guerre raciale en seront pour leurs frais. Minimaliste donc, ultra classique avec un gros méchant et des petites frappes qui volent des bagnoles pour se nourrir, etc… Bref tous les codes du genre mille fois vus sont présents. Mais ! Mais c'est bien fait ! Mais l'ambiance est franchement réussie, joyeuse, colorée. On est à mi-chemin de Harlem, de ses grosses bagnoles clinquantes et des quartiers noirs des boites de jazz, avec danseuses à moitié nues, joueurs de poker aux costards italiens, chevalières aux doigts et gros cigare planté dans une bouche mal rasée. C'est du Tarantino par moment, la comparaison est osée mais le fait est que c'est vrai ! Attention, ne pas oublier qu'il s'agit du 1er scénario BD de Fatima Ammari...
Il y a un sacré dynamisme qui ressort de cette aventure, soutenu par le dessin très franc de Brüno, qui joue très bien avec les couleurs, les ombres et des effets empruntés aux comics.
Les fans de l'inspecteur Harry seront enchantés de retrouver une scène mythique du premier film (Dirty Harry) sur deux planches au début de l'album…
Les fans d'ex-libris seront enchantés de retrouver un ex-libris au format de l'album à la première page de la BD, en couleur, et à l'image de la BD : gai, coloré.
Voilà donc une BD au scénario classique (et parfois trop) mais conduit à un rythme effréné et sans fausse note, dans une ambiance joyeuse que le dessin impeccable de Brüno porte avec un talent et une finesse à souligner.
"Flash Gordon", c'est une toute vieille bande dessinée qui date de 1934... Largement rééditée un peu partout, il est difficile de s'y retrouver. Je ne parlerai donc que des 4 tomes de la collection 16/22 de Dargaud, que j'ai lus et relus.
"Flash Gordon", c'est un thème ultra-moisi, de l'aventure dans le sens "il arrive plein de trucs et on improvise", du suspense à deux balles (La Terre va-t-elle être détruite ?! Dale va-t-elle épouser l'empereur Ming ?! Flash va-t-il succomber à la pieuvre tentaculaire à huit bras ?!), des voix-off omniprésentes à la façon E.P. Jacobs dans ses pires moments, des phylactères quasiment absents, un dessin qui a beaucoup vieilli...
"Flash Gordon", c'est aussi tout un esprit, celui de la bande dessinée d'aventures des années 40/50, façon Tarzan, "Mandrake", ou encore les vieux Bob Morane. Loyauté, courage indéfectible, sens de l'honneur, vision classique du savant fou et génial, héroïne un peu potiche qui sert de prétexte à des aventures sans fin (et vive le repos du guerrier...), héros parfait qui va résoudre les problèmes de toute une planète...
"Flash Gordon" enfin, c'est l'exemple que je cite souvent pour parler de la vieille bd avec des tics que je n'aime pas (voir tous les exemples précédents, mais surtout le mode de narration), mais malgré tout c'est une série que j'ai lue et relue plusieurs fois, et qui a un certain charme.
Le Chemin de Saint-Jean fait 27 x 37cm, cet album-ci (lu juste après le précédent !) est tout rikiki, 10 x 7,5cm, format à l'italienne.
Le dessin de De La Fuente est assez beau. Rond et caricatural, le trait est très très précis, témoignant d'une réelle maîtrise. Il faut dire qu'il a déjà un certain nombre d'albums à son actif (voir bdnet)... Je m'étonne d'ailleurs qu'aucun ne soit encore référencé ici ?
L'histoire est courte, mais surtout peu développée. Une petite aventure, largement inachevée, un court moment de détente certes, mais finalement un peu vain.
En fin d'album il est précisé qu'il s'agit d'une introduction à un autre album, dont je n'ai malheureusement pu trouver trace. A resituer dans ce contexte s'il paraît.
Mélangez un scénario à vous couper le souffle par ses rebondissements et son suspense, des personnages charismatiques (j'adore Thaman Kha et Dragan), un univers fantastique la tête dans les étoiles, et le dessin somptueux et typé de Crisse, et vous obtenez 3 albums géniaux que l'on se doit de posséder... mais à quand la suite ?!
Moi j'ai bien aimé tout cela dans un monde médieval fantastique envahi par la sylve, j'adore.
Quand au dessin, que dire ! !Du chef d'oeuvre à l'état pur, et merci à Goussale pour les nouvelles couleurs.
A acheter si vous aimez la fantasy.
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Zioïd - Le premier continent
L'histoire est pas mal et les dessins passent aussi mais pour ce qui est des scènes porno, c'est plutot bof. En fait il y a beaucoup trop de viols et je trouve ça malsain que ce soit censé être excitant. Je me demande s'il n'y a pas une suite au Japon car l'histoire part bien mais le manga finit alors que tout est à faire. On dirait une introduction. En bref : c'est pas génial.
Ragnarock City
HA! Que voilà un magnifique Art-book et en plus de Satoshi Urushihara!!! Ses dessins sont vraiment magnifiques et tout en couleurs en plus ça en jette. Bref, pour ceux qui ne connaissent pas cet auteur, il adore dessiner des filles en petite tenue et c'est toujours prétexte à des unifomes plutot coquins... Pour ce qui est de l'histoire, c'est une histoire d'amour entre lesbiennes, c'est pas très développé et assez court mais c'est trop beau et Urushihara s'est amusé à détailler des éléments sur la ville pour nous permettre d'imaginer (par exemple, la plupart des couples à Ragnarok city sont des lesbiennes). En conclusion, il faut quand même être un fan ou bien apprécier comme moi le travail de Urushihara pour acheter ce Art-book.
Pas de Chance
Pas une mauvaise surprise ce Tohu-Bohu. Le dessin est attrayant, comme le dit Kael, les dégradés sont bien travaillés. L'histoire se lit très bien, les accumulations de malchance sont pertinentes et les faits s'enchaînent parfaitement. J'attends la suite avec impatience.
Kelly Green
L'avis prédédent, s'il a le mérite de mettre en avant une BD injustement méconnue, me fait réagir. Kelly Green était et reste encore aujourd'hui une série tout à fait originale qui sort des sentiers battus. Commandée par Greg à Starr et Drake alors qu'il vivait aux Etats-Unis, ce polar est à cent lieus de ce que font généralement les américains. Comme correspondant aujourd'hui, il y aurait peut-être ce petit bijou qu'est "Whiteout" de Rucka et Lieber. Les intrigues de Kelly Green qui ne se contentent pas d'un manichéisme de complaisance sont très bien ficelées et servies par un dessin de qualité où l'on sent la patte solide d'un dessinateur au passé déjà prestigieux. Certaines des couvertures, par exemple, sont de véritables petites merveilles. Ajoutez à cela quelques titres hors normes tels que "1,2,3,mourez !", "Cent millions, mort comprise!" ou encore "Do, re, mi...sang !" et vous obtenez un cocktail savoureux ! Un must, à mon sens ! Pour être tout à fait juste, cet avis enthousiaste concerne précisément les 4 premier albums. Le dernier intitulé "La flibuste de la BD" est nettement moins bon et vaut surtout pour les clins d'oeil à Greg et à Georges Dargaud.
Zioïd - Le premier continent
Ben dis donc, ce manga est tellement nul que je n'avais même pas remarqué que c'était censé être un manga de fesses... C'est peut-être dû au fait que je me sois ennuyée du début à la fin ou bien parce que les scènes érotiques sont sans aucun intérêt ou encore parce que l'histoire est "neuneu"... Et oui, j'ai vu un semblant de scénario là-dedans mais il est plat et il n'avance pas et il n'est pas finit et donc ça stresse pas mal... Ah, et aussi, ce que je n'ai pas apprécié, c'est le fait que l'on se retrouve avec des viols à chaque chapitre (en gros à chaque scène de fesses). Pas très top ça... Je ne sais même pas quoi dire sur les dessins tellement je ne les ai pas aimés... Il y a des moments où je ne comprenais pas ce que je voyais (et pas obligatoirement dans les scènes de fesses) et ça on peut dire que c'est assez gênant pour un manga... Je ne me souviens plus comment j'ai fais pour lire ce truc mais j'espère ne plus avoir à resubir une horreur pareil...
Inner City Blues
Bien connu dans le monde de l'indépendant (Treize étrange, Amok,…), Brüno signe un premier album en collaboration pour le compte d'un grand éditeur (Vents d'ouest). Le titre ("Arnold & Willie") pouvait laisser présager du pire et pour tout dire la couverture ne m'avait pas attiré plus que ça. Jusqu'à ce que j'ouvre l'album et que les dessins de Brüno me sautent au visage. Bon sang mais oui ! Brüno ! Le Brüno que j'avais découvert avec la série Nemo ! Je feuillette un peu plus : les couleurs tranchées, soulignées par un trait gras ne peuvent pas tromper le chaland, de même que ces personnages ronds, aux dentiers proéminents. Le scénario lui, est minimaliste, et ceux qui s'attendent à un polar psychologique aux relents de guerre raciale en seront pour leurs frais. Minimaliste donc, ultra classique avec un gros méchant et des petites frappes qui volent des bagnoles pour se nourrir, etc… Bref tous les codes du genre mille fois vus sont présents. Mais ! Mais c'est bien fait ! Mais l'ambiance est franchement réussie, joyeuse, colorée. On est à mi-chemin de Harlem, de ses grosses bagnoles clinquantes et des quartiers noirs des boites de jazz, avec danseuses à moitié nues, joueurs de poker aux costards italiens, chevalières aux doigts et gros cigare planté dans une bouche mal rasée. C'est du Tarantino par moment, la comparaison est osée mais le fait est que c'est vrai ! Attention, ne pas oublier qu'il s'agit du 1er scénario BD de Fatima Ammari... Il y a un sacré dynamisme qui ressort de cette aventure, soutenu par le dessin très franc de Brüno, qui joue très bien avec les couleurs, les ombres et des effets empruntés aux comics. Les fans de l'inspecteur Harry seront enchantés de retrouver une scène mythique du premier film (Dirty Harry) sur deux planches au début de l'album… Les fans d'ex-libris seront enchantés de retrouver un ex-libris au format de l'album à la première page de la BD, en couleur, et à l'image de la BD : gai, coloré. Voilà donc une BD au scénario classique (et parfois trop) mais conduit à un rythme effréné et sans fausse note, dans une ambiance joyeuse que le dessin impeccable de Brüno porte avec un talent et une finesse à souligner.
Flash Gordon
"Flash Gordon", c'est une toute vieille bande dessinée qui date de 1934... Largement rééditée un peu partout, il est difficile de s'y retrouver. Je ne parlerai donc que des 4 tomes de la collection 16/22 de Dargaud, que j'ai lus et relus. "Flash Gordon", c'est un thème ultra-moisi, de l'aventure dans le sens "il arrive plein de trucs et on improvise", du suspense à deux balles (La Terre va-t-elle être détruite ?! Dale va-t-elle épouser l'empereur Ming ?! Flash va-t-il succomber à la pieuvre tentaculaire à huit bras ?!), des voix-off omniprésentes à la façon E.P. Jacobs dans ses pires moments, des phylactères quasiment absents, un dessin qui a beaucoup vieilli... "Flash Gordon", c'est aussi tout un esprit, celui de la bande dessinée d'aventures des années 40/50, façon Tarzan, "Mandrake", ou encore les vieux Bob Morane. Loyauté, courage indéfectible, sens de l'honneur, vision classique du savant fou et génial, héroïne un peu potiche qui sert de prétexte à des aventures sans fin (et vive le repos du guerrier...), héros parfait qui va résoudre les problèmes de toute une planète... "Flash Gordon" enfin, c'est l'exemple que je cite souvent pour parler de la vieille bd avec des tics que je n'aime pas (voir tous les exemples précédents, mais surtout le mode de narration), mais malgré tout c'est une série que j'ai lue et relue plusieurs fois, et qui a un certain charme.
Un clair de lune
Le Chemin de Saint-Jean fait 27 x 37cm, cet album-ci (lu juste après le précédent !) est tout rikiki, 10 x 7,5cm, format à l'italienne. Le dessin de De La Fuente est assez beau. Rond et caricatural, le trait est très très précis, témoignant d'une réelle maîtrise. Il faut dire qu'il a déjà un certain nombre d'albums à son actif (voir bdnet)... Je m'étonne d'ailleurs qu'aucun ne soit encore référencé ici ? L'histoire est courte, mais surtout peu développée. Une petite aventure, largement inachevée, un court moment de détente certes, mais finalement un peu vain. En fin d'album il est précisé qu'il s'agit d'une introduction à un autre album, dont je n'ai malheureusement pu trouver trace. A resituer dans ce contexte s'il paraît.
Kookaburra
Mélangez un scénario à vous couper le souffle par ses rebondissements et son suspense, des personnages charismatiques (j'adore Thaman Kha et Dragan), un univers fantastique la tête dans les étoiles, et le dessin somptueux et typé de Crisse, et vous obtenez 3 albums géniaux que l'on se doit de posséder... mais à quand la suite ?!
Les Forêts d'Opale
Moi j'ai bien aimé tout cela dans un monde médieval fantastique envahi par la sylve, j'adore. Quand au dessin, que dire ! !Du chef d'oeuvre à l'état pur, et merci à Goussale pour les nouvelles couleurs. A acheter si vous aimez la fantasy.